chapitre 27🌷

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Quand Ismen se réveilla, elle trouva son mari a son chevet. La regardant dormir! Elle tressailli a son simple regard et ramena maladroitement sa couverture pour recouvrir les moindres parcelles de sa peau. Un sourire narquois fendit ses lèvres. De plus en plus troublé, elle se redressa et huma ses lèvres qui étaient devenues sèches.

-Que fais-tu ici?

-N'ai-je pas le droit de regarder ma femme dormir, renchérit le cheikh en posant son regard brûlant sur elle.

La jeune femme eu un rire nerveux. Pensait-il qu'elle allait lui pardonner aussi facilement? Alors ,il se leurait en beauté. Sa grande main vagabondait déjà sur sa joue, d'une douceur infinie. Ismen sentit son souffle coupé. Le sang coulait plus vite dans ces veines. Elle eu soudainement l'impression que ses résistances cédèrent qui lui rendit la tâche ardue.

-Tu es si belle quand tu dort, lui fit savoir son mari. Plus belle que toutes mes concubines réunis.

Ce compliment lui fit battre ostensiblement le coeur et il y avait de quoi. Malgré tout elle rougit. Et ce n'était pas sans conséquence. Son mari avançait déjà dans sa direction réduisant de peu les centimètres qui les séparait. Le regard d'Ismen était accroché au sien. Elle aperçu cette même lueur de désir auquel elle avait droit a sa précédente visite. Le coeur battant a mille dans sa poitrine, elle déglutit. Son geste ne passa pas inaperçu car au même moment, le regard brûlant de son mari et resté collé sur les lèvres roses.

Ses lèvres a lui était tout aussi proche que les siennes si proche qu'elle huma les fragrances de son parfum. Ses traits semblaient être taillés dans du granite, énergique et a la fois imposante. Sa beauté était indéniable, a coupe le souffle. Quand il eu le malheur de poser ses lèvres sur les siennes, Ismen su que dès lors, il était presque impossible de combattre contre lui.

Il lui donna le plus délicieux des baisers. Et ces grandes mains halées disparut sous la couverture. La caressant, il ne cessa cependant de la punir agréablement et lui infligeant le plus délicieux des tortures. Le baiser était fougeux , fiévreux. Elle sentait ses remparts tombés une a une alors que son mari se délectait de la bouche. Fondant sur elle comme sur sa proie. Il eu l'accès de son corps. Bien entendu sa chemise de nuit quitta son corps en moins de quelque minutes. Elle se retrouva presque nue a l'exception de sa fine culotte en dentelle. A la vue de ses seins fermes et qui d'ailleurs avait prit du proie, le cheikh eu un grognements féroce.

Par Allah!

C'était exquis!

La façon dont il la caressait ne laissant rien au passage. Chaque courbe , chaque centimètre de sa peau avait eu droit au même traitement de façon minutieux. Quand il quitta ses lèvres c'était pour se perdre sur les courbes de ses hanches qu'il goûta. Au même instant, sa petite culotte blanche fut enlevé et envoyé au sol.

Qu'était-elle entrain de faire?

Elle se sentait si dépravée de s'abandonner de la sorte , sans aucune retenue.

Pour en ajouter une couche, elle eu l'impression de revenir au passé. De manière cruelle , elle entendit de doux gémissements de cette femme alors qu'elle s'était égarée, la nuit de ses noces. Des grains de larmes tombaient sur sa joue. Elle se figea brusquement et rabattit la couverture sur elle. Interloqué par son geste, Fadir se redressa.

-Je peux savoir ce qui t'arrive, fit-il avec une note de colère dans sa voix


Loin d'en être intimidé, Ismen le toisa.

L'épouse bafouée du cheikh (saga playboy Tome 5) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant