the memory of a night(corriger)

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Une ombre se faufile dans les rues sales, les bruits de la rue semblent se taire, les hommes et femmes frivoles se taisent et regarde ce magnifique jeune être, enveloppé d'une capuche noire leur envoyant un sourire charmeur. Cette personne tient par la main un vieil homme, mais en regardant attentivement, on remarque que le vieil homme a une arme coincé à la ceinture dans son fourreau. Ils entrent dans un pub réputé pour vendre des enfants et des combats clandestins.

Je vérifie que Sals (le détective) me suit, je vais directement au bar et regarde le propriétaire et barman, je sens le détective se tendre, s'il se fait démasquer son sang servira à repeindre les murs verts ternes.

Cela fait longtemps que je ne suis pas venue ici. Je voulais éviter le barman de la semaine, et les week-ends, je nettoyais l'orphelinat...

Le barman me sourit, se dirige vers moi, et s'exclame,  « notre loup solitaire est revenu, une tournée pour tout le monde, c'est moi qui régale.» Il pose une chope de bière en face de moi, je retire ma capuche et lui souris, le détective fronce les sourcils. Une fille me tape sur les omoplates et me demande de combattre dans l'arène contre elle, je la regarde et lui souris, je rentre dans l'arène, m'échauffe, le combat commence.

À la fin du combat, je relève la fille, et lui dit souriant,  « tu t'es améliorée. » Je lui demande si elle a des infos sur les enfants disparus. Elle m'indique les rumeurs qui court à ce sujet. En trébuchant, je prends la trousse de soin du docteur et désinfecte mes plaies.

Je retourne voir Sals pour savoir s'il a des informations, il n'en a pas, alors fièrement, je lui dis ce que j'ai récolté. Il semble fier de moi. On repart, mais je sens une présence qui nous suit. Je tourne dans une ruelle étroite, du coin de l'œil je vois un objet briller, j'espère que ce n'est pas un couteau, discrètement je prends mon petit couteau que je cache dans mes bottes, il se rapproche et je roule sur le sol, me met face à celui qui nous suivait, le détective prend son arme et menace notre suiveur. L'homme lève les mains en l'air.

« Je t'ai entendu parler des enfants disparus, je suis le père de Myosotis », le détective m'avait dit que tous les enfants qui avaient disparu à l'orphelinat avaient une famille. Je jette un œil au détective, il baisse son arme, je reste quand même sur mes gardes. Mais le trouble de Myosotis n'était pas feint. J'interroge le père de famille.

Je rentre dans la maison de Sals et m'allonge sur le lit, j'ai déjà 4 suspects. Je regarde le plafond, et doucement, je m'endors.

« Je vous retrouverais, s'il arrive le moindre mal votre kidnappeur n'aura qu'a bien se tenir. »

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