L'épouse bafouée du cheikh (saga playboy Tome 5)

chapitre 37🌷

Son visage avait prit une teinte pourpe. Marsha eu tout le mal du monde a se retourner pour confrontrer Ismen soit dit en passant était furieuse.

Non d'une pipe!

Ou avait-elle la tête?

Elle aurait pu fermer la porte

Demander au gardes a ce qu'elle ne rentre pas!

Elle devait s'expliquer sans aucune forme de procès. Marsha eu le sentiment que sa douleur ne fit qu'amplifier avec la respiration brute de son fils qui attendait déjà ses explications.

-Marsha continuez, exigea Ismen d'un ton dur. Pourquoi avez vous dit que mon père n'était pas mêlé dans la mort de votre fille. Et dites moi de quelle fille vous parlez au juste?

-Elle parle de ma soeur, répondit brutalement Fadir qui avait quitter sa torpeur

-Oh calmez-vous Ismen , fit Djamila d'une voix ironique. La suite va vous plaire, n'est-ce pas cheri?

Ismen déglutit

Elle avait le sentiment que plus rien n'aillait. Que Fadir enfin son mari lui cachait énormememt de chose ce qui la faisait souffir. Elle haissait le mensonge, les trahisons, elle en avait souffert assez depuis sa descente en enfer. Et il semblerait au vu de la situation, que le hasard voulait la torturer une fois de plus

Ce qui la rendait malade

Amère!

Dieu, elle tremblait de tout ses os

-Que se passe t-il Fadir? Que me caches-tu? Ne puis-je pas te faire confiance et te laisser le benefice du doute? Pourquoi persistes-tu a me tourmenter? Pourquoi me fait tu souffrir?

Des larmes de déception luisaient ses yeux. Elle aurait voulu mourir tant elle était submergée de honte de chagrin.

-Ismen je n'avais aucune idée...

-Laisse donc ta mère parler Fadir, intervient encore une fois Djamila en s'installant comfortablement. Autant entendre la suite !

-Djamila assez! S'écria Marsha tentant de rattraper la situation

-Tu ne voudrais pas savoir la verité? La raison de ce brusque et soudain mariage?

C'en était assez!

Non elle ne voulait plus entendre.
Fadir n'avait cesse de l'humilier en ecrasant ses maigres espoirs de fuite et la rattrapant , en la séduisant. Il était sans nulle doute l'homme le plus infecte et pervers qu'elle avait rencontré.

-Espèce de sale garce, siffla Fadir qui était dans tout les états.

Elle puisa en elle un effort dont elle n'en saurait la provenance et déclara.

-Marsha je voudrais tout savoir. Si vous avez ne serait-ce qu'un peu de dignité dite moi la verité. Dite moi ce qui se passe et la raison de ce fameux mariage denoué de sens auquel j'ai pris part.

Marsha ne savait ou se mettre.

-Mère je vous en pries, insista Fadir en sachant qu'il avait commis une folie en acceptant que sa mère parle.

Qu'importe pensa t-il?

Tout était perdu!

Et la chance de reconquerir sa femme était si infime que le mieux était d'avouer sa défaite une fois pour toute. Si il semblait calme, ce n'était qu'en apparence. Un chaos indecriptible siegait en lui. Fadir avait honte, honte de traiter sa femme de la sorte sans ce soucier vraiment de sa personne. Il avait été egoiste et depuis le tout depuis, il n'avait fait que la briser de part en part. La reduire en cendre! Sa venue dans son pays aurait du l'aider a se faire pardonner , a la séduire encore une fois puisqu'il l'aimait

Il l'aimait

Et l'evidence lui frappa comme un fouet!

Un coup bas de la Providence!

Il l'avait toujours aimé depuis sa venue. Malgré ses murs, ses barrieres qu'il avait erigé. Caché derrière sa forteresse, il s'était crû puissant, immunisé contre ce sentiment qu'on appelait l'amour!

La vengeance l'avait tenu a l'ecart de toute sentiment, du moins c'était ce qu'il pensait. Sa mère le visage pâle le regarda a nouveau. Elle semblait la supplier.

-Mère!

Ce fut la fin!

-J'avais une fille. Elle s'appelait Arah je l'avais pourtant bien élevé. Mais Arah refusait comme toute princesses de suive la trahison qui exigait qu'elle épouse un prince en tombant amoureuse d'un garçon d'écurie. Pour une princesse s'en était outrant, facheux, indigne alors je l'ai promise a un de tes cousins, le prince Omar contre sa volonté. Je pensais qu'elle oublirait sa folie , son amourette de jeunesse qu'en deviendrait reine ..... . Oh je me suis bien trompé. Elle partit donc a Elsagar au palais de ton père comme venue, alors que toi tu étais a Saout puis ton père a commencé a la séduire mais Arah n'en avait que pour le garçon et elle a fini par tombée enceinte. Quand j'ai compris ce qui se passait , je l'ai ramené au pays et cachée jusqu'a la fin de sa grossesse. Mais....

-Que s'est-il passé mère?

- Oh mon fils je te prie de me pardonner. Je n'aurais jamais crû que tu poursuivrais la route de la vengeance si j'avais su, je n'aurais jamais dû

-Lui faire porter le chapeau, déclara Ismen, c'est ce que vous avez fait. Vous lui avez fait portez le chapeau sans vous soucier du fait que ce mensonge allait détruire des gens.

Marsha était en larme

-Ismen.

-Qu'est-elle devenue? Où est votre fille a present?

-Morte en couche , sanglota La mère du cheihk

Ce fut trop pour Fadir

Il peinait a entendre plus.

Sa soeur était morte en couche

Elle était morte en couche

Le père d'Ismen n'avait rien avoir avec sa mort. Il avait été stupide, trop stupide pour merité le pardon de sa femme

-Vous êtes monstrueuse. Comment avez -vous pu?

Ismen se ferma les yeux . Elle fit un calcul rapide et decouvrit l'horreur, l'infamîe.

-C'est donc pour cela que tu m'as épousé pour venger sa soeur qui soit dit en passant est morte en couche?

Au fond d'elle , elle voulait que se soit un mensonge. Que son mari partageait les même sentiments qu'elle, qu'il ne l'avait pas épousé par vengeance. Mais son regard paniqué fut plus éloquent que les mots qu'il aurait pu prononcer.

Elle sanglota silencieusement.

Par Allah , elle en avait des courbatures a l'estomac. Elle avait toujours crû que Fadir la trompait mais la, elle n'aurait jamais imaginé qu'il la trahirait ainsi.

Son indelicatesse, son egoistes ne connussent a ce jour aucun bord. Il était terriblement injuste avec elle. La vie était injuste.

-Je veux ma liberté!
Je ne plus rester ici avec toi.  Tu me degoutes

Elle n'en pouvait plus.
Ce qu'elle avait apprit l'avait ravagée sans aucune mesure.
Elle avait été trop piétiné par son arrogant de mari, ce lâche , ce traite

-Je te la rends!
Ta liberté, je te la rends!

Comme promit,

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