Partie 57.

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➵PDV ALEC :

Cela fait déjà deux semaines que nous sommes arrivés à Birmingham, cela fait aussi deux semaines que Gabriella ne m'adresse plus la parole après que je lui ai avoué en quelques sorte ma véritable identité  , ce qui m'a valut juste après ma déclaration, une énorme gifle. Au début elle avait dû mal à y croire et pensait que tout cela n'est qu'une mauvaise blague mais Gabriella est intelligente , elle sait réfléchir d'elle même et les preuves lui ont montrés que je ne lui mentais pas. Ce soir là on s'est violemment disputé . Je ne lui ai pas fais de mal , rassurez-vous ,jamais je ne pourrais lui en faire. Alors qu'elle....Ce soir là , j'ai bien cru que j'allais y passer . 

Elle était si énervée qu'elle a même balancée de rage une pauvre chaise et un vase qui n'avait rien demandé dans ma direction. Heureusement pour moi , j'ai eu le réflexe d'esquiver les projectiles qui ont finit leurs courses contre le mur. Puis alors que je pensais que le pire était passé , elle s'est mise à me frappé en touchant même ma blessure par balle qui venait d'être fraîchement recousue et purée qu'est ce que ça m'a fait un mal de chien. Ce soir là , je compris alors que la légende disait vraie, les latinas sont de vrais tarés !

Flashback:

<< - Alors tout ça , ce n'était qu'une mascarade ? Está claro que me has estado mintiendo desde el principio , Alec !(tu t'es mis à me mentir depuis le début, Alec) . Criait-elle dans tout le salon en pleurant.

-Comme une abrutie ,je t'ai avoué certaines choses douloureuses de mon passé . Je me suis ouverte à toi ! Je t'ai dis des choses que même à mes meilleurs amis je n'ai pas été capable de dire et toi tu n'as même pas été capable de me dire ça ?  criait-elle.

J'aurais voulu que tu me le dises Alec ...Quitte à être déçue ,  j'aurais au moins su où je mettais les pieds dés le départ. Je pensais que notre relation avait démarré sur la confiance mais me has tomado por una idiota ! (mais tu m'as prise pour une idiote) Reprit-elle en frappant mon torse de toute ses forces .

- Je te fais confiance...Mais pas au point à te raconter mon passé dans les moindres détails . Puis je pensais avoir laissé tout ça derrière moi lorsque je suis arrivé à San Francisco. Je pensais que je vivrais toute ma vie loin de tout ce qui me reliait à mon nom de famille puisque ça faisait déjà quelques années que j'étais parti. Et puis , j'aurais jamais pensé te rencontrer et encore moins que Léo se pointe un jour au shop alors que tu y étais avec Doddy et à partir de là tout est parti en cacahuète...

- JE VEUX RENTRÉ CHEZ MOI ! 

-Ce n'est pas possible , Léo a mit ma tête ainsi que celle de mon entourage à prix alors puisque tu as été vu en ma compagnie...

Gabriella s'est mise à hurler et à pleurer une fois plus face à mon annonce , en faite je n'avais plus l'impression d'avoir ma Gabriella en face de moi . C'était comme si une diablesse avait prit sa place à cet instant . Puis comme par magie , elle s'est calmé . Elle me fixa , immobile et à ce moment-là je ne savais pas véritablement si c'était un bon signe ou non. Dieu seul sait si à cet instant , elle a comprit ce qui lui arrivait ou si elle allait encore une fois me sauter à la gorge.

- Tu ressens quelques choses pour moi au moins Alec ? Me dit-elle le regard remplit de larmes presque dans un murmure. 

À cet instant , j'avais envie de la prendre dans mes bras et de la serrer fort contre moi tellement elle me paraissait fragile . Elle était fatiguée , chamboulé et à bout de nerfs par tout ce qu'elle venait de subir . J'aurais aimée la réconforter et lui faire la déclaration qu'elle attendait. Lui dire que je l'aime plus que tout au monde et qu'elle est importante à mes yeux, mais je ne sais pas dire ces choses là . Je n'ai jamais prononcé de tels mots . Je ne sais même pas si je suis amoureux d'elle depuis tout ce temps...

Les Contraires s'attirentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant