Direction Madrid - Octobre 2016 - 9h25
A l'arrière d'un fourgon nous étions tous assis en attendant que le Professeur nous conduise vers le premier lieu, là ou ce trouvais le matériels que nous allions amener à l'intérieur de la Fabrique.
La suite du plan n'étais pas bien compliqué. Nous devions stopper le convois servant à apporter les rouleaux de papier pour l'impression des billets à l'intérieur de la Fabrique. C'était notre porte d'entrée.
Nous avions bloquer la route qu'empruntais le camion. La E-80 particulièrement. Rio avait réussi à couper toutes les communications aux alentour. Puis nous avions pris en assaut le convois.
En compagnie de Moscou je m'occupais des deux policiers de la voiture arrière.
Puis Berlin, Denver s'étaient vêtis des combinaisons des Policiers, pendant que Tokyo et Nairobi ce chargeaient de remplir le camion avec le matériel qui allait nous servir et nos armes.
Moi, Rio et Moscou nous nous occupions des jeunes policiers et du poids-lourd, leur ordonnant d'enfiler les mêmes combinaisons rouge que les nôtres avant de les attacher à l'arrière de la remorque du camion.
Une fois tout le monde en place je refermai les portes de la remorque et m'installai arme en main pour garder un œil sur nos premiers otages.
J'étais quelque peu mal à laisse de braquer une arme sur eux, ce sont des jeunes policiers à peine expérimentés. Ils trembles et sont terrorisés que quelque chose leur arrive. Mais si rien ne dérape. Alors il ne se passera rien pour eux.
Puis le convois redémarre avec Berlin à sa tête, en charge de nous faire rentrer à l'intérieur de la Fabrique.
La suite vous vous en douter bien. Tout ce déroulais à merveille. Tout était parfais. Sans accros. Identiques aux entraînements. Le plan fonctionnais comme le Professeur l'avait prédit.
Mais... cela n'allais pas durer.
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Après de longues minutes d'attente, le camion s'arrêta.
Ça y est nous étions à l'intérieur de la Fabrique.
Je sortit, mon arme pointé sur les otages et les conduisait à l'intérieur du bâtiment.
Ils nous fallut que quelques minutes pour neutraliser tout les vigiles et regrouper tout les otages au milieux de la Fabrique.
Tokyo avait même fini par retrouver notre petit agneau : Alison Parker. Celle avec qui le plan fonctionnerait à la perfection.
C'est Berlin qui avait parler en premier, se présentant à tout les otages. Et c'est avec un tac incroyable qu'il arrivait à calmer toutes les personnes présente.
Puis nous avions ramasser tout les portables, couper toutes les alarmes, il n'y avais plus aucunes communication avec l'extérieur.
Le calme régnais encore dans les lieux. Mais ce n'était que pour une courte durée.
Tenant dans mes mains les derniers portables réquisitionner, je me dirigeais en direction de la salle de pause. J'entre ouvris légèrement la porte pour jeter un œil, j'aurais voulus pénétrer dans la petite salle de pause, mais a quelques pas de là, deux tourtereaux tentaient de cacher un fou rire derrière leurs mains. Tokyo et Rio avait quelque chose d'extraordinaire dans leur regard lorsqu'ils étaient ensemble. Ils étaient fous amoureux l'un de l'autre.
Je souris à la vue de ce petit couple, et me reculais. Je ne voulais pas les déranger dans leur moment intimes.
Pourtant lorsque je fis volte-face et que j'entrepris de faire quelques pas en avant, une main attrapa mon bras, m'obligeant à m'arrêter.
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La Casa De Papel
RomanceOC X Berlin Quel choix feriez-vous, si du jour au lendemain, on vous proposait un plan qui vous permettrait de changer de vie et fuir à jamais votre passé ? Et si ce plan, n'était autre que le plus gros braquage du siècle ? Avec 2,4 milliards d'eur...