leave me alone

chapitre 11 : karma

pdv toni :

Quand j'arriva dans la classe, je ne reconnu personne, j'étais sans mes amis dans une classe où je ne connaissais personne pendant qu'ils étaient ensemble. J'eu l'impression que mon karma s'acharnait sur moi ...

pdv cheryl :

Avant de partir en cours, je décida de faire un petit détours vers le lac. On aurai dit que le temps était figé las bas. J'allais partir quand j'entendis du bruit de derrière un buisson, curieuse, je m'approcha mais sursota quand un renard sorti du buisson. Les renards avaient toujours était l'animal qui me correspondait le plus, de part son mode de vie solitaire et son pelage roux. Je savais que cet animal avait plus peur de moi que j'avais peur de lui mais je n'étais quand même pas très rassuré. Des secondes puis des minutes passèrent alors que nous ne bougions plus tout les deux, il me regardais, je le regardais. Puis d'un coup, il parti en courant, j'essaya de le suivre mais il courrait bien plus vite que moi. Je me retrouvais bien vite perdu dans la forêt, je regarda l'heure et vis que j'étais en retard .
Je n'arrivais jamais en retard d'habitude et cela remonterai sûrement jusqu'à Mme.Peter...

[...]

J'arrive devant ma classe 10min en retard, je toqua avant d'entrer

Cheryl : escusez moi pour le retard

professeur : Mme Blossom, vous nous faites finalement le plaisir de vous joindre à nous, quel est votre excuse ?

Trouve quelque chose, trouve quelque chose, trouve quelque chose

Cheryl : Mon réveil n'a pas sonner

Super originale cheryl, bravo

Professeur : quel merveilleuse excuse ! Allez vous asseoir !

J'allais partir quand il rajouta

Professeur : Et enlevez moi cette foutu capuche, il ne pleut pas dans la salle !

J'en resta bouche bée, aucun prof ne m'avait parler comme ça depuis ... vous savez.
Si j'avais pu m'enterrer 6 pieds sous terre je l'aurai fait, je retira ma capuche, et à la tête des élèves de ma classe, on aurai dit qu'ils découvraient pour la première fois que j'étais rousse. J'étais tellement gêner que je parti m'asseoir avec une vitesse records, arriver à ma table habituelle, je me rendis compte qu'il y avait déjà quelqu'un, quand je leva la tête, je vis Toni, dans ma classe, assise sur ma chaise. Je cru rêver mais me rapella que c'était aujourd'hui que ceux du southside venait ici. Et bien évidement , elle était dans Ma classe, sur Ma chaise !
J'en eu la respiration couper, et comme pour me mettre encore plus mal à l'aise, la seule place qu'il rester était celle à côté de Toni ...

pdv toni :
J'étais assise toute seule à ma table pendant que le professeur faisait un petit discours sur comment bien accueillir les nouveaux élèves, étant là seule nouvelle de la classe, ce discours était clairement adressé à moi. Mais soudain, la porte s'ouvra et Cheryl rentra

Cheryl : escusez moi pour le retard

Je n'y croyais pas... Cheryl était dans ma classe. Honnêtement je savais pas si c'était une bonne nouvelle ou le karma qui continuais s'acharner encore sur moi. Elle ne me vis pas jusqu'à qu'elle se dirige vers mon bureau qui devait sûrement être le sien. Quand elle me vis, je sentis qu'elle n'étais pas très à l'aise. Elle balaya la salle du regard pour remarquer que la place à côté de moi était la seule disponible. Elle s'assis sans rien dire et remis sa capuche. Je vis le professeur lever les yeux au ciel mais il ne broncha pas .

Toni (en chuchotant) : écoute cheryl je suis désolé pour hier soir, j'aurai pas du te...

cheryl : c'est bon

Toni : cheryl il faut vraiment qu'on s'explique

cheryl : pas maintenant

Je voyais bien que Cheryl ne voulais pas me parler, ce qui me brisais littéralement le coeur...

[...]

pdv cheryl :

Dès que la sonnerie retentit, je m'éclipsa le plus vite possible pour ne pas que toni me suive.
C'était peine perdu, elle était déjà derrière moi.

Toni : Cheryl attend

je me retourna vers elle

Toni : tu ne peux pas m'ignorer comme ça, pas après tout ce qu'on a fait hier ?

cheryl : hier était une erreur

Toni : tu... tu ne le pense pas ... pas vrai ?

Cheryl : oublie moi Toni

Je parti avant qu'elle n'ai pu me répondre

pdv toni :

Je resta planter en plein milieu du couloir, comment voulait-elle que je l'oublie ?
Sans même m'en rendre compte, des dizaines de larmes commençaient à couler sur mon visage. C'est à ce moment que mes amis arrivèrent.

Jug : toni qu'est ce qui se passe ?

Toni : Cheryl... e..elle ....

ils me prirent tous les trois dans leurs bras sachant que je n'allais pas pourvoir finir ma phrase. J'avais l'impression que tout s'écroulais à cause d'une personne, la seule que je voulais. . .

pdv cheryl :

je faisait peut-être de la peine à Toni mais c'était la seule solution, je ne voulais pas lui donner de faut espoir, je ne pouvais pas rester avec elle, c'est comme ça.

[. . .]

Le cours suivant était sport, le seule cours dont j'étais dispensé, en raison des nombreuses blessures que "ce jour là" m'avait infliger. Même si mes blessures était guéris depuis un certain temps, je continuais à dire quelles me faisait mal pour ne pas avoir à me changer dans les vestiaires, autrement dit, l'endroit où tout le monde pouvait voir ces blessures. En contreparti des dispances, je devait quand même aller en cours de sport pour arbitrer les éleves ou d'autre tache diverses.

La professeur fit l'appel et lorsqu'elle prononça mon nom, elle rajouta :

prof : cheryl, ta mère a appeleé et...

cheryl : ce n'est pas ma mère !

prof: bon, ta tutrice a appelé, tes "circonstances atténuantes" ne justifie plus ton absence en cours de sport, tu reprend a partir d'aujourd'hui.

cherl : vous devez faire erreur, j'ai encore très mal

prof: ce n'est pas ce qu'a dit Mme.Peter, je te preterais des affaires pour la séance

j'étais comme tétaniser, Mme.Peter voulait se venger que je sois parti alors elle a appeler les professeur pour qu'ils arretent d'être doux avec moi, cela explique maintenant le comportement du professeur de début de journée. . .

Je croisa le regard de Toni qui semblait être inquiète pour moi, en effet, j'avais les larmes aux yeux, et je commençais à trembler, cette journée était vraiment horrible et elle ne faisait que commencer. . .