CHAPITRE 18

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mai 1970

On est tous les trois dans la salle de bains, Brian, Roger et moi.

« Bon alors tu nous dis.

-A une seule condition, qu'après vous me parlerais toujours.

-Mais oui, à part si tu es une espionne et que tu veux détruire la planète, alors là je t'en empêcherais. dit Roger. Désolé je lis un peu trop de comic.

-Tu es excusé. Je pense que vous devriez vous assoir ça risque d'être long. ils s'assirent tout les deux sur le bord de la baignoire, et moi sur le tabouret. C'était en mai 1968, j'avais 17 ans, j'étais chez une amie avec d'autres amis, pour réviser le Bac. On avait bien révisé trankilou bellou. Il commençait à se faire tard, on décider de rentrer chacune dans nos maisons respectives. Je voulais pas rentrer en voiture...

-Parce que tu es une écolo ! dit Roger.

-Oui voilà pourquoi et je voulais pas déranger mes parents. Donc du coup je marchais seule dans la rue, parce que bien évidement on habite toutes dans une direction différente...

———————————————flashback—————————————
(tout en racontant l'histoire aux deux autres).
mai 1968

Je marches en direction de chez moi. Un homme s'approche de moi. Il pointe une arme sur moi.

« Passe moi tout tes objets de valeurs ! »

Dans mon sac, bien évidement, qu'est ce que j'ai, surtout pour une adolescente, surtout une adolescente comme moi, j'ai un paquet de chewing-gum, un livre, mes lunettes de repos, mes lunettes de soleil, et le nouveau 45 tours des Beatles que je voulais faire écouter aux files, qui justement l'on adoré, bref rien qui vaille quelques choses. L'homme s'approche de moi, et me met le pistolet sur mon ventre.

« Bon écoute je vais pas le répéter, passe moi tout tes objets de valeurs ! »

Je décide de prendre l'arme et de tenter de le désarmer, mais je me suis trop cru dans un film, on tenait tout les deux la gâchette. Puis il y a eu un coup de feu. L'homme tombe à terre, je vis du sang couler. Je mets mes mains sur la plaie, et tente d'appeler à l'aide.

« HEEEEOOOOO, IL Y A QUELQU'UN S'IL VOUS PLAÎT, IL FAUT APPELER UNE AMBULANCE ! »

Personne ne vint. La lueurs dans les yeux de l'homme s'éteint, c'est alors que je comprend, il est mort. Je m'essuies le front, puis je vois mes mains couvertes de sang, je m'essuie sur mes vêtements. Je vois a moins de deux mètres une cabine téléphonique. Je cours en sa direction. Merde, j'avais oublié, j'ai pas de sous, je vais fouiller dans les poche de l'homme et il y'a assez pour passez les appelles que je voulais passez. J'appelle la police.

« Allô, Police, j'écoute.

-Je viens de tuer un homme par accident, je suis dans la rue Truc Machin.

-D'accord une équipe arrive tout de suite. »

Je raccroche, je décide maintenant d'appelé ma mère.

« Allô, vous êtes chez les Watson.

-Maman.dis je être deux sanglots. Je viens de tuer un homme.

-Comment ça ? Kathleen, où es-tu ?

-On s'est battu et j'ai tiré, maintenant il est mort, ma vie vient à peine de commencer et j'ai tout gâché. Maman ! elle se mit a pleuré. Non! Pleure pas ! Si je suis pas là demain à la même heure continuez votre vie papa et toi. C'est trop tard, la police arrive je les ai déjà appeler. Au revoir. Je dois partir et affronter la vérité. Maman! cette fois ci c'est moi qui met à pleurer. Je ne veux pas mourir, j'aimerais à ce moment ne même pas être née. Je t'aime. Je dois te laisser il y a la police. »

Je raccroche, sors de la cabine et va voir un inspecteur. J'ai du mal à avancé, je suis encore sous le choc.

« Bonsoir, c'est moi qui vous ai appeler.

-Mais tu n'es qu'une gosse. Je suis l'inspecteur Garland. Tu vas me raconter ce qui c'est passé. »

Je lui raconte avec toute l'énergie qui me reste. L'inspecteur me regarde avec le plus grand sérieux. Et à la fin de mon récit, il me dit:

« Bon, Kathleen, vu que tu es mineure, c'était de la légitime défense, que tu n'étais pas armé. Normalement tout va bien se passer pour toi, peut être que tu pourras même retourner au lycée la semaine prochaine.

-Vraiment ?

-Oui. Je te le promet.

-Merci beaucoup, inspecteur. »

-——————————fin du flashback———————————

« Et du coup, il s'est passé quoi ? demande Brian.

-Il y avait une caméra de surveillance, celle d'une épicerie qui avait filmer toutes la scène. Donc, vu que j'étais mineure, sans décence, et que je m'étais juste défendu, et que ça m'a traumatisé, j'ai rien eu. Depuis je vois un psy et je peux tomber très facilement en dépression, c'est pour ça que j'essaie de toujours voir le positif de chaque situation, même si je l'ai toujours fais mais je le fais encore plus. brian m'essuie une larme qui coule sur ma joue, puis ils me font tout les deux un câlin. ça me fait vraiment du bien, quand ils lâchèrent l'étreinte je continues mon récit. Sandy et moi on s'est rencontrer à la fac, on chercher toutes les deux un appartement et on s'était plutôt bien entendu, c'est la première à qui j'en ai parler. Elle m'a beaucoup aidé. Parce que je suis capable quand je tombe en dépression, de rester dans mon lit et de me lever juste pour aller aux toilettes, pendant pas mal de temps. C'est dans mon lit que j'que passe tout l'été 1968. Voilà, j'ai terminé. Je vais aller chercher mes affaires chez vous.

-Pourquoi ? demandèrent Brian et Roger en même temps.

-Je suppose que vous ne voulez pas d'une colocataire qui quand elle tombe dans une dépression, elle restera au lit...

-Mais on s'en fous de ça, tu es notre amie. A partir de demain, enfin plutôt après-demain parce que je sens que demain on sera pas en état on commence à déménager tes affaires.

-Vous êtes les meilleurs! »

Je les pris dans mes bras. On se serra tout les trois pendant plusieurs minutes. Je pense qu'aucun d'entre nous voulez lâcher. On se lève et on retourne à la fête.

« On vous étiez ? demande Freddie.

-On discutait. répond Brian. »

Une demi-heure plus tard. On était tous fatigué. Tout le monde rentre chez eux et moi je part en direction de ma chambre. Je m'endors dans la minute.

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voilà voilà, je vous avez dis que je l'écrirai plus rapidement 😉 ,
bisou bisous
-Leyna

LOVES OF MY LIFEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant