Chapitre 16 : appel entrant

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Enfin rentré a la maison, Vendredi soir le début du week-end, enfin en temps normal ... ici je ne sais pas encore comment sa ce passe.
Enfin pour ce soir, j'imagine que sa vas pas changer des autres, ce qui m'inquiète vraiment s'est demain. Je vais retourner en garderie ou il y a autre chose de prévu ? Si je passais simplement la journée avec Damien au moins ce serai tranquille, je l'imagine bien à rester avec moi toute la journée, jouant a des jeux pas intéressant ou me câlinant devant la télé. Si on avait eut plus de temps, j'aurai bien questionné Jimmy a ce sujet, et a propos de plein d'autres, clairement ce mec apparaît pour moi comme une super source d'informations. Le hic s'est que je qu'il est certainement sous surveillance importante. Il serai donc aussi intéressant comme indicateur que dangereux. J'ai quand même envie de me rapprocher de lui, après avoir vue comment les autres bébé de la classe le regarde.

Je suis installer sur le canapé, et Damien me fait prendre le goûter, comme d'habitude des petit gâteaux avec pour accompagné un bon biberons de jus de pomme. Le contenant mis à part, sa me fait plaisir de changer du lait, s'est plus léger et plus sucré, et je n'hésite pas à montrer cette préférence sur une voie enjouer.
- C'est vraiment trop cool, s'il te plais tu voudra bien m'en redonner encore ? Je veux dire, j'adore trop trop je jus de pomme.
- allons, allons chaton, me répond Damien calment. J'ai bien compris que tu aime beaucoup sa, mais tu sais le lait s'est important pour bien grandir.
J'ai pas vraiment envie que tu me parle de bien grandir alors que tu me traite comme un bébé ... en plus, j'ai plus bus de lait depuis que je suis ici que tout le mois dernier, a ce niveau je crois que l'on peut dire que j'ai ma dose (et je suis presque sur que tu me filera un chocolat chaud pour la nuit).
Comme on termine le goûter, Damien se met face a moi.
- écoute chaton, il vas falloir que je te parle de ...
il est coupé dans sa phrase par la sonnerie tu téléphone, c'est la première fois que je l'entend sonné et Damien a l'air très surpris de l'entendre. Il me demande de ne pas bouger et vas prendre l'appel. Je ne le quitte pas du regard et il commence a parler avec quelqu'un qui semble être son supérieur. Sa me fout le trac, de quoi il parle ? Est-ce que j'ai été découvert ? Ou quelqu'un m'a balancé ?
Damien ce rapproche de moi, je panique intérieurement. Je vais avoir droit a ce qui ce trouve derrière les porte noir ? Il me tend le téléphone et m'annonce
- Tien, s'est pour toi, ta maman veut te parler un peu.
Ma mère ? Pourquoi elle appellerai. C'est même pas elle qui s'est occupé des démarche pour m'envoyer ici, elle et mon père on juste signé un papier et laissé le dirlo s'occuper de tout. Je prend quand même le téléphone.
- Allô ?
- Allô Liveur, répond une voie de l'autre coté du fil. Tu vas bien ?
OK, clairement ce n'est pas ma mère, ce n'est absolument pas la bonne voie, par contre c'est quand même une voie que je connais et une personne qu j'apprécie en plus. Bon jouons le jeux, je suis curieux de savoir de quoi elle veut parler. Mais évitons de mettre le doute cher Damien, il est peut être aller faire quelque chose d'autre le temps de cet appel, mais il garde aussi un œil sur moi
- oui, je vais bien.
- tant mieux, elle me répond. c'est Lise, l'infirmière de ton collèges, d'abord laisse moi te dire que l'appel n'est pas enregistré, le directeur de l'endroit ou tu es me l'a assuré, il n'écoute pas ce que l'on ce dit non plus. Tu peux parler librement ?
- non, je suis pas tout seul.
- dommage, sa aurai été bien. Répond Lise. J'ai appeler en me faisant passer pour ta mère, je leur ai dit que je souhaitais te passer un bon savon après avoir découvert certaines chose que tu m'aurais cacher, mais tout est faux et je voulait te transmettre quelques nouvel d'ici, joue le jeu. J'imagine que intelligent comme tu est, tu dois t'en douté, mais depuis que tu n'est plus au collège, j'ai beaucoup plus de travaille qu'avant, mais même comme sa le directeur continue de penser qu'il a bien fait, s'est vraiment un con fini. Mais je vais faire en sorte de partir d'ici. Je suis déjà en train de faire des démarche pour.
J'ai envie de lui souhaiter bonne chance pour ce barrer de là-bas, mais sa ferait sûrement peut de sens avec la conversation que je suis sensé avoir.
- je comprend. Je répond.
- si sa t'intéresse, il y a un petit nombre d'élève qui ce demande ou tu es passé, et au bout de cette semaine, l'école as atteint un taux d'absence certain, je suis certaine que bientôt les chose vont ce mettre a dégénérer enfin, encore plus que quand tu était là.
- oui, je répond sur un tond penaud. Je sais
mais réponse ne doivent faire aucun sens pour elle, mais je sais pense qu'elle comprend ma manœuvre.
Elle ce met alors a me raconté certaines chose qui sont arrivé au collège depuis mon "expulsion" et le moins que l'on puisse dire, c'est que certain son buté, je continue a lui donné des réponse improbable pour que notre cinéma fonctionne. Finalement elle ce met a parler d'une chose qui m'intéresse beaucoup plus.
- j'ai appris certaines chose au sujet de l'endroit ou tu a été envoyer.
- Ha bon ?
- oui, c'est un lieux plus ou moins secret, et un centre de test par rapport a certaine méthode "d'apprentissage" peu conventionnel. Ceux qui le connaissent ont été initié par quelqu'un, et ce secret est généralement jalousement garder.
Pour une parti, je l'avais a peu près compris, mais pour l'autre je savais pas. Enfin, j'imagine bien que ce n'est pas un endroit très ouvert au public la ou je suis, mais de la à imaginer un truc en mode société secrète ... je m'emballe un peu tout seul là ...
- je vois
- je n'ai pas un grand nombre d'informations là dessus, mais au moins j'espère que tu est bien traité.
- oui
enfin si on fait abstraction du fait que l'on m'ait retiré un certain nombre de liberté, mais j'ai trop honte pour lui dire « ho ben, on me traite comme un petit bébé, avec la total, on me fait mangé, je dois me taper des siestes, on me force même a porté et utilisé des couches, d'ailleurs pendant que l'on parlais je me suis pissé dessus a un moment », admettre que je doivent suivre leur règles je veux bien, mais devoir l'avouer a quelqu'un qui n'a rien a voir avec sa, NON !!
- d'ailleurs, elle reprend. Je n'ai pas réussi a atteindre ton portable, un peut comme si tu était hors réseau, il doivent avoir un dispositif qui bloque les transmission, excepté par la voie que nous utilisons
mon tel est inaccessible ? Pourtant, quand je l'utilise pas du tout la batterie tien quelques jours, je vais prendre comme vrai les supposions de mademoiselle Lise. Elle me donne encore quelques information sans réel importance, notamment qu'elle a eut pour source des message entre le dirlo du collèges et une autre personnes, l'autre débile avait tout laisser allumé avant de ce barrer mardi soir où elle était venus pour récupéré un dossier. Comme quoi en plus d'être aveugle il est débile.
- je sais pas si s'est information t'aide ou ce que tu compte faire, mais je te connais, et tu saura les utilisé. Au revoir Liveur.
- Au revoir, je répond.
Après quoi elle raccroche. Je pose le téléphone sur le canapé et essai de retirer mon pantalon pour être plus confortable, on verra ma couche, mais il n'y a que moi et Damien qui m'as déjà mis a poil ici alors.
Voyant que j'ai fini de parler, il vient récupérer le téléphone.
- Alors, tu lui as parler un petit moment, pas vrai chaton.
- oui, je lui répond en me débattant avec la ceinture. j'me suis pris un sacré savon, j'ai bien crus que sa finirai pas.
Il me sourit puis constate ce sur quoi je lute. Comment sa ce fait que j'arrive pas a le faire passer au dessus de la couche
- il te gène tant que sas ce pantalons ? Attend un peut.
Sur ces parole il me met debout et me décent le pantalon.
- voilà, tu est plus confortable ? Au mais tu est mouiller aussi, il remarque. Enfin sa devrait encore tenir un petit nomment, sa vas aller pour toi
- oui, merci ...
je n'ai plus que mon T-shirt et ma couche mouiller, et maintenant ? Il ne voulait pas me parler de quelques chose avant que l'on reçoive ce coup de fil ?
- bon, maintenant on vas reprendre là où on s'était arrêté.

baby studentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant