L'épouse bafouée du cheikh (saga playboy Tome 5)

chapitre 15🌷

Ismen fut pour le moins surpris en découvrant l'hôtel où séjournait Ibrahim. Le coeur battant la chamade,  le chauffeur vit lui ouvrir la porte. Quand elle en ressortit, ses jambes s'entrechoquèrent et refusèrent de faire le moindre mouvement. C'est bien la première fois qu'elle dînait avec un homme dans un hôtel. Une bouffée d'excitation la prit aussitôt. Mais cette excitation fut remplacée par la peur car elle avait conscience qu'en agissant ainsi , elle était infidèle a ses serments qui la liait au cheikh . Toute ses milles réflexions avait pour but de la terrorisé. Ismen souffla comme pour se persuadé et décida enfin a entrer dans l'hôtel en jetant des regards sur les alentours. Elle transpirait la panique. Sous de multiples efforts, elle arriva dans le hall, impatiente et inquiète en même temps. Contre toute attente, un homme se présenta a elle. Ce dernier était chargée de l'accompagner dans la chambre d'Ibrahim. Son inquiétude déculpa. Elle fit l'effort de le cacher et suivit cet homme. Une fois dans l'ascenseur, Ismen semblait fixer un point invisible. Son coeur battait, ses mains tremblants.

Elle était a la limite d'exploser

Ce fut d'un grand soulagement que l'ascenseur s'ouvrit sur un jeune couple.

-Veuillez me suivre, lui dit l'homme d'un geste respectueux de la main.

Ismen asquiesca et le suivit.

Avait-elle prit la bonne décision? Se demanda t-elle constamment. Ibrahim l'aimait-il? Partageait-il ses sentiments? Elle n'avait cesse de se tourmenter ce qui ne l'aidait en rien. En seulement un mois, elle était follement amoureuse de lui et ses sentiments se multipliaient pour devenir incontrôlable. Elle avait peur!
Comment avait-elle fait pour tomber sous le charme d'un homme qui travaillait pour son mari et qui était cessé le ramené a lui? Ismen n'en savait rien! Encore moins , si Ibrahim partageait les même sentiments pour elle.  Ismen ne voulait pas vivre dans une illusion. Il fallait qu'elle sache. Elle voulait savoir a quoi s'en tenir et agir en conséquence. Des coups timides une porte retenait son attention. Elle se défit de ses pensées. Avec sursaut, Ismen comprit qu'elle était arrivée et bien qu'elle n'avait rien vu puisqu'elle était un peu trop occupée se torturer l'esprit.

Un autre homme ouvrit la porte.

Elle était surprit.

Décidément elle vaquait de surprise en surprise.

A croire qu'elle était dans la suite du cheikh. Elle rentra dans la suite les pieds traînantes, elle qui avait toujours su garder ses émotions enfouis en elle se trouva liquéfier quand son regard tomba directement sur la haute silhouette qui dominait la pièce de toute sa taille. C'était Ibrahim! Elle n'avait pas besoin qu'il se retourne pour le savoir. Il avait un je-ne-sais-quoi qui l'attirait irrémédiablement. Son souffle se coupa quand il se retourna. Il était d'une beauté indéniable. Vêtue de noir de la tête au pied. Une main était plongée dans la poche de part et l'autre s'egarait sous la couche de chevelure noir de corbeau épaisse.

Elle déglutit

Il semblait sortit sous la douche.

Des goutes d'eau tombait sur sa chemise noire qui lui seyait a merveille comme si l'homme était faite de pierre. Elle pouffait d'excitation. S'en ai fallu de peu pour qu'elle saute au plafond quand Ibrahim arriva dans sa direction, un sourire narquois au coin des lèvres. La suite se passa dans une espèce de brume.  Son esprit semblait se separer de son corps. Elle fut réveillée par le toucher D'Ibrahim. Elle s'était épouvantée, pour cause, ces hommes avaient disparus. Ismen comprit qu'elle était partit beaucoup trop loin pour s'en rendre compte. Elle jeta un coup d'oeil ahurissant sur les alentours.

Ils étaient seuls!

Elle se sentit glacé d'inquiétude comme une proie face a son gibier. Mais quand la grande main de l'homme se perdit sur son visage, son inquiétude disparut. Ce n'était pas sans conséquence car en se moment même, son coeur était en face de s'arracher contre sa poitrine. Car il battait violemment. D'une douceur infinie, il caressa sa joue. Ismen ne respirait presque plus pour comble, l'odeur de son eau de toilette envie l'espace. Elle était prise au piège. Piégé entre l'emclume et le marteau