les jumelles swan

Chapitre 13:

je me réveilla sans la chaleur habituel de jacob. j'eu d'ailleurs un peu froids cette nuit. je m'habilla puis prépara mon sac a dos pour aller voir harry ainsi que la famille wesley. je pris la poudre de cheminette que ginny avait apporté lors de sa journée avec nous. j'arriva dans le salon des wesley, j'apperçus ron sur une chaise de la cuisine, je me dirigea silencieusement vers lui je lui couvrit les yeux et je dis d'une voix que j'éspére grâve :

-devine qui c'est !

il se leva et se tourna vers moi tout en s'exlamant "hermione''. il me pris dans ses bras et me dit que je lui avait manqué. alors que je demanda ou était ginny et harry il me dit toute sa famille etait partie faire des boutiques tendis que son pére etais au minister. il annonca finalement que l'on etait seul toute la journée. je proposa alors de repassé mais il s'écria ''NON'' avant de se reprendre et de me dire que je pouvais attendre avec lui.

on discuta un peut mais l'ambiance etait plutot froide, je ne voyais plus le coté enfantin de mon ami, sa joie qu'il avait auparavant, certe il avait changé, la guerre nous avais tous changé.

il me regarda d'un regard qui me fit froid dans le dos, il me dis alors ''j'ai envie de toi'' je me leva sous la peur et lui révéla que j'avais déjà un copain. ronald s'en ficha éperdument et m'entraina dans sa chambre, il me colla par la suite sur le lit avant de mettre des sort de chene magique me reliant au lit. il mis un sort de silance autour de nous avant de me chuchoté ''et si tu enleve une couche'' j'avais trés peur, je ne voulais pas croire que c'etait vrai. je devais faire un cauchemard. je ferma les yeux de toute ma force mes lorsque je les rouvris je vis ron enleve son tee shirt et puis déchira le miens.

je sentit des larmes chaudes coulé sur mes joues. ronald commenca a déplacé ses mains vers ma poitrine, j'essaya de l'empéché mais les liens qu'il avait formé avec de la magie noir se resserrent autour de mes poignée. je fini par le laissé faire. je voulais mourire a cette instant. se salaud prenez du plaisir a me violé. il me chuchota d'une voix suave des insultes. alors qu'il alais me masturbé j'eu un mouvement de lucidité, son oreille etait si prés de mes lévres que je cria a fond et j'invoqua ma baguette réste dans le salon avec un sortilége informulé. lorsqu'elle arriva dans ma main j'envoya valsé ron a l'autre bout de sa chambre et le pretrifia. j'enleva le malefice des menottes puis je  recupéra vite mon sac tout en métant vite un long tee shirt de jacob ainsi qu'une cullote et un pentalon, je pris la poudre de cheminette et rentra chez moi plus que chambouller.