CHAPITRE 17

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mai 1970

La soirée se passe super bien. C'est surtout Roger et moi qui choisissons les musiques, et comme elle convient un peu à tout le monde on nous dit rien. Il est presque 1 heure du matin et on est presque à court de disques, j'en ai pas des centaines. Donc Roger décide d'aller en chercher chez lui.

« Je t'accompagne.

-Comme tu veux.

-Sandy on va chercher des disques je viens de mettre un album entier normalement ça va vous faire tenir jusqu'à qu'on reviennent.

-D'accord, en plus. »

Elle est bourrée comme un peu tout les autres. Les moins ivres sont Roger, Brian et moi.

« Brian ! Je te les confis tu fais gaffe a ce qu'il ne fasse pas de bêtises.

-T'inquiète pas. »

On part de l'apparemment. Roger n'a quand même pas trop l'air en état de conduire.

« Roger, tu es un peu trop soûl pour conduire, donne-moi les clés, s'il te plaît.

-Non, ça va, je peux conduire. Et de toute façon il n'y a que moi qui conduit ce bijou.

-Si tu le dis Roger, mais aux dernières nouvelles je veux pas mourir dans la demi-heure qui va suivre, donc tu vas me donner ces clés s'il te plaît.

-Non ! Il n'y a que moi qui peut le conduire.

-ROGER MEDDOWS TAYLOR ! TU VAS ME DONNER C'EST CLÉS, ET JE TE PROMET QUE JE NE VAIS PAS ABÎMER TON VAN ! roger me regarder d'un air choqué.

-D'accord, tiens. Mais calme toi, s'il te plaît. il me donne les clés.

-Merci beaucoup, Rog, tu vois c'était pas si dur.

-Parle pour toi, c'était effrayant de te voir en colère.

-Navré que tu es eu a voir ça, tu avais qu'à a être plus coopératif. Bon tu montes ? »

Roger monte dans le van. Je démarre le moteur et part. Il a pas l'air super rassuré. On arrive sans encombre, comme je lui avait promis, chez Roger, Brian et chez moi aussi du coup. On rentre dans l'appartement.

« Ils sont où les disques ?

-Suis moi, ils sont par là. on se dirige vers le salon. Attend parce que il faut faire le tri parce que on va pas prendre ce que tu as chez toi. Ça serai con.

-Oui très. »

On tri vite fait les vinyles. On en prend une dizaine ça devrait suffire, je l'espère. En sortant je vois sur la commode de l'entrée une photo d'une femme.

« C'est ma petite-amie, Debbie, je t'en ai jamais parler ?

-Non, en trois mois, tu m'as parlé de tout et de n'importe quoi sur toi et ta famille mais tu m'as jamais parlé d'elle, et tu me l'as jamais présenté.

-Bizarre, bien il faudrait elle est géniale. Bon on y va. Tu conduis.

-Mais qui êtes vous sortez du corps de Roger, s'il vous plaît. Il me
laisse conduire. on se mit à rire tout les deux. »

On arrive un peu moins d'une dizaine de minutes plus tard. On met un nouveau disques, un d'Elvis Presley. Et tout le monde continu à danser et à boire. Au bout d'un moment, Sandy monte sur la table de la salle à manger et demande à tout le monde de se taire et je baisse la musique.

« J'aimerais dire quelques choses. A toi Kathleen pour commencer, tu es ma meilleure amie, même si on est totalement opposé. Je sais pas comment je vais faire là-bas sans toi, bon ils nous reste encore une vingtaine de jours, on va en profiter ça je te le dis. Je suis aussi fière de t'avoir aidé, alors que tu étais au fond du gouffre il y a 1 an et demi, même si moi aussi je l'étais. Mais tu l'étais plus que moi. Bref on s'est entraidé et ça nous a toutes les deux permit de nous sauver la vie. Je vais pas m'éterniser avec mon discours, donc voilà et je promets que la vielle de mon départ on fera une soirée parce que je penses qu'on en aura besoin. Sur ce je suis claqué, bonne nuit, vous inquiéter pas vous pouvez continuer à vous amuser, je mets des boules quies.»

Je l'aide à descendre de la table, lui fis un énorme câlin.

«Je t'aime, Kathleen.

-Je t'aime aussi, Sandy. Bonne nuit.

-Josh. Tu viendras me rejoindre quand tu serais fatigué.

-Oui, oui, t'inquiète pas mon amour. Bonne nuit. »

Sandy part en direction de sa chambre. Roger et Brian s'approche de moi:

« Euh...on veut pas paraître indiscret, tu nous dis si ça te dérange, pourquoi Sandy a dit que vous
étiez tout les deux quand vous vous êtes rencontrés au fond du gouffre ?demande Roger

-C'est une histoire assez compliqué mais je pense qu'en parler me fera du bien. Mais pas ici. Allons dans la salle de bains, c'est la pièce la plus éloignée. »

On se dirige tout les trois dans la salle de bains. Dans quelques minutes ils seront ma part d'ombre qui a eu dans ma vie.

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voilà voilà, je vais essayer d'écrire le prochain chapitre un peu plus rapidement sur ce je vous laisse
bisous bisous
-Leyna

LOVES OF MY LIFEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant