Liam
2jours s'étaient écoulé depuis que je leur avais dit. Ma mère a foutu mon père a la porte car elle en pouvait des remarques qu'il me faisait. Contrairement à ce que j'ai pu penser. Ma mère m'aide plus que jamais. J'avais décidé que dans tous les cas je devais assumer, et aller en cours. Theo traine avec moi même si je suis très réticent. Mason aussi me soutient.
- Regarde c'est lui qui est enceint de jumeaux.
- Il aurait pu se protéger. Je suis sur, il connait même pas le père.
Je baissai la tête. J'avais mal. Ils me critiquent tous. Théo arrive justement.
- Comment tu vas ? Dit il en prenant mes mains.
- Ouais ça va..
- Mes bébés vont bien ? Dit il en accentuant sur le mes.
- Théo je t'en prie arrête.
- Non, je ferai tout pour qu'on forme une vraie famille...
- depuis quand ils sont ensemble, ces deux là, dit l'un d'eux.
- Depuis 5mois, mentit Théo. Maintenant vous lui fichez la paix ! Aller vient Liam, je te ramène. Tu viens Mason je te ramène aussi.
- Non je vais voir Corey moi.
- D'accord dans ce cas, à demain.
Théo m'emmena dehors sauf qu'on tomba sur Zac. Non.
- Alors comme ça tu voulais garder l'info pour toi.
- Laisse le Zac !
- Ce sont mes enfants non ?
- Ce sont les miens. Arrête va-t-en.
Je reculai mais Théo m'attrapait pour me coller à lui.
- Laisse le tranquille. Ce ne sont pas les tiens. J'ignore comment tu l'as appris mais tu l'oublies et tu me laisses d'ailleurs tranquille sinon je balance tout quitte à me faire condamner ! J'ai rien à perdre appart peut-être ne pas voir mes bébés grandir mais si je dois le protéger, je le ferai.
J'étais choqué. Theo était prêt à se faire condamné pour me protéger. Je passai mes bras autour de son corps en fonçant ma tête dans son cou.
- Va t'en Zac. Toute de suite.
Zac parti et je sentis Theo poser sa main sur mon ventre.
- Ça va ?
- Oui, dis je en restant dans la même position.
- C'est fini, dit Théo caressant mon bras avec son autre main. Je suis la, il est parti.
- Mmmh. Je suis bien ainsi.
- Ah ouais, dit il en rigolant. Mais on doit y aller ! Je te ramène.
Je souriais doucement et me décollai. Il me ramenait Chez moi tous les jours.
