Imagine Hunter x Hunter

2• Rapprochement plus ou moins compliqué

Gon
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Après un agréable moment passé ensemble à boire un verre de grenadine, Gon et toi, vous revirent plusieurs fois. Plus tu le connaissais, plus tu le trouvais foncièrement gentil et mignon. Vous aviez de nombreux points communs. Il avait aussi menacé son ami, Kirua de ne plus lui parler s'il ne s'excusait pas de s'être moquer de toi. Un vrai gentleman.

Kirua
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Vous partagèrent donc la boite de chocorobots et même si au début vous ne vous entendiez pas très bien, il avait réussi à te faire rire. A la fin de la soirée, tu fus surprise mais absolument pas réticente lorsqu'il te demanda si tu étais libre la semaine prochaine. Au bout d'un mois de dîner et de discutions toujours plus longues, tu lui demandas enfin de sortir avec lui.

Kurapika
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Comme prévu tu te présentas devant l'immeuble où eu lieu, hier, les enchères privées. Ton agresseur était déjà présent. Lorsqu'il t'avait attaqué tu n'avais pas pu voir son visage, tu fus agréablement surpris(e). C'était un jeune homme d'une vingtaine d'années, aux cheveux blonds et aux yeux gris. Tu t'avanças vers lui, le bocal contenant les yeux fermement tenu dans tes bras. Il était évidemment hors de question que tu les lui donnes.

«-Je crois que ma décision ne va pas beaucoup vous plaire. Lui dis tu d'un ton détacher.

-Donnez les moi immédiatement ! Pourquoi les avoir apportés dans ce cas ? Il s'avance à son tour.

-Je voudrais savoir pourquoi vous y tenez tant, et à cette seule condition je vous les remettrais.

Aussitôt, une chaîne invisible jusqu'à lors, apparaît autour de toi.

-Vous croyez réellement être en position de négocier.

-Totalement, je ne pense pas que vous soyez capable de me tuer.

Ses yeux devinrent alors aussi écarlates que ceux que tu tiens dans tes bras.

-C'est pour ça, tu es du clan Kuruta ! Dis tu sans plus aucune ironie.

Il ne répond rien, t'arrache les yeux des mains et s'apprête à repartir.

-Ce sont des faux ! Décides-tu de crier. Les vrais sont chez mon père comme beaucoup d'autres. Je peux t'aider à les récupérer.

Toujours sans rien dire, il te fait un signe de tête pour t'inviter à le suivre.

Hisoka
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Un homme que tu ne connais pas vient te chercher chez toi à cause d'un gage à la con. Tu es un peu stressé(e), il pourrait bien être étrange et vouloir te kidnapper. Prenant ton courage à deux mains, tu rentres dans sa voiture. C'est une bonne surprise, ce n'est pas un vieux même si il a le style d'un arlequin. Il retourne son visage où sont dessinées une goutte et une étoile. Puis il t'adresse un sourire qui fait réapparaître toute ton inquiétude. Il a vraiment une tête de psychopathe. Vous arrivez dans le restaurant qu'il a choisit et qui franchement ne te met pas non plus en confiance. C'est un petit bar de quartier, plutôt délabré. Tu essaies de te rassuré comme tu peux et entame la discussion avec l'arlequin. Contrairement à tes attentes, il est plutôt sympa, très lourd mais sympa. Tu finis la soirée en un seul morceau après qu'il t'ait quitté par un langoureux baisé. Tu n'en revenais pas, c'était toi qui avais de plaquer tes lèvres sur les siennes. Tu avais voulu ce baiser et l'avais commencé.

Illumi
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Votre premier date fut comment dire ? Étrange. Ni l'un ni l'autre n'avez beaucoup parlé. Vous aviez mangé dans le silence votre délicieux plat. Pourtant ce n'était pas pesant ou gênant au contraire tu t'étais senti bien à ses cotés. Ce fut seulement au dessert que vous commencèrent une conversation animée sur ses derniers contrats d'assassina. Il te racontait avec un certain talent ses missions les plus périlleuses. Malheureusement vous vous quittèrent au pied du manoir des Zoldycks sans qu'aucun de vous deux n'ait avoué ses sentiments.

Feitan
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Tu fus surpris(e), le lendemain de ta soirée de recevoir un message d'un numéro inconnu :

Inconnu :

J'imagine que c'est toi qui m'as ramené chez moi hier.                                                                      Je ne me souviens pas de la soirée d'hier.             Tu pourrais me raconter ?

T/P :

                                     Bien sur aucun problème.                         Tu me rejoins dans le parc en face de chez toi dans une heure ?

Tu le retrouvas comme prévu en face d'un grand lac. Au débat tu ne fis que lui résumé la soirée d'hier en omettant le fait que bourré vous vous soyez embrassé à plusieurs reprises. Puis vous commencèrent à échanger vos point de vue sur de nombreuses choses diverses. Vous vous découvrirent un intérêt commun pour le morbide et le gore.

Kuroro
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Tu avais de nombreuses fois réfléchi aux conséquences de ton pouvoir et de sa dangerosité. Malgré ça tu ne voulais pas t'en séparer. Tu ne te rendis pas au rendez vous avec Kuroro ayant trop peur que ce refus le froisse et qu'il ne t'arrive quelque chose. Une semaine se déroula sans que tu n'ais de nouvelles du chef de la brigade fantôme. Jusqu'à ce qu'un matin, il vienne toquer à ta porte.

-Est-ce que je pourrais entrer ? Je vous jure de ne vous faire aucun mal. Promit-il d'une voix rassurante.

Sachant qu'une simple porte ne le retiendrait de toute façon pas tu lui ouvris. Alors qu'il entrait tu restas pétrifiée devant la porte grande ouverte. Il le remarqua et posa une main sur ton épaule. Ce contact te fit trembler, de peur ou d'excitation, tu l'ignorais.

-Je vous ai dit que vous n'aviez rien à craindre. Susurra-t-il dans ton oreille.

Vous vous assirent sur le canapé et étrangement, Kuroro se montra très compréhensif lorsque tu lui annonças ta décision.

-Je ne peux pas me séparer de mon aptitude, même si elle entraîne des inconvénients.

-Très bien. Je ne te cache pas qu'en temps normal je ne t'aurais pas posé la question et même en cas de refus je l'aurai prise. Mais aujourd'hui, avec toi, c'est différent. Tu écarquillas les yeux. Accepterais-tu que nous nous revoyons ?

Ne sachant pas trop quoi dire tu lui donnas ton accord.

Biscuit
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Vous vous retrouvèrent pour parler du classement et de ce que tu pouvais lui offrir durant les élections. Même si rapidement le sujet de la conversation devint plus personnel. Vous vous entendiez très bien et une complicité s'installa entre vous. Les semaines suivantes vous continuèrent à vous voir de plus en plus.