OS et autres défis pour le discord Good Omens

Thème 5: au revoir

Des au revoir, ils s'en étaient dit depuis 6 000 ans avec de plus en plus de difficulté et avec de moins en moins de temps entre leur retrouvaille, ils espéraient chaqu'un les suivante avec enthousiasme et impatience, toujours sur de se croiser à une occasion divine ou démoniaque. Mais pour cette fois-ci ils n'en étaient pas sur. Crowley, dans la peau de son ange, stresser de manière inhabituel sur cette horrible chaise. Le sourire de Gabriel était toujours aussi insupportable, il lui sortait par les yeux et il avait peur. Ça ne lui était pas arriver depuis la Chute. Sauf qu'il n'avait pas peur pour lui, les anges étaient prévisible, sans imagination pour se qui était des châtiments. Forcement ils demanderaient un coup de main à l'enfer, assurément ils prendront l'options du feu infernale. Mais Aziraphale.

Et si ils n'écoutaient pas Hatsur qui voudrait surement le voir fondre dans une flaque d'eau bénite ? Ou si ils le torturaient avant la destruction, et si ils le gardaient pour essayer autre chose, pour l'éternité, et il serait responsable de l'enfer de son ange, et lui serait sauf, seul. La Terre n'a de sens que si Zira est avec lui. Et c'est cette évidence qui le fait trembler de tout ses membres, sa respiration plus hérétique qu'à l'habitude.

Il recopie les mimiques de son ange à la perfection, en même temps se n'était pas difficile à force de l'observer il le connaissait par cœur, mais il aimerait pouvoir les admirait encore et encore. Ça manière de se tenir à table, de déguster un plat comme il dévore un livre, son regard passionné, ses mots bien choisie, avec précision, pour retranscrire au mieux sa critique, ses impressions.

Juste l'idée, la possibilité, de ne plus les voir et de finir irrémédiablement par ne plus son souvenir aussi claire qu'avant, faisait monté des larmes qu'il pensait assécher depuis des millénaires.

Il essaya néanmoins de jouer son rôle à la perfection, de s'amuser un peu qu'en même, et de ne surtout pas se précipité vers la sortit, et encore moins de fondre en larme en le voyant arriver dans son corps qu'il reprit bien vite. Il rit de nouveau avec son ange, ils dînèrent ensemble, ne se quittant pas du regard, la peur avait été là des deux côtés.

Mais lorsqu'ils trouvèrent l'intimité de leur entre, que les portes de la boutique miraculé furent fermer. Ils se prirent dans les bras, tout tremblant, un baiser désespérait fut échangeait et ils se promirent, vulnérable comme ils ne l'ont jamais été, que plus jamais il n'y aura d'au revoir.