Les cris de joie des enfants et le sang se mélangeaient dans une valse morbide. Chacun rassuré de ne pas être dans la fosse à l'odeur putride ou était emmaillotée des dizaines d'humain, leur sépulture se résumant à une décharge. Alors qu'il regardait parmi les corps, presque inquiet de trouver son camarade, ses yeux se fixe sur quelque chose de brillant, il se dit que sans doute était-ce le bras mécanique qu'il avait perdu dans la bataille. C'était naïf de penser que peut-être il serais vivant... Mais il courut vers cet objet brillant. Il courut vers cet objet en espérant retrouver son seul ami... Il tomba s'écorchât, mais continua sa course. Arrivée au bras de métal, la trace malodorante de sang l'imprégnait, il cria son nom comme s'il pouvait invoquer un mortel.
Ses yeux fouillant autour de lui, appelant l'homme qui a sus lui offrir une famille. Eden vinket til meg,si at du fortsatt er fra denne verden.Ikke si at det var svanesangen din,send meg dine airwaves* suppliait-il.Jamais il n'y eu de réponse a ça prière, l'a-t-il seulement entendu ? Désespéré Widar se laissa tomber à genoux, et sera contre son cœur le vestige d'Eden.
« Au final, tu as retrouvé le corps de ton amie Papa ? » Widar décoiffa son enfant, il est tard Eden, va te coucher répondit le père de famille à son enfant. Il monta les escaliers et allonger seul dans son lit se dit qu'il aurait aimé qu'Eden soit là pour voir son enfant, pour lui raconter son histoire... Il ressort la dernière lettre de son amie et frère de cœur, il relit son histoire, comme tous les soir, il pleure, celui qui aurait de l'être à ses côtés lors de son mariage, il aurait dû être là lorsqu'il a divorcé. Mais il n'est pas là, plus là, il ferme les yeux encore embué de larme qui roule aux coins des yeux ou elle se bloque collant ses paupières...
Je faisais fasse au soi-disant Dady et à la fille que je soupçonne d'être cannibale. Hel prêt de moi me chuchote Geef ze, Heer, eeuwige rust,En laat het licht van je gezicht erop schijnen.,Mogen ze in vrede rusten. Amen**. Je compris un peu, elle m'adressait une prière, elle savait que nous mourions ici...
Je mis ma main sur mes dagues et lançai l'offensive, je menais la danse morbide, ou le sang coulait, ou le feu ardent de l'adrénaline me consume me rendant à l'état naturel, celui que tout Homme craint, la bête en nous qui se nourrit des biens qui nous entoure et que l'on nommait pécher. À côté de moi, Hel se déhanchait pour esquiver les coups, elle semblait danser un tango avec la mort. Je voyais du coin de l'œil la petite fille du bar, elle tenait une faux dans sa main, je savais qu'elle était à l'origine de tout cela. C'est une soldate, elle est celle qui éliminât ses ennemies en un clignement d'œil.
Celle qui n'apparaît que lorsque la mort est proche, certaine dise qu'elle sent la terre après la pluie, les fruits trop mûrs sur les trottoirs, qu'elle sent le sang dans le désert, que sa peau est comme des écailles de serpent, froid et dure voir coupant.
Concentré sur la fille, je ne vis pas le coup me trancher le bras de métal, qui tombât avec une partit de l'épaule, je me suis demandé un bref instant comment son arme pouvait être aiguisé à ce point avant d'être plié de douleur et que le sang ne parte comme une cascade de vin. Je brandis ma dague dans un dernier effort sur la carotide et je sentis le sol être plus accueillant qu'il ne l'avait été depuis le fameux jour ou mon frère partit...
Hel, quant à elle, disparut et on dit que de temps en temps, elle retourne sur la tombe d'Eden et lui donne un simple bouquet d'Œillet, de Myosotis, de Magnolia, de Lys, de Colchique et enfin de Chrysanthème. Elle regrette chaque jour de ne pas avoir pu le sauver et d'être parti. Elle murmura sur sa tombe :
« Je me suis dit : « Je veux mourir. Je veux mourir plus que jamais. Il n'y a aucune chance de se rétablir. Peu importe ce que je fais, peu importe ce que je fais, c'est sûr d'être un échec, juste un revêtement final appliqué à ma honte. Ce rêve d'aller à vélo pour voir une chute d'eau encadrée en feuilles d'été, ce n'était pas pour des gens comme moi. Tout ce qui peut arriver maintenant, c'est qu'un péché grossier et humiliant sera empilé sur un autre, et mes souffrances ne deviendront que les plus aiguës. Je veux mourir. Je dois mourir. Vivre lui-même est la source du péché. »***
La fille a la faucheuse quant à elle mourut en sauvant sa sœur Hel, en lui murmurant te souviens tu de nos vie d'avant?...
Widar laissa un soupire s'échapper de ses lèvres et en se réveillant, il était dans les bras de son grand-père et de la famille d'Eden.
C'est ainsi que s'achève cette histoire à mon plus grand regret elle ne finira pas comme tous les conte et l'enfant de Widar retournera chez sa mère ou nous, il vivra sans doute, il vivra plus longtemps que son homonyme qui ne vivat que jusqu'à 30 ans.
*Eden fait moi signe
Dis-moi que tu es toujours de ce monde
Ne me dis pas que c'était ton chant du cygne
Envoie-moi tes ondes
**Accorde-leur, Seigneur, un repos éternel, Et laisse briller la lumière de ton visage dessus. Qu'ils reposent en paix. Amen.
***citation d'osamu dazai(l'auteur)
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Te souviens tu de nos vie d'avant?
Mystery / ThrillerCorriger par S.Watson dans un souvenir maudit le mystère s'éclairs . Car après tout... Le souvenir est une forme de rencontre.(- Khalil Gibran) Myosotis, Cymbidium, Hellebore tous les enfants disparus retrouveront t il leur orphelinat ou la fauche...