ʟᴇs ᴅᴇᴜx ᴄᴏᴜʀᴏɴɴᴇs {Eɴ ᴄᴏʀʀᴇᴄᴛɪᴏɴ}

Chapitre 2 : Confusions

Salut ! Voici le deuxième chapitre de mon livre, commentez, votez et abonnez !

Bisous 😘

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Après 12h d'avion,j'enchaîne avec 3h de limousine. Je pris alors mon carnet et mon stylo, et je commença à écrire :

Cher Journal,
Aujourd'hui toute ma vie viens de basculer. Je n'ai plus aucune issus. J'ai été amené de force au palais royal et nous avons plus de 13h de route ! Je crois que je vais mourir ! Non, je rigole. Et puis Jack et Arsène ont l'air cool ! (Enfin j'espère). Jack est plutôt du genre réservé et sage, alors que Arsène est plus cool et rebelle.

— Nous arrivons dans 30 minutes ! Nous averti le chauffeur.

Oh non ! J'avais oublié que j'étais enfermé avec 3 autres filles, super pomponnées. A mon avis, elles sont prêtes à tout essayer pour prendre le coeur d'un des deux princes. Je fut tirée de ma rêverie, car le chauffeur venait de garer la limousine. En face de nous se dressait le palais royal. Dans la cour, d'autres limousines étaient garées, leurs passagers se dirigeant vers le palais.

Moi et mes « fabuleuses »  camarades, nous nous rassemblant en un petit groupe, et suivons notre chauffeur. Une fois dans le hall, je resta pétrifiée sur place. Il était splendide ! Des dorures partout, avec des rideaux de velours rouge aux pompons  dorées. Le carrelage, du marbre, tout comme les deux vieilles cheminées devant nous. Sur les côtés, des escaliers de marbre recouvert d'un  tapis de velours rouge, -assorti aux rideaux- sont de part et d'autre du hall. Les escaliers se rejoignent en un magnifique balcon, doré lui aussi, et donne sur un couloir. Une dame arrive devant nous (entre les cheminées), et prend la parole.

— Bonjour mesdemoiselles ! Je suis Amandine, votre guide et aussi votre tutrice. Vous pouvez venir me parler quand vous voulez, et nous aurons des cours ensembles, car deux d'entre vous deviendrons de jolies princesses ! Il faut donc que vous soyez prête. Merci messieurs, mais je vais m'occuper de ces demoiselles. Dit-elle aux chauffeurs qui s'inclinèrent.

— Maintenant veuillez me suivre, et n'ayez aucune crainte, vos affaires ont étés posées dans vos chambres respectives.

Elle nous fit une visite guidé et dès le premier tournant, j'étais déjà perdue.

— A votre droite se trouve la Salle de Réception, là où se déroulerons les repas.

OK. Là c'est la Salle de Réception, là la Salle de Danse, Salle des fêtes, ici la Salle pour le Journal, ici encore la Bibliothèque, et le Boudoir réservé aux femmes.

Il y a tellement de pièces ! Amandine nous expliqua qu'on pouvais prendre notre dîner dans notre chambre. Je saisis cette occasion. On nous reconduit à notre étage et aussi à notre chambre. Lorsque j'entre, une fille s'est déjà installé et as pris les trois quarts de la chambre. Ce doit être ma colocataire. Une fois à l'intérieur, je me dirigeais pour lui faire remarquer qu'elle ne m'avais presque rien laissé, lorsqu'elle m'arrêtas net :

— STOP. Pas un pas de plus ! Ici, c'est ma partie de chambre. Toi tu as celle de l'autre côté de la barrière. Dit-elle me me montrant la limite qu'elle avait fait avec du papier-toilettes.

Non mais je rêve ! J'ai à peine de la place pour mon lit et ma salle de bain !

— C'est quoi cette histoire de « parties » ?! Et depuis quand c'est toi qui a toute la chambre !?

— Depuis toujours. Et puis je n'ai pas toute la chambre ! J'ai été gentille avec toi, je t'ai laissée le nécessaire !

— Rends-moi MA partie de chambre !!

— NON.

Cette fois c'en est de trop. Je m'apprête à me jeter sur elle lorsqu'on frappe à la porte. La porte s'ouvrit et le prince Arsène entra. Il est encore plus beau en vrai qu'a la télé !

— Qu'est-ce qui ne vas pas mesdemoiselles ? J'ai entendus des cris et je me demandais ce qui se passait...

— Oh Votre Majesté ! Il se passe que cette mauvaise personne voulais se jeter sur moi car j'ai pris le plus grand lit !

À la vue de a tête, il à l'air de se dire  « C'est une blague ? Elles se disputent pour un lit ! Elles sont vraiment immatures. »

— Mais ne pleurez plus Mlle. Turner, je vais moi même arranger cela...

— Non mais ça va pas  ?! Arrête de faire ton cinéma devant lui ! C'est plutôt moi qui devrais me plaindre ! Tu as pris plus de la moitié de la chambre ! Dis-je en lui criant dessus.

— Mesdemoiselles, je vois qu'il y a un léger problème. Dit le prince sans s'énerver.

— Je ne veux prendre le parti de personne, mais il y en a une qui a pris plus de la moitié de la chambre. Continua t-il

— C'est elle ! Dis ma colocataire en me désignant du doigt.

Je m'apprêtais à répliquer, lorsque le prince s'avança vers moi et me dit sans que l'autre peste ne nous entende :

— Je suis désolé pour vous Mlle. Fletcher d'avoir à supporter cette horrible fille. Si ça ne tenais qu'a moi je l'aurais déjà renvoyé chez elle et vous aurez pu avoir toute la chambre pour vous...

— Je suis ravie que vous soyez du même côté que moi.

— Oh, et puis ce n'est pas du tout mon genre de fille.

— Sans vouloir être indiscrète, c'est quoi votre genre de fille ?

— Je préfère celles qui ont du caractère mais pas trop, et en ce moment je vois que vous êtes gênée Morgane. Et je peux vous assurer que vous êtes bien plus jolie comme ça.

Complètement troublé par ce compliment inattendu, je lui répondit d'un tout petit merci, et il s'en alla rajuster la barrière de papier toilette qui sépare nos deux territoires. Une fois fini, cela était largement plus égal. Quoiqu'il en ai mis un peu plus pour moi.

— Mesdemoiselles, veuillez à ne pas toucher ce ruban de papier toilette s'il vous plaît. Je vous souhaite bon appétit et bonne nuit !

Une fois la porte fermée, la peste bondit sur moi et me supplia de lui dire ce que m'avait dit le prince.

— Non je ne te dirais pas ce qu'il m'a dit ! Ça ne te regarde pas !

À la voir comme ça, on aurai dit Satan. Je réussi à la repousser, et à la remettre derrière la limite. Elle ne broncha pas, et mes femmes de chambre qui s'étaient mises en retrait, s'approchèrent de moi. Une brune aux yeux bleus par-là la première :

— Bonjour Mademoiselle ! Je m'appelle Ana, et voici Maria, Lucile, et Maléïna, mais appelez là Mal.

— Salut les filles ! Moi c'est Morgane, mais appelez moi Gorme !

Éclats de rire général.

— Non je plaisante,appelez moi comme vous voulez. Je mange ici ce soir, si c'était votre question.

— Bien. Mal descend chercher le dîner de.......

Elle tourna la tête vers moi et je lui fis oui de la tête.

— .....de Morgane !

Apparement, elles n'ont pas l'habitude d'appeler les gens par leur prénom. Pendant qu'elles me mettaient en robe de nuit, je repassa ce qui c'était passé aujourd'hui. Le départ, l'arrivée, la visite, la peste, le prince...

Me pensées restèrent bloquées sur lui. Il est si beau... Et c'était très généreux de sa part d'avoir pris ma défense. Je m'arrêta de penser, car mon dîner venait d'arriver. Après cette journée bien remplie, je m'installa dans mon lit, et ferma les yeux. Je ne pris même pas attention, lorsque quelqu'un s'approcha de moi, et me fis un baiser sur le front. Je ne sais pas qui c'est, donc je me contente d'afficher un sourire aux lèvres. Puis je sombra dans le sommeil...

✰✰✰

Salut ! Comment a tu trouvé ce chapitre ?

Que penses tu de la colocatrice de Morgane ??

Je vous laisse répondre 😘