Premier truc que j'ai imaginé avec le thème "secret"

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C'est pas du Good Omens, et c'est TRISTE, donc si t'es déprimer, LIS PAS!

Juste tout le contenu de cette histoire m'appartient, les persos aussi!

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Le planché grinçait sous ses petits pas, délicatement elle se hissa or de la trappe et s'assit quelque instant le regard hagard. Cela faisait des années qu'elle n'était pas monté ici, le grenier était beaucoup moins chaleur et mystérieux que dans son souvenir. Le vent avait arracher des tuiles, la neige troué les poutres, l'abandon invité la poussière, le froid la mort. Elle s'emmitoufla dans son écharpe, maigre barrière entre sa peau fine, entaillé par le travaille, les années, les hommes. Elle se redressa, prenant garde à sa longe robe, délavé du bleu pastel qui rappelé à merveille ses yeux, autre fois d'un bleu pétillant mais froid, enfin, pour la plus part des gens.Elle avança d'un pas lent, ses pieds, seulement protéger par des chaussures troués, dépareillés, entaillés par des courses qu'elle avait mené.

Elle déambula dans le lieu étroit, des souvenirs d'enfant lui revenant en mémoire, tous voilaient par la tristesse, les regrets, la nostalgie d'un temps qui ne serait plus. Il y avait encore des habits qu'elle utilisait pour se déguiser, avec elle, des épées pour jouaient avec ses frères, des cachettes pour se perdre dans un monde qui n'appartenait qu'a eut. Il ne restait là que des aillons et un vieux miroir briser dans lequel, autre fois, elle s'admirait, se pavané sous le rire cristallin, se rire que jamais elle n'oubliera.

Elle s'accroupit devant la glace briser, délicatement se saisit des bout de verre pour accédé au sole. Les lattes étaient encore intacte, elle retient sa respiration, quelque seconde lui paraissant des heurs pendant qu'elle dégageait le plancher, elle soupira de soulagement en la revoyant, se petit coffre qu'elle avait caché là, pas si bien qu'elle le pensait étant enfant, n'importe qui aurait pu le découvrir mais il était là. Un sourire triste orna ses fine lèvre jérsé par le froid, elles furent rose, voir rouge, mais c'était il y a des années, des siècles peut-être. Elle replaça ses long cheveux blond, bouclé, qu'elle adorait coiffer, ventant leur couleur de blé. Que dirait-elle d'eux aujourd'hui, aussi sale qu'il était, en aurait-elle été dégoûter ? Impossible.

La jeune fille attrapa le précieux objet, dégageant la poussière de ses long doigt maigre. Le coffré en bois de chêne, gravé d'arabesque d'or, dessinant un pin, un oiseau, une fleur. Un regard tendre se posa sur l'objet, plein de larme bien trop versé. La jeune fille se redressa et se dirigea dehors, la maison était en ruine, bombardé depuis longtemps, mais elle avait toujours l'impression de voir la charpente fumer qu'elle bonheur que l'aile gauche avait été épargner, qu'elle malheur aussi. Le visage fermait, elle se dirigea vers le feu crépitant qu'elle avait allumé.

Elle n'ouvrit pas la boite, elle n'avait pas la clé, mais elle n'en avait pas besoin pour se remémoré toute les lettres qu'elle contenait, des lettres d'enfants, des lettres d'amour qu'elles s'envoyaient. Elle aurait t'en voulu les relire avec elle, voir ses yeux bruns pétillait devant les mots doux qu'elles s'étaient inventés, son rire éclaté devant leur maladresse et leur niaiserie infantile. Sentir encore ses lèvres sur les siennes, rougissant de plaisir, ses belles mains, sa peau douce la parcourir, juste une fois de plus, avec tout le désire et la douceur qu'elle voulait, que personne, certainement pas un homme, pourrait lui apporter.

Mais tous ça n'existe plus, sa voix chantante, la consolant ne s'élèvera plus, ses hanches plus jamais ne se balancerons dans se rythme qu'elle seul connaissait, ses cheveux brun ne défieront plus le vents, son parfum -un mélange de rose, de safran et de sel- ne lui parviendra plus, et en jour, se jour funeste et maudit. Elle l'oubliera. Car elle est morte. Les hommes ont assassiné son amour. La guerre la privait de ses cendres. Les autres le droit de la pleurait, de hurlait pour sa destiner perdu. Le vestige, la preuve de se passé idyllique qui avait miraculeusement existé, malgré tout. Brûle désormais sous ses yeux bien trop humide. Il n'y avait plus de preuve de se que les autres appelaient pêché, infamie, dégouttant. Il n'y a que sa mémoire, et la promesse qu'elle lui a faite, celle de vivre, de lui survivre.

Désormais elle sera seule détentrice de se secret qu'elle a un jour appelé bonheur.  


OS et autres défis pour le discord Good OmensWhere stories live. Discover now