Chapitre 9 : L'avion

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Salut à toi ! Je poste un nouveau chapitre car Evasim16 me l'avait demandé, j'espère qu'il vous plaira ! Commentez, votez !

Bonne lecture !

✰✰✰

Je m'habille sans grande conviction, déçue de partir de chez moi si rapidement. Heureusement que j'avais préparé mon sac hier ! Je quitta ma chambre, et marcha lentement vers l'entrée. Je grava pour l'éternité chaque recoins de ma maison, dans laquelle j'ai grandis.

J'embrassa mon frère sur les deux joues, et il en profita pour le murmurer :

— Écoute petite sœur, si tu veux charmer ton cher Arsène, il faut à tout pris que tu reste naturelle. C'est ce qui le fera tomber dans les pommes !

— Merci pour le conseil même si je doute en avoir besoin.

Je le serra encore un bon coup avant de passer à papa.

Avec lui, pas besoin de mots, on se comprenais sans avoir besoin de prononcer le moindre mot. Il se contenta de dire :

— Fais attention à toi. Je t'aime très fort.

— Moi aussi, ne t'inquiète pas je ferais attention.

Je le relâcha, et me dirigea vers la porte.

Un garde m'attendait, et de nouveau, une immense foule avec pleins de journalistes se tenaient devant chez moi. Cela devenait embêtant d'être sans arrêt épiée ! Je me dépêcha alors de monter dans la limousine qui m'attendais.

Je continua d'écrire dans mon journal, vu que je n'avais rien à faire.

Cher Journal,
En ce moment je suis dans la limousine qui doit le ramener  au palais. Ça y est, Jeanne est véritablement morte. Je n'arrive toujours pas à m'y faire.
Elle a été incendiée, puis j'ai jetée ses cendres dans la mer. Elle a toujours aimé l'eau, le soleil, le sable.
J'ai pleuré, un peu, beaucoup, énormément. Mais je me suis vite ressaisie, et continué ma vie.
En partant du palais, je n'ose pas me l'avouer, mais Arsène me manque. Pas qu'un peu, mais beaucoup.
Je ne sais pas vraiment pourquoi.
Peu être simplement mon ami me manque ? Je ne sais pas.

Morgane.

Nous arrivons à l'aéroport, et montons dans le jet privé. Tout était très confortable, les sièges,les portes gobelets, les cousins. Je m'endormir tellement que j'étais bien.

Soudain, un bruit sourd me réveilla. Je te dis l'oreille pour voir si le bruit allait se répéter. Il se produit une deuxième fois. Puis une troisième, puis une quatrième. Je me leva et demanda ce qui se passait au personnel.

— Un moteur du jet a été cassé ! Me répondait une serveuse. Prenez vite un parachute sous votre siège !

Je mis du temps à comprendre sa phrase avant de me ruer sur mon fauteuil. Je chercha un gilet sous mon siège, et je le pris.  Je le lis sur moi, et attendis les instructions. Je sentis l'avion tanguer, et je pris peur.

Une porte s'ouvrît violemment, et j'entendais à peine ce que disait le pilote.

« ... sauter. Ne vous... ..... tout iras bien... .... signal...  ..... ! »

Puis il n'y eu plus que le bruit du vent s'engouffrant dans l'avion. Je vis les serveuses et serveurs sauter avec leur parachute sur le dos. Quelqu'un l'attrapa le bras, et me poussa dans le vide.
— Aaaaaaaaaaaa !!!! C'était mes cris.

Heureusement que j'avais remis mon pantalon de la veille ! Je ne continua pas de crier très longtemps, car l'air s'engouffrerait dans ma bouche, m'empêchant de crier ou de respirer. Quelqu'un m'appela, et je tourna la tête. Le pilote me souriait mal grès le vent, et me disait de tirer sur une languette.

Je compris seulement lorsque je regarde en dessous de moi : on se rapprochait du sol très vite. Je me dépêcha de trouver la languette. Elle était coincée dans moi sweet !! Je paniqua, me tournant dans tous les sens pour essayer de débloquer la languette.

Je n'y arrivais toujours pas et je le rapprochait à une vitesse surnaturelle du sol. Je tira de plus belle, inquiète de m'écraser au sol comme une crêpe dans une poêle. Je continua encore et encore, mais le vent plaquait le gilet sur ma poitrine, m'empêchant de l'attraper.

Toutes les autres personnes qui étaient à bord du jet avaient déjà leur parachute sorti. Je paniqua, et c'est seulement à quelques centaines de mètres du sol que je parvins à l'attraper et à tirer dessus.

Le parachute sorti brusquement, et un mousqueton me frappa à la tête. Je gémis comme un bébé. Soudain, mes pieds touchèrent le sol brusquement, et avant que je ne comprenne ce qui se passe, me m'écrasa par terre.

Le parachute me recouvrant, la chaleur du soleil transperçant le tissus. Je le releva avec quelques égratignures, mais d'autres étaient beaucoup plus blessés que moi. Un garde saignait abondamment d'une entaille à la joue. J'eus mal pour lui.

Lorsque je regarda au loin, je vis la cime de la plus haute tour du palais. Heureusement qu'il n'était pas loin ! En plus nous avons des blessés. La nuit tombait lentement, mais sûrement. Dans quelques heures il fera complètement nuit.

— Il faut trouver un abris pour la nuit !

Dis-je à toute l'équipe.

— Oui vous avez raison mademoiselle. Me répondit une serveuse.

— Il y a une caravane pas loin ! Annonça le pilote.

Nous nous dirigeons vers la caravane indiqué, et l'ouvrons : il y avait la place pour seulement 7 personnes...

— Alors les blessés et mademoiselle dormirons dans la caravane.

5 serveurs et 3 gardes m'avaient rejoins.

— Heu ça va pas être possible. 2 serveurs dormirons dehors !

Deux personnes se retirèrent.

— Non ! Je dormirais dehors, je ne suis pas blessée ! Protestai-je

— Oui mais vous êtes une sélectionnée...

— Ça ne change rien ! Je ne suis pas blessée, messieurs, vous dormirez dans la caravane.

Je partie m'installer devant la caravane, et m'assieds. Les blessés rentrèrent se reposer, et le reste de l'équipe fis comme moi. Les premières étoiles arrivèrent, et m'emmenèrent dans le pays des rêves...

✰✰✰

Alors ? Vous vous y attendez ? Je ne penses pas 😂

Allez je vous laisse ❤️

ʟᴇs ᴅᴇᴜx ᴄᴏᴜʀᴏɴɴᴇs {Eɴ ᴄᴏʀʀᴇᴄᴛɪᴏɴ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant