Salam'u Aleikoum,
Je vous prie de m'excuser pour ce retard, j'aurai du poster la partie « Crime secret » hier soir mais je voulais perfectionner le tout.
Bonne lecture à vous.
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... - Je te parle.
Je me suis retourné vers lui, avec effroi. J'ai tout meme essayé de faire comme s'il ne me faisait plus peur...alors que Dieu seul sait ce qu'il y avait réellement dans mon coeur. Il était en face de moi, habillée de son uniforme de conducteur de la RATP, avec son sac. Il avait l'air de ne rien comprendre puisqu'il fronçait les sourcils:
Moi - Je pars
Lui - Tu pars ?
Moi - Oui
Il est détendis ses sourcils avant de faire comme si de rien était. J'avais du mal à croire qu'il n'était plus énervée:
Lui - Pourquoi Néné ?
Moi - ...
Il se dirigea sur le lit, poussa un de mes t-shirt avant de s'asseoir et de me regarder.
Lui - Tu veux partir, il y a bien une raison ? J'aimerai la connaître.
Moi - Je n'en peux plus.
Lui - Ah. C'est à dire Nene ? Assumes tes décisions et parles moi clairement.
Je pris une grande inspiration, et puis quoi qu'il puisse arriver...au moins j'aurai tenté quelque chose. Il faut que je me batte pour moi, sinon personne ne le fera pour moi de toute façon:
Moi - Je pars parce que vivre avec toi est devenu un supplice. T'es devenu mauvais, t'as plus aucune peine, aucune once de pitié en toi. Je pensais que c'était moi le soucis après les mots que tu m'as dis y a quelques jours, mais je me rend compte que le seul qui fasse pitié ici c'est toi. Tu n'es pas fous, au contraire tu sais très bien ce que tu fais mais c'est mort...je ne te laisserai plus faire quoi que ce soit.
Il ne disait toujours rien:
Moi - Tu parle de fraîcheur mais moi je sais que je pourrai attirer n'importe qui. Toi par contre, tu es tellement pourri de l'intérieur que même si tu trouvais quelqu'un...elle finirait comme moi. Parce que tu es mauvais, je ne te souhaiterai jamais le mal parce que je ne suis pas comme ça mais saches que tu ne mérites personne qui t'aime comme j'ai pu le faire. Ou plutôt comme j'ai fais l'erreur de le faire.
Après avoir sorti ces paroles de mon coeur, je sentais libre...j'avais l'impression d'être légère, d'avoir un poids en moins en me disant que j'lui avait fait fasse avec détermination et dignité.
Je le regardais avec tellement de mépris, d'une façon tellement hautaine...si je pensais encore le connaître, je dirai qu'il a été touché par mes propos. Mais son visage restait toujours aussi neutre, impassible comme si je vais rien dis. La seule chose qui le trahi fut ses points, ils les avaient serrés au fur et à mesure que je parlais.
Alors il se releva avant de passer devant moi et de se diriger vers la porte de la chambre:
Lui - en ouvrant la porte - Dans ce cas là, tire toi. Casse toi et ne pense plus jamais remettre les pieds ici.
Moi - Je...
Lui - CASSE TOI NÉNÉ
J'avais du mal à m'imaginer qu'il me demandait de partir, c'était donc aussi simple ? Je le regardais avec tellement de méfiance, lui me regardait avec haine. Je me dis alors que c'était le moment ou jamais, si je ne saisissais pas cette chance peut-être que je ne pourrai plus jamais revoir l'extérieur. Je saisis alors ma valise et mon sac de sport avant de me diriger tout doucement vers la porte de la chambre, toujours en le regardant avec méfiance.
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J'ai tué mon homme.
Ficción GeneralLa décente aux enfers de Ngoné... Première histoire « Farah - Du kidnapping au Thug Mariage » "Art. L. 121-1. L'auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel...