𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏

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" Flash-back"


3 avril 1998

Osaka,Japon

-Tient Sachi me dit le toxico en me tendant un sachet blanc

Je tend ma main pour le prendre mais il le retire aussitôt.Mon visage prend une mine légèrement choquer ne comprenant pas sa réaction.

- J'ai déjà payée, tu joue à quoi ? Dis-je.

- Cette fois si tu ne va pas juste achetée et partir Sachi il me dit en s'approchant de moi.

La peur m'envahie, je ne sais pas quoi faire. Je suis coincée dans cette petite ruelle, avec lui. Je n'aurais pas du venir.

- Ne t'approche pas dis-je en reculant

- Sinon? Que vas tu faire ma petite Sachi ? Dis t'il ce sourire malicieux au coin des lèvres.

Plus il s'approche, plus je recule.Et plus mon coeur tambourine.

- Normalement,tu ne peux pas faire ça dis-je la voix tremblante.

C'est le mur qui me stop brusquement,stoppant au passage touts mes espoirs.

- Tu crois qu'un toxico comme moi calcul les règles ? Les lois ? Il me dit tout en riant.

- Arrête ça Hiro, ne t'approche plus !

- Aujourd'hui tu vas être à moi Sachi, tu aurais mieux fait d'accepter ma proposition quand je te l'ai proposer si gentiment dis t'il en collant son corps au mien Une belle fille comme toi ne doit pas venir dans ce genre d'endroit.

Ses yeux me le font bien comprendre que je ne repartirais pas d'ici tant qu'il n'aura pas eu ce qu'il veux,autrement dit moi...

- H-Hiro dis-je apeuré

Je sais ce qu'il a en tête, me violer. Je prie seulement pour que quelqu'un le stop, mais c'est impossible.

-Tu es si belle il dit en caressant ma joue.

Je retire ses mains, il me dégoûte.

Il regarde ses mains puis les miennes,la colère l'emporte et il viens violemment plaquer mes mains au dessus de ma tête.

Ces lèvres finissent à cheval sur les miennes,m'empêchant de respirer.Ce seul contact arrive à me donner la nausée.

Je suis désormais victime d'une agression que je pensais seulement arrivait aux autres,mais aujourd'hui je suis la victime d'un viole






1 mai 1998

Tribual de Shojiki, Osaka Japon


- Donc vous me dites que Park Hiro, vous a violée ? Me dis le juge

- Oui dis-je en retenant mes larmes.

Aussi dur que toute cette mascarade soit-elle,j'emploie un ton ferme qui me permettra d'avoir meilleure assurance auprès de touts ces gens.

L'avocat de Hiro ce lève pour prendre la parole. Le juge l'autorise.

- Mon client n'a en aucun cas à fais ça dis son avocat

Cette simples phrase réussi à me mettre dans un état second,un état de haine.

𝐏𝐬𝐲𝐜h𝐨𝐯𝐞𝐧𝐠𝐞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant