Chapitre 42 : Liveur

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petit disclaimer :
Ce chapitre en particulier aborde un thème qui peut mettre mal à l'aise certaine personnes, je ne suis pas un expert en psychologie ni un maitre du sujet, alors ne me tenez pas rigueur si ma manière de l'abordé peu semblé légère ou mal renseigné.
je ne suis qu'une personne qui partage une fiction de ma création sans la relier a quelqu'onques évènement réel (de ma connaissance).
 
je vous retrouve a la fin du chapitre.

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Dans le film on est apparemment rendu en hiver, j'ai pas vraiment fait attention, les seuls qui semble encore attentif à ce qu'il s'y passe c'est Pierce et Jimmy, et encore il faut en discuter bien quand même, Djibrill lui c'est vite endormi blotti dans des couverture et des coussins qui nous ont été apportées suite à nos demandes, Jimmy et Pierce ont aussi récupéré leur commande.

- C'est bon ton biberon ? Je demande à Pierce.

Comment je lui ait demandé ? J'ai dit "biberon" comme si c'était normal. Bon personne ne le relève.

- le goût est sucré et un peu spécial, il me répond. En général les gens adores et en bois sans réussir à s'arrêter ou déteste, moi je fais partie des premiers. Y'en a qui appelle ça du nectar. Tu veux gouter ?

Il me tend le biberon et j'accepte, de toute façon je crois pas que ça puisse être incroyable non plus avec cette couleur miel. Je prend une gorgée, on vas bien ...
...
...

Humf .. j'ai failli oublier de respirer, il avait déjà entamé, mais le biberon est maintenant à moitié vide, je lui rend et m'empare de la télécommande, je veux en prendre le max .. on les limiter à trois à la fois et deux pour l'instant vu que Pierce vient d'en prendre un. J'aurais qu'à attendre qu'on puisse en reprendre, ça sera pas insurmontable .. je crois.

Jimmy aussi en profite pour passer une commande, d'ailleurs prend beaucoup de gâteaux, il me regarde un coup juste avant de valider.

En attendant que nos truc arrive on continue de discuter en regardant le film. Pierce arrête de téter sont biberon pour me poser une question.

- où tu as appris à te battre comme ça ?
- j'ai appris d'un voisin de palier, j'étais en CP je crois
- tu t'es battu avec ? Me questionne Jimmy.
- non, c'était un adulte, à partir de l'hiver j'avais commencé à aller cher lui en attendant que mes parents rentrent du travail.

Ils me regarde tout les trois avec des yeux rond comme des soucoupes, j'ai dit un truc bizarre ?

En attendant, on dirait qu'en dehors du choque j'ai aussi attiser leur curiosité. Du coup je leur parle de mon ancien voisin et comment j'ai fini par passer mes soirées après l'école cher lui.

Au début je le voyais juste quand il rentrait cher lui et que j'étais assis devant la porte de cher moi. On se disait bonjour et il passait sa porte, mais un jour il est ressorti quelques choses comme une heure plus tard et il a vu que j'étais encore assis à attendre.

{ -t'es parents sont pas encore rentrée ?
- Non
- tu sais quand il seront rentré ?
- en général, le réveil de papa y montre 1 et 8 ou 1 et 9 au début quand on rentre
- tu me fais une blague ?
- c'est pas une blague, c'est vrai se que je dit

Il s'était retourné en se tenant la tête, puis c'était retourner vers moi

- dit bonhomme, tu préférerais ne pas venir chez moi pour attendre plutôt que de rester sur le palier.
- je peux ?}

- après, il m'avait proposé de regarder la télé, et je crois que j'avais fini par me faire dessus sur son canapé. Le truc c'est qu'il n'avait pas de vêtement pour enfant et il m'avait prêté un de ses t-shirt.

ça les fait marrer, et je continue mon histoire. Ma mère avait fini par rentrer un long moment après, comme elle ne m'avait pas vue elle a commencer par paniquer, mais le voisin était sorti, il m'avait demandé de rester à l'intérieur pour le moment, tandis que j'était seul dans l'appartement, j'avais d'abord entendu ma mère hurler, puis le voisin, c'était alors passer un moment ou les deux ont discuté avant que la porte de l'entré ne s'ouvre.

{- ptit, a partir de demain, sonne chez moi quand tu rentre de l'école.}

- ma mère était restée plutôt silencieuse le reste de la soirée, je n'ai jamais su ce qu'il c'était dit exactement. Bon le truc c'est qu'à part les affaires que ma mère lui avait confier au cas où, mon voisin n'avait rien pour occuper un enfant. mais il avait un sac de frappe et a force que je tourne autour le soir, il avait finit par décider de m'apprendre comment bien s'en servir plutôt que de le pousser pour le voir se balancer.

- j'ai l'impression que ce n'est pas le genre de chose a apprendre a un CP, commente Ayato.
- c'est vrai qu'en y repensant, c'était peut être pas le plus malin, mais il me disait que j'était douer.

En fait, c'était même allé plus loin, il avait fini par devenir un troisième tuteur légal pour moi, quand il y avait des sorties scolaires et qu'il y avait besoin de parents pour accompagner, c'est lui qui répondait présent. Mes parents eut étant accaparé par leur travail, tandis que lui était gardien de nuit (je n'ai jamais su où), il était donc disponible la journée. Et c'était aussi lui qu'on appelait quand j'étais malade pendant la journée.

- quatre ans après que je sois entré pour la première fois dans son appartement, il a déménagé. Malheureusement, je ne l'ai plus jamais revu.

En y repensant, je suis presque sûr que je le voyais plus que mon propre père.

Y a comme un silence, c'est un peu malaisant, en plus le film a déjà atteint le générique de fin. C'est à ce moment que ce que l'on a demandé pendant le passage de l'hiver arrive. Presque comme si on avait voulu me laisser finir.

Je prend un des biberons et Jimmy récupére aussi ses trucs, il croque dans un cookie, prend une grande respiration et se fait un peu violences pour déclarer un truc la bouche pleine.

- bon ch'aime bien en shavoir plus sur toi, mais la ch'est bien la déprime quand même, alors ton gaje ça va être de manger tout ça et plus si j'en recommandé, ça te remontera le moral

- quoi ? Je m'exclame, non mais tu déconner, y en a trop.

- c'est vrai que vu tout ce qu'il y a c'est abusé. Commente Ayato.

Jimmy ne demore pas de son gage, on dirait bien qu'il est décidé à ce que se soit ça ou qu'aux moins le fond reste le même. A force de négocier, il arrive a une option qui semble suffisant legit pour les autres : tant qu'on est dans cette salle, si Jimmy mange un truc alors je dois aussi le faite mais avec une quantité deux fois supérieur.

Comme il vient de manger un cookie, je suis supposée en prendre deux. Et tant qu'à y être, les deux autres nous accompagnent pendant que Djibrill continue sa sieste.

Avec un regard mesquin, Jimmy me dit

- fais moi confiance, tu vas pouvoir bien remplir tes couches.

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re

j'espère que vous avez apprécier ce chapitre, même s'il peut avoir été plus lourd que les autres. 

Avant d'aller plus loin, je tien a assurer que je rien dans ma vie ou celle de mon entourage n'a ressemblé au évènement du passer de mon personnage. Ma vie et mon enfance avec ma famille sont complètement normal. Ce passer est inventer de toute piece pour l'histoire.

Bon, ca fait a peu prêt un mois depuis le post du dernier chapitre, et j'aimerai etre plus regulié, mais généralement je préfère  publier quand le chapitre suivant est un peu avancer et là se n'est absolument pas le cas, je bloque. mais je compte bien continuer malgré tout, faut juste que je trouve comment faire avancer l'histoire d'une manière que je trouve satisfaisante. 

.. et vous lecteurs, comment vous verriez le prochain chapitre (la fin de cette journée /+ le dimanche matin qui suis), j'aimerai bien avoir vos suggestions. Peut etre que je pourrais en reprendre certaines

comme toujours, faite moi savoir si le chapitre vous a plus avec une petite étoile ou avec un commentaire, je lis chacun de vos retour.

à la prochaine (dans pas trop longtemps j'espère)

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 16 ⏰

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