chapitre 34🌷

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Le cheihk se recula doucement. Bien qu'il était choqué,il fit l'effort de paraître imperturbable, maître de la situation. Son sang ne fit qu'un tour et sa colère devint palpable et quasi incontrôlable. Mais pourrait-il seulement blâmer sa femme? N'avait -elle pas raison? N'importe quelle femme aurait agi pareille. Fadir ferma les yeux et quand il les ouvrit sa femme était là, le couvrant d'un regard sombre et determiner.

Sacré Djamila!

Elle arrivait quand même a lui pourrir l'existence!


-Djamila est venue dans mes appartements juste pour m'informer de la fameuse nouvelle,contrata sa femme en passant devant le cheihk lui tournant ainsi le dos

C'est avec dessespoir que la jeune femme du ravaler ses sanglots. Pourtant elle devait se montrer forte et surtout ne pas flâcher. Ismen voulait coûte que coûte que le cheihk la libère de ses voeux qui n'étaient plus d'utilité. Combien de fois avait t-elle supporter les agissements de Fadir. Enterré toutes ses humiliations. Impuissant, le cheihk combla l'espace qui les separait. Il était dos à elle. La jeune femme sentit sa respiration lui caresser doucement sa peau fine. Elle était tout aussi impuissante que lui.

Ismen aurait voulu sauter au plafond quand Fadir la prit par les epaules. Sa respiration avait l'air d'être coupé. D'instinc , elle se cramponna durement au grosse colonne qui surplombait sa chambre pour eviter de chanceller. Comment pouvait -elle le desirer dans ses moments de crise? S'en était absurbe!

-Ismen, elle ne l'ai pas, lui affirma son mari. Je te jure qu'elle ne l'est pas et je ferais tout pour le prouver.


Elle se sentit soulagée quelque peu . Elle supportait mal le fait que sa rivale soit enceinte.

-Ismen ,souffla Fadir la voie nouée

Doucement, il retourna la jeune femme. Elle se laissa faire sans protester. En moins deux, Ismen se trouva face a lui. De son index, il leva son menton et y plongea son regard fievreux. Dieu! Elle était a de doigt de craquer si çela continua et le pire c'est qu'elle aimait ça. La sensation de son touché, l'effluve de son eau de toilette musqué et viril, sa barbe de trois jours et ses yeux éclats d'un vert si emeuraude ,si profond.

-Je ferais tout pour vous proteger, je le ferais de Djamila


-Qu'est ce que tu crois? Qu'il suffit de quelque mots pour m'amadouer? Qu'avec ces quelques mots ,je pourrais te pardonner aussi facilement et pire me laisser berner



Le cheihk ne s'attendit pas a ses revirements. Il se retira doucement et fut parcouru d'un choc électrique.

-Je pensais...

-Tu pensais que j'allais te pardonner, dit-elle en lui adressant un sourire ironique.

Le cheihk resta bloquer sur place ne trouvant le moyen de repondre ni même de se defendre. Elle avait trop raison. Sa femme passa devant lui ,il.aurait pu jurer la voir tressaillir. Un petit sourire se rependit sur ses lèvres. Au moins sa femme le désirait. Il trouva là un moyen de contre-attaquer.

-Je sais que tu m'aimes je le vois dans tes yeux

Sidérée, la jeune femme se retourna sans imaginer que ses joues rosies l'a trahirait. Que croyait-il qu'il suffisait de quelque seance de charme pour lui sauter dessus? Il allait s'en montre les doigt

-Non mais quel culot? S'indigna t-elle avec violence.

Il avança de quelques et l'attrapa pour la forcer a le regarder.

-Dis-moi que tu ne m'aimes pas ma femme, cria t-il en la secouant sans menage ,ose donc le dire

Son absence de reaction lui mit la puce a l'oreille. Les rougeurs atteingnirent chaque parcelle de sa joue quand à sa peau, elle ne cessait de frissoner et chaque frisson y produisit de la chair de poule. Ismen ne pouvait plus le regarder dans les yeux.
Quand elle eu l'effort de les relever, le cheihk attrapa ses lèvres avec fouge et passion. Le baiser était exigeant. Il força le barrière de ses lèvres et y pénetra de plein droit . Elle eu un fremissement de plaisir et dû s'accrocher a ses epaules pour éviter de tomber.

Quand il se retira, un long sourire de satisfaction rehaussa ses lèvres.
Elle n'en revenait pas!
Il l'avait embrassé pour ensuite lui rire au nez.

Elle s'indigna et lui assena une gifle.
Bouche bée, Fadir caressa sa joue brûler.

-Tu as osé me gifler , jura le cheihk en lui lançant des éclairs

-Et toi tu m'as embrassé sans mon consentement

-Tu es ma femme et j'en ai pleinement le droit.

Ismen leva la tête pour le confrontrer

-Je ne suis pas ta chose, dit-elle, va donc voir tes concubines et je suis sûre qu'elles seraient ravies de partager ta couche.

Sa machôire se serra convulsivement sous la colère

-J'ai essayé la méthode douce mais tu persistes a me tenir tête, siffla t-il avec une colère non dissimulé, tu ne partiras pas d'ici. Il en ai hors de questions. Ne tente même pas de me contredire ou tu en subiras les consequences.

Febrile, elle le regarda s'en aller et ne su quoi dire.
Fadir était tout simplement monstrueux!

Définitivement elle s'était mariée avec le diable!


~

Avec rage, le cheihk parcoura les couloirs fastidieux de son palais.

Il allait la tuer!


Les serviteurs le laissa passer tout en se courbant en de légères réverences dont il ne tint pas compte. Sa seule préocupation était Djamila!
Divers scenario defilaient dans son cerveau.

Comme il revait de la pendre!

De l'etrangler a main nue!

Une fois devant ses appartements, Fadir ouvrit la porte en grand et la trouva coucher sur des cousins étalés a même le sol comme une reine. Cette vision decupla sa haine soudaine pour la jeune femme. Ses servantes partirent et faisant des légères réverences.

-Mon roi, susurre t-elle en se levant du lit d'une demarche assurrée allant au delà de la sensualité.

-Djamila

Fadir ne pouvait plus se contrôler. Il aurait voulu lui ôter ce sourire dès plus pathétiques sur lèvres peintes d'insolence et lui faire avaler sa suffisance. Djamila se retracta. La peur prit place dans son coeur. La visite tardive du cheihk était en rapport avec cette idiote d'Ismen. Elle fit la moue et avança avec prudence jusque dans sa direction.

-Quel honneur de vous recevoir? Cela fait si longtemps..

-Je ne suis pas venue pour ça, tonna Fadir d'une voix qui la fit sursauter de peur.

Elle était sur le point de perdre son assurance et dû sourire pour se rependre.

-Vous êtes venu pour quoi alors, osa t-elle dire le coeur battant la chamade.

Son sourire se fissura quand le cheihk lui attrapa l'avant bras gauche et le serra de toute ses forces. Elle gémit, hurla de douleur.

-Fadir tu me fais mal

-Ce n'est ce que tu mérites

Cette fois , il l'attrapa par les epaules tout en jurant abondamment. Djamila transpirait de peur

-le bébé

Pour toute reponse, Fadir lâcha un rire nerveux.

-Et si nous appelions le médecin ce soir même pour verifier si tu es bele et bien enceinte.

Djamila se liquefia

-Mais tu avais dit demain, fit-elle remarquer sournoisement

-J'ai changé d'avis mon amour, dit-il en l'entraînant hors de ses appartements, il est temps de faire connaissance avec mon enfant. Ne crois-tu pas?




























Hola , toutes mes excuses pour ce long retard. Avec les exams , je n'avais plus de temps pour moi encore moins pour écrire. Merci pour les messages gentils.  vous êtes en orrrrrrrrrrrrrrrrrrr













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L'épouse bafouée du cheikh (saga playboy Tome 5) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant