chapitre 31

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Ismen ne se souciait guere de la présence de ses servantes qui etaient entrain de deballer ses bagages dans les appartements qu'elle devra partager avec Fadir sous peu. Bien sur,elle était saisit d'inquietude partager entre le désir de s'enfuir a toute jambe ou de rester pour le confrontrer comme elle l'aurait faire depuis le tout début. Une idée suicidaire qui d'ailleurs la plaisait follement. Mais contrer un homme aussi viril que Fadir, quelle idée folle! Elle voulait donc se livrer ,la tête la première, a la fosse au lion . Confrontrer ses insupportables désir  qu'elle voulait par dessus tout enfouir au plus profond de l'âbime, désir qui s'éveillait quand elle était proche de son mari. Elle repoussa avec rage cette idée incrogrue qui avait effleuré son esprit. Sa raison obtait pour la seconde option ; Celle de s'enfuir a toute jambe. Pour aller où?

Bonne question!

Peut-être devrait-elle le forçer a dormir  a même le sol ou pis,  exiger ses propres appartements. Un lieu de refuge et de paix pour pouvoir s'échapper de sa solitude car,il n'était pas question de dormir dans le même lit d'un homme aussi devergondé que Fadir. Les servantes eurent finis de deballer ses bagages. Bon sang! Elle n'avait pas remarquer que l'une d'elles l'appelait. Son esprit était déconnecté depuis des heures ,constata t-elle en regardant la mine inquiète transpercé le visage de ses servantes

-Votre altesse, fit l'une d'elles ,vous vous sentez bien. Desirez-vous que j'appelle un medecin.

Elle secoua la tête et inspira un bon gout. Les servantes n'étaient pas rassurer pour autant. Porté d'un elan d'inquietude , la plus jeune pressa le pas et ouvrit la porte a la volée.

-Pardonnez-moi mais je dois avertir le roi de votre état de santé.

Ismen se sentit sur le point d'exploser. Et ce n'était pas dû a ses hormones. Etrangement, elle haissait le fait que ses servantes veulent prevenir son mari. Il n'était que le centre d'intêret dans ce maudit palais. Tel un seigneur! Elle n'avait d'yeux que pour lui . N'est-ce pas de la jalousie? Elle en ressentait une douleur vive. Elle avait eu son lot de servante amoureuse, depuis Farah et elle ne désirait en aucun cas renouveler l'experience.

-Je vais bien , dit-elle en elevant la voix qui fit sauter la jeune servante, je vous sommes de revenir ici.

Depitée, la jeune servante accouru a elle et faillit tomber sur le carrelage.

-Je m'excuse votre altesse

-Votre altesse, desirez-vous vous...que je fosse couler un bain chaud . Vous avez l'air très épuisée,ajoute une des servantes qui semblaient malaise

Ismen obtempera.

-Aria,voudrais-tu nous laisser s'il te plait.

La petite effrontée s'appelait donc Aria. Elle se rembrumit et dû asquiesca la tête pour masquer son embarras et prit congé. Les autres restèrent pour lui préparer un bain chaud et quand elles eurent terminés,elles avertit la plus vieille qui les congédia d'une main. Ismen la suivit. Elle l'aida a se deshabiller

-Je suis désolée pour Aria, lui fit savoir la domestique,elle est jeune et ne comprends pas vos rapport avec le cheihk

Ismen se glissa dans son bain

- j'en ai trop dur, demanda Ismen

-Mais non , ma petite, lui dit la servante d'une voix maternelle en lui lavant les cheuveux. Je Comprends parfaitement votre position vous avez énormememt souffert lorsque ce soir la vous avez decouvert votre mari dans les appartements de sa concubine.

Ismen se retourna sous le choc. Elle ignorait que la servante était au courant de cette histoire. Comment l'avait-elle su d'ailleurs? Tout le palais savait donc la raison de sa fuite. Elle se refusait de toute pitié encore moins de la part d'une servante. Mais celle-la semblait être différente de toute celle qu'elle avait croisé. Elle lui couvrit d'un regard compatissant qui ne cessait de l'ebranler. Elle semblait être quelqu'un de bien ce qui était rare dans l'univers de Fadir. Toute fois, elle devait rester prudente et pas ne accorder toute sa confiance a la vieille domestique. Peut-être essayait-elle de l'enduir en erreur en faisant
‹la mère Theresa› . Farah ne l'avait-elle pas trompé ainsi? En faisant la timide, la petite servante aimante et souriante pour ensuite la poignarder dans le dos. Marsha, perçu son malaise et le regard que lui adressait la jeune maîtresse était celle d'une femme sur ses gardes. Qui pouvait l'en blamer?

L'épouse bafouée du cheikh (saga playboy Tome 5) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant