Partie 67.

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⚠️INFORMATION : 

Coucou , j'espère que vous allez bien. Comme vous le savez sûrement , la fin des vacances est proche . Personnellement , je reprends les cours dés Lundi , ce qui risque de chambouler un peu le rythme de mes publications . Je vous informerais de toute modification à travers des posts pour ceux qui me suivent. 

De plus , j'ai déjà écris la fin de cette histoire alors le temps d'attente entre les publications ne devraient pas être trop long, il me faut juste du temps pour me relire et corriger les fautes si il y en a. En tout cas , j'espère que vous m'en voudrez pas trop . 😅

📣 N'oublier pas ma nouvelle histoire "Hayati " est désormais disponible.(Allez jeter un coup d'oeil ça me ferait très plaisir). 

Maintenant j'arrête de vous embêtez et vous laisse avec la suite. 

Bisous Ella. ❤️

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➵PDV Gaby

A vrai dire depuis que je suis arrivée ici , je ne sais pas réellement dans quoi je me suis embarquée mais je dois avoué que cette part de danger et d'action m'enthousiasme secrètement . Je ne sais pas vraiment ce qui m'attend plus tard dans la soirée , c'est vrai quoi mise à part dans les films , je n'ai jamais su comment se déroulait une telle transaction et puis à quel moment vous dit-on de portez une robe et des talons pour aller récupérer des armes à un endroit où vous risquez d'y laisser votre peau ?

- T'es prête ?

Je me regarde une dernière fois dans l'immense miroir face à moi et observe chaque détail avec minutie . Mon maquillage est subtile mais embellit nettement mon visage .Mes cheveux sont parfaitement relevé par une haute ponytail , ma robe acheté chez un créateur hors de prix m'arrive jusqu'au chevilles , ce qui il faut se l'avouer ne sera pas pratique pour courir en cas de merdier . Je la relève un peu et constate que mon arme est solidement attaché contre ma cuisse . Je laisse le pend de ma robe retombé et réajuste mon décolleté . Je descends mon regard et m'aperçois que ce sera peut-être eux la raison de mort prématuré : mes chaussures à talons . Ce sont des sandales ouvertes où mon pied n'est retenu que par deux fines brides , autant vous dire que si l'une d'elle se casse je suis dans la merde . Je ne porte que des points d'oreilles en diamant ainsi que deux bagues en or blanc. Honnêtement , je ne saurais vous dire comment elles ont atterris dans mon dressing . Je me souviens seulement que deux jours après de mon arriver ici , je suis allé prendre mon petit-déjeuner avec Aaron et qu'en remontant dans ma chambre quelques heures après , j'ai eu l'honneur d'y découvrir un dressing pleins à craquer avec des vêtements de toutes sortes : pantalons , robes ,vestes , sous-vêtements ,rien n'avait été laisser au dépourvu et le comble dans tout ça c'est que c'était carrément des vêtements que j'aurais pu acheter de moi même enfin si j'avais été riche .

- Cette robe possède-t-elle une fermeture éclaire ? Me demande-t-il en observant mon vêtement avec minutie.

- Pourquoi cette question ? 

- Je me demandais juste comment j'allais pouvoir l'enlever ce soir.

Je tourne la tête vers mon interlocuteur et y découvrir un homme ravissant . Son costume est assortit à ma tenue. Les chemises blanches et son corps ont toujours fait un mariage parfait . Il porte de sublimes chaussures italiennes en cuir vernis , des boutons de manchettes hors de prix ainsi qu'une montre qui pourrait pratiquement valoir le PIB d'un pays tout entier . Ses cheveux sont soigneusement coiffés avec un parfait dégradé. Aucune trace de barbe autour de ce magnifique sourire fait de dents toutes blanches mais toujours ses hypnotisant yeux verts qui semblent détaillés chaque partie de mon corps avec envie. Je me rapproche de corps d'apollon et prend la liberté de poser mes lèvres contre les siennes pour déposer un baiser enivrant. Ses bras entourent mon corps comme il sait si bien le faire et sa langue franchit la barrière de mes lèvres pour venir s'entrelacer avec la mienne . Des frissons parcourent mon corps tout entier , une flamme réchauffe mon bas du ventre comme à chacun de nos contacts et je me laisse emporté par ce délicieux moment oubliant presque nous sommes attendus. C'est à bout de souffle que mon tatoué mit fin à notre contacte . Un sourire se dessine sur ses lèvres , il s'approche dangereusement de mon cou et finit par me dire :

Les Contraires s'attirentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant