chapitre 20 : le restaurant ...

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pdv cheryl :

Une fois que notre « conversation » avec toni fu terminer, j'entrepris de changer de vêtements

cheryl : au faite je ne vais pas garder la robe, tu peux la mettre

toni : s'il te plaît met la, elle est magnifique

cheryl : Toni tu comprends bien que je ne peux pas sortir comme ça,  les gens vont croirent que tu me fais du mal !

toni : y a qu'à le cacher

cheryl : j'espère que t'a un bon concealer

toni ; fais moi confiance

Toni partit dans la salle de bain et revins avec une paire de collants et mon fond de teint

toni : tu as juste à en mettre sur les bleus et les dernières traces seront couverte par le collant, tu veux bien essayer ?

cheryl : c'est seulement parce que j'aime bien la robe

toni : je le savais !

J'entrepris de recouvrir chaque bleu avec du fond de teint et partis à la salle de bain pour enfiler le collant. Quand je ressorti, Toni semblait satisfaite du résultat.

Toni: c'est parfait comme ça

cheryl : il reste les épaules

toni : on peut essayer le fond de teint sinon tu mettra un petit gilet

Je parti devant un miroir pour voir où appliquer le fond de teint même si je le sentais très bien. Le faite de bouger beaucoup mes bras me rapella que la douleur n'étais toujours pas parti. Je du faire une grimace car Toni s'en rendit compte

toni : cheryl ça va ? tu as mal ?

cheryl : j'ai juste un peu de mal à atteindre mes omoplates sans me blesser

toni : laisse moi t'aider

Toni pris le fond de teint et commença à me l'appliquer sur mes épaules avec tant de délicatesse que je douta si elle l'étalait vraiment. Elle prenait tellement soin de pas me faire mal que cela me fis sourir. Et comme à chaque fois que nos peau rentraient en contact, des frissons parcoururent l'entièreté de mon corps.
Quand elle eu finit, Toni se recula pour mieu regarder l'ensemble

toni : c'est pas génial, tu devrais mettre un gilet

Je commençais de plus en plus à croire que toni me faisait croire que je ne la dégoûtait pas alors qu'elle voulait cacher mes bleus pour ne plus les voir...
Je baissa la tête et parti chercher la veste.
Avant que je n'ai pu aller chercher quoi que se soit, Toni me releva la tête avec sa main.

Toni : quelque chose ne va pas ?

cheryl : tout va bien, je vais juste chercher ma veste

toni : cheryl dit moi la vérité

Mes yeux commençaient à se remplir de larme rien qu'à l'idée de dire ce que je ressentais à Toni.

Cheryl : je vais bien toni, laisse moi passer

toni : ne recommence pas à me rejeter comme avant, surtout après ce que je t'ai dit tout à l'heure

cheryl : ça n' à aucun rapport toni, vraiment pas

toni : alors qu'est ce qui se passe soudainement ?

cheryl : j'avais juste... raison

toni : raison à propos de quoi ?

cheryl : je te dégoûte

Je crois que Toni ne compris pas tout de suite ma phrase tant elle lui semblait improbable

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