Salam'u Aleikoum,
Je vous prie de bien vouloir excuser mon retard. Les cours à distance de plus en plus rares poussent nos professeurs à nous bassiner de devoirs et d'examens blancs ( oui vous avez bien lu, en plein confinement ). Alors sachez que je regrette cette longue attente que je vous ai infligé.
Puissiez - vous trouver le bonheur dans la partie « La rechute » que j'ai vraiment eu du mal à rédiger.
Bonne lecture à vous.
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Ce matin, je me réveille avec un mal de crâne pas possible. Je tenais à ma tête en espérant que le mal passe mais rien. Alors je retire ma couverture avant de m'étirer et de me diriger vers la salle de bain.
Mon ventre était encore plus visible. Il fallait que j'aille à l'hôpital pour une consultation histoire de voir si ma grossesse se passait bien. Je devais être à quatre ou cinq mois de grossesse, je commençais doucement à sentir des coups dans le ventre.
Quand je les ai sentis pour la première fois, j'étais tellement émue. Fallait voir mon euphorie, j'en ai senti deux d'affilées puis plus rien. J'ai du attendre deux jours plus tard pour en recevoir d'autres.
J'ai donc fait ma toilette avant de prendre mon petit déjeuner. Personne n'était là, comme d'habitude, j'étais seule mais pas si seule vu que j'avais la meilleure compagnie que toutes personnes puissent avoir.
Je me suis ainsi mise à penser à Mari et Lola. Ça devait faire huit mois que je n'avais aucunes nouvelles Lola...en espérant qu'elle ne s'ennuyait pas trop.
Depuis un certain temps j'avais un haut le coeur, l'impression que quelque chose allait peut-être se produire...Ça me saisissait tellement que j'en avais vraiment peur.
Mais je ne comprenais pas pourquoi puisque Idi avait complètement arrêté d'être violent avec moi. Il ne m'insultait ni ne me frappait plus, la seule chose qu'il faisait c'était de me donner des ordres...mais rien de tout ce qu'il faisait un peu avant ma grossesse.
Je me méfiais quand même de lui, je n'oublie pas qu'il avait abusé de moi et tout ce qu'il m'avait fait endurer...bien évidemment qu'on est jamais à l'abris de rien avec lui.
J'avais prévu de m'enfuir avec mon bébé après mon accouchement. C'était dans mes plans, peut être retourner au Sénégal ou simplement fuir dans un pays limitrophe du genre l'Angleterre ou l'Allemagne.
C'était dans le projet et j'aspirais à cela. Il fallait que je nous protège, plus que je n'avais pas su le faire.
...
Cette soirée était particulièrement bizarre. La maison était vide comme d'habitude, je soupçonnais Idi d'avoir quelqu'un...de me tromper du coup.
Il était rentré aux alentours de dix-huit heures avant de repartir une heure plus tard, très bien habillé et parfumé. Vous dire que cela ne me faisait rien serait mentir mais pas comme on pourrait l'entendre.
Avec l'enchaînement des événements...la seule chose que je ressentais a l'égard d'Idi était de la haine, du dégoût et aussi beaucoup de peur. Il m'effrayait beaucoup et j'avais peur qu'à tout instant, il me refasse vivre le calvaire d'il y a quelques moi.
La situation était toujours la meme, je restais à la maison...il n'était juste plus violent et j'avais le droit de parler au téléphone avec ma mère une fois toutes les trois semaines. D'ailleurs je l'avais eu au téléphone il y a quelques jours, je lui ai annoncé ma grossesse...je ne vous dis pas l'état dans lequel elle était.
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J'ai tué mon homme.
General FictionLa décente aux enfers de Ngoné... Première histoire « Farah - Du kidnapping au Thug Mariage » "Art. L. 121-1. L'auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son oeuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel...