(POEME) Laisse-moi te conter

66 13 2
                                    

Laisse-moi te conter, mon Ami Cervidé,

Les merveilleuses contrées que j'ai survolé.

Par delà les forêts et mondes enchantés

J'ai découvert des trésors aux humains cachés.

Les merveilleuses contrées que j'ai survolé,

Éclatantes de beauté et magie mêlées,

De nymphes, de dryades et de fées peuplées,

N'étaient pour moi que source de félicité.

Éclatantes de beauté et magie mêlées,

Immenses reptiles aux écailles argentées

Avançant discrètement sous la canopée,

Serpentaient des rivières aux reflets dorés.

Immenses reptiles aux écailles argentées

Sillonnant ce monde avec légèreté,

Virevoltant dans les cieux, j'ai accompagné

Dragons et vouivres, et même dragonnets.

Sillonnant ce monde avec légèreté,

Mon âme s'égayant de ce monde éthéré

Et par la douce beauté de ces vies rêvées,

M'est venu ce poème que j'ai composé.

Mon âme s'égayant de ce monde éthéré,

Laisse-moi te conter, mon Ami Cervidé,

A quel point ce voyage a mon cœur éclairé.

Nous sommes les vestiges d'un monde oublié.

Comme une plume au ventOù les histoires vivent. Découvrez maintenant