Point de vue de Manon
On avait une escale à Madrid comme a l'allée. Willa allé directement chez elle a Los Angeles, Stephen décide de resté avec nous pour nous aidé a prendre toutes nos affaires. A l'aéroport j'avais appeler Charles, Léo lui avait expliqué ce que j'avais subis, alors quand je lui ai dit qu'Alex était dans la nature et qu'Elliott allait sortir de prison, il a compris, je lui ai promis que je reviendrai le voir avant de reprendre le tournage a Vancouver après nos vacances.
Une fois dans le second avion, Marine dormait, elle était fatiguée. Elle avait l'air d'aller bien.
Du coup, on discutait avec Stephen de tout et de rien.
Moi : Marine ne supporterait pas restée sans rien faire, elle a besoin de travailler.
Stephen : Je peux lui avoir des pistes, pas lui obtenir un boulot direct, mais lui donner les bonnes adresses.
Moi : C'est gentil. Et alors cette maison ? Tu es sûr que Cassandra ne viendra pas ?
Stephen : Enfait c'est une maison que j'ai prise pour ma famille, quand ils me rendaient visite quand j'étais avec Cassandra, ma belle sœur à 3 enfants c'était plus confortable pour eux et ma mère, même si ils n'y sont venu que quelque fois, Cassandra a du oublier l'existence de cette maison.Je me souviens qu'il m'avait parlé de ses frères, le seul qui lui resté, il n'était pas proche de lui.
On discute un peu. Puis on regarde un film, Avengers le premier.
Une fois arrivé à Toronto, on part direct a l'appart, on dormait la cette nuit et on repartait au petit matin. Charles m'avait dit qu'il y avait un colis pour moi qu'il avait déposé dans le salon, j'ai pensé a un truc qui venait de la prod.
On entre dans l'appart.
Marine : Ne me dis pas que t'as commandé un carton aussi gros de maquillage et de fringues ?
Le carton était assez conséquent.
Moi : J'ai rien commandé, je suis à peine restée ici.
Stephen regarde, il venait de France.
Marine : Léo t'as envoyé un colis sans te le dire ? C'est peu être ta mère ?
Moi : Il n'y a pas de nom.
Je n'osais pas l'ouvrir, Stephen le dépose sur la table, et l'ouvre. Je ne regardais pas.
Stephen : C'est des vêtements...
Marine : C'est les vêtements que tu avais achetés pour heu.. pour Maël ...
Je me lève, je n'avais jamais récupéré les vêtements. Il était mort-né, Emilie m'avait donnée une seule tenue pour son enterrement.
Je prends le minuscule petit pyjama bleu, je m'assoie et m'effondre.
Stephen : Il y a une lettre... Tu veux que je la lise ?
Je le regarde, qui aurait pu faire ça ?
"Comme tu peux te rendre compte, j'ai ton adresse, et je me suis demandé comment je pouvais te le prouvé. Et comment je peux montrer que je suis encore dans ta vie, mon amour.. je"Moi : STOP.
Marine : c'est lui...
Stephen arrête de lire à voix haute.
Stephen : Alex a récupéré le carton au centre de femme battue où tu devais aller, et il l'a envoyé, et il a écrit tout ce qu'on a appris hier..
Je remets le pyjama dans le carton et je fonce dans la salle de bain, je ne respirai plus, je suffoqué.
Marine : ok, met ça dans le couloir, on va le donné, elle fait une crise d'angoisse, il faut attendre qu'elle se calme, elle va sûrement se mettre à hurler.
Je n'écoutais plus.
Point de vue de Stephen.
On entendait Manon pleuré, une telle tristesse sortait de ses tripes. Il avait touché son point faible cette ordure. Marine disait qu'il ne fallait rien faire.
Marine : C'est dure de l'entendre comme ça mais elle va se calmer, si ça n'arrive pas et qu'elle commence à devenir violente, c'est une douche froide...
On attend encore quelques minutes. Puis on entend des gros boums.
Marine : Manon, on est là ! Ne fais pas ça !
Manon : FOUS MOI LA PAIX !
J'ouvre la porte, elle était en train de frapper dans le mur, Marine essaie de la mettre dans la douche, c'était d'une violence.. Jamais je n'avais imaginé Manon comme ça. Marine n'était pas capable de la contrôler, je la sors de la salle de bain, et prends Manon dans mes bras, je la sers aussi fort que je peux, pour qu'elle arrête de se faire du mal et de faire du mal a Marine. Elle se débâter, je l'ai laissé faire. Je caresse ses cheveux.
Moi : Chuuut, ça va, je suis la, on a enlevé le carton, ça va aller. Il ne te fera rien.
Je la rassure pendant de longe minute, elle transpirait beaucoup, elle fini par arrêté de me frapper et accepte mon étreinte, elle était presque calme.
Moi : Je peux te lâcher ? Tu ne seras plus violente ?
Elle fait non de la tête.
Marine : Viens te laver.