L'épouse bafouée du cheikh (saga playboy Tome 5)

chapitre 16🌷

-Ne réfléchis pas trop, lui murmura l'homme en capturant ses lèvres.

Ce baiser avait pour but de la faire perdre la raison. Ses fines résistances cédèrent sur place. Ses lèvres se trouvèrent capturer par celles de l'homme. Ne pouvant réfréner ce désir immuable qui la consumait, elle gémit et celui-ci en profitant pour briser les barrières. Elle dû se cramponner de violence contre ses épaules. Ce baiser était savoureux et exigeant a la fois. Elle se vit transporté dans un autre monde. Avec infini douceur, Ibrahim se retira de ses lèvres et déposa une pluie de baiser sur son coup. D'une main, il osa s'aventurer sur son corp comme s'il tentait de mémoriser a travers son toucher, l'architecture parfaite de son corps. Elle resserra son emprise quand Ibrahim défit les fines bretelles de sa robe,mettant ainsi a nu ses épaules. Elle était brûlante et appréhendait les caresses de l'homme. Elle l'entendit grogner quand il aperçu enfin son soutien en dentelle. Ibrahim captura a nouveau ses lèvres. Elles étaient suaves et délicieuse. Il n'avait qu'une envie la prendre de manière sauvage et l'entendre gémir son nom. Dire que sa femme n'était pas séduisante ne serait que mensonge. En ce moment, il n'avait qu'une seule et unique envie ‹la déshabiller›

-Ibrahim.... Fadir, gémit t-elle alors que l'homme lui prodiguait ses caresses. Je veux pas, dit-elle entre plusieurs baisers. On pourrait avoir des..des problèmes

Ces plaintes se refoulèrent a nouveau sous les assauts D'Ibrahim. Il aurait voulu lui dire qu'elle ne craignait rien. Qu'il était Fadir, son mari. Il ne pourrait prendre de telle risque. Ismen l'aurait jeté comme une vielle chaussette si elle apprenait la vérité le concernant. Encore une fois, il se sentit coupable. Il dû balayer ce sentiment de peine pour se concentrer sur sa douce femme

Ibrahim fit  tomber sa robe qui arriva sur sa hanche. Ibrahim en profita pour lui retirer son soutient. Un gémissement transperça ses lèvres a la vu parfaite de ses seins. Ils étaient ronds et juteux a la fois. Il les prit en coupe tout en gardant le contrôle de ses émotions et les savoura un par un. Elle ne pouvait plus se contrôler. Elle n'avait cesse de se crambrer a lui en attendant qu'il lui prodigue ses soins.

Mais Ibrahim semblait tarder ce moment. Ce fut un chaos total lorsqu'il descendit sa robe jusqu'au sol. La voilà en fine culotte. Elle aurait dû être timide mais face a Ibrahim, elle perdait tout contrôle. Alors , dans un tourbillon de volupté, elle le vit s'accroupir tandis que sa bouche se perdait au niveau de sa taille pas loin de sa féminité. Elle jeta sa lourde chevelure en arrière et quand Ibrahim lui tintilla son nombril ,instinctivement, Ismen l'attrapa par les cheuveux. Elle était en feu. Elle haletait et sa respiration montait et descendait. Bien sur, elle n'eût le temps de répliquer qu'Ibrahim la prit docilement pour l'amener a sa chambre. Il la jeta sur le lit. Foulée dans les draps qui évoquait le parfum de son amant, Ismen frissonna. L'homme recula et la regarda, ses yeux reflétait tout le désir qu'il gardait enfouis en lui.

Le souffle court par le déchaînement de désir qui s'empara d'elle, Ismen le regarda se dévêtir avec la folle envie de toucher son torse dur. Il était batti en diable. Après appréhension, elle observa chacun de ses gestes. La chemise noire de son amant atterrit sur le sol. Elle regarda sa musculature bien dessiné. L'envie de le toucher la prit de cour. Avec pression, il défit les premières boutons de son pantalon et le jeta au sol. Elle poussa un cri devant sa virilité menaçante et imposante. Elle était comme privée d'oxygène. Ibrahim se jeta a ses côtés et la tira. Une fois faite, il l'embrassa avec fougue et passion. Sa main s'aventura dans les moindres recoins de son corps, ses seins, ses hanches,son ventre rien ne lui échappait. Impérieusement, il semblait la manier avec dévotion. Une chaleur pulsait a l'intérieur de ses cuisses, instinctivement, elle les serra quand Ibrahim passa sa main sur sa culotte.