II- Mais t'es où ? Pas là ?... Ah non, il est là enfaite

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Quand nous sommes arrivée vers la fumée, on voyait les corps d'Uruk-hai au sol, regroupée en un tas et brulant sous le soleil. Je fus parcourus d'un léger frisson d'horreur en imaginant les Hobbits ici. Non... Ce n'est pas possible. Ils s'en sont forcément sortie, ils ne peuvent pas être mort... Non, c'est impossible... Gimli trouva un objet bruler, un ceinture plus précisément :

- C'est une de leurs ceinture...

Non... Non, c'est faux !... Je ne veux pas, je ne veux pas les voir mourir comme j'ai vu mourir Boromir :

- Puissent-ils trouvez la paix après la mort...
- Ne dit pas ça... Ils ne sont pas mort, j'en suis certaine !

Legolas me lança un regard attristée alors qu'Aragorn, pris d'une rage incontrôlée tappa dans un casque qui partit loin. Il cria en se jettant au sol :

- On les a abandonner.... Ce lamenta Gimli

Je fermais les yeux. Non ! Non ! Ils ne sont pas mort ! Je le sais, je le sens ! C'est à ce moment là qu'Aragron repris la parole :

- Un Hobbit était allongé ici, l'autre là. 

Il suivait des traces que je voyais également, ont le suivit :

- Ils ont rampé, leurs mains étaient ligotées. Leurs liens ont été coupés. Ils ont couru par ici. Ils étaient suivis, les traces s'éloignent du combat...

Il relève la tête vers la grande forêt qui nous fait face, il dit d'une voix un peu trop lugubre à mon goût :

- Et vont vers la forêt de Fangorn.
- Quelle folie les a conduit là ?

Ont ce jettent des regard, mais je suis la première à prendre l'initiative d'entrée dans la forêt, je ne laisserais pas Pippin et Merry. Je sentis mes compagnons me suivre alors que je me fessais guider par les arbres, j'entendis d'ailleur Legolas m'appeller, mais quand je me retourna dans leurs direction, je ne les voyais plus :

- LEGOLAS ?!

Alors que je cherchais mes amis, je sentis le vent me pousser dans une direction malgré moi, ne pouvant lutter contre celui-ci je me laissa guider, le vent venait de mon dos et me poussait dans une direction que seul lui connaissait. Ce manège durant quelques minutes, minutes où je ne savais pas réellement quoi faire de mes pieds qui marchait trois pas avant d'être trop loin du sol quelques seconde puis revenir sur le sol. Enfin, cela fini par s'arrêter, je me retrouvais maintenant maître de mes actions mais j'étais éblouie par une lumière blanche qui me paraissait quelque peut familière. Au bout de quelques seconde la lumière ce fit moins éblouissante et je pu ouvrir les yeux, un sourire s'étendis sur mes lèvres :

- Gandalf... Je vous croyais mort... Tout le monde vous crois mort !
- Loreline, je suis heureux d'être tombé sur vous...
- À vrai dire, on m'a plutôt emmener à vous... Je n'ai pas eu tellement le choix
- Que voulez-vous dire ?

Nous entamons donc une marche dans la forêt à la recherche de mes amis tout en racontent à Gandalf tout ce que j'avais appris sur moi et mon pouvoir. À la fin de mon récit il me dit :

- Je suis heureux de revoir la vrai Loreline.
- Comment ça ?
- Je me souvenais d'une jeune fille courageuse qui était franche, drôle et émerveiller de tout. Cependant la jeune fille que j'avais connu jusqu'ici était bien loin de cette image, mais maintenant je vous retrouve.

Je souris au magicien gris...Enfin, blanc maintenant et j'entendais Aragorn, Gimli et Legolas. Avec un sourir Gandalf m'indiquait de me cacher légèrement :

- Aragorn, il y a quelque chose là bas
- Que voyez vous ?
- Le magicien Blanc approche
- Ne le laissons pas parler. Il nous jetterait un mauvais sort. Il faut faire vite.

Une voix d'or - Livre IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant