Laisse-moi te conter, mon Ami Cervidé,
Les merveilleuses contrées que j'ai survolé.
Par delà les forêts et mondes enchantés
J'ai découvert des trésors aux humains cachés.
Les merveilleuses contrées que j'ai survolé,
Éclatantes de beauté et magie mêlées,
De nymphes, de dryades et de fées peuplées,
N'étaient pour moi que source de félicité.
Éclatantes de beauté et magie mêlées,
Immenses reptiles aux écailles argentées
Avançant discrètement sous la canopée,
Serpentaient des rivières aux reflets dorés.
Immenses reptiles aux écailles argentées
Sillonnant ce monde avec légèreté,
Virevoltant dans les cieux, j'ai accompagné
Dragons et vouivres, et même dragonnets.
Sillonnant ce monde avec légèreté,
Mon âme s'égayant de ce monde éthéré
Et par la douce beauté de ces vies rêvées,
M'est venu ce poème que j'ai composé.
Mon âme s'égayant de ce monde éthéré,
Laisse-moi te conter, mon Ami Cervidé,
A quel point ce voyage a mon cœur éclairé.
Nous sommes les vestiges d'un monde oublié.
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Comme une plume au vent
AléatoireBienvenue dans ce patchwork de textes. Ici la poésie côtoie le théâtre, la prose se mêle aux rimes, et l'imaginaire se joue de la réalité. Ici, c'est le monde des mots. Des mots pour rêver, des mots pour s'émouvoir... les mots d'une petite plume vir...