Une voix d'or - Livre II

V- Moi ? Amoureuse ?! Mais de quoi vous parlez...

Face à mon affirmation, la plupart des personnes autour ce sont tue, un lourd silence c'est installé et tout les regard était barquer sur moi. Je ne bougeais pas d'un millimètre, seul Eowyn s'approcha lentement de moi pour demander tout bas :

- Le meurtre de qui ?
- Il a tenté de me tuer. Ma mère à pris le coup à la place.

Je me retourna, fesant volée mes cheveux au passage et partit prendre l'air. Une fois dehors je pris une grande inspiration et me calma, tout va bien, c'est comme ça et on y peut rien. Soudain je vis à l'horizon un cheval portant deux enfants, le garçon tomba. Sans plus réfléchir je courus dans leurs direction, je tenais ma robe dans mes mains et sentait le vent fouetter mon visage jusqu'à arrivée à la hauteur des deux enfants. Je m'approcha du garçon à terre, il n'était pas spécialement blesser simplement très fatiguer. Je le pris dans mes bras et sa petite tête reposa dans mon cou, je m'approcha de la petite fille qui semblait ce méfier de moi :

- Ne t'inquiète pas, je ne vais pas vous faire de mal. Comment t'appelle-tu ?
- Freda.
- C'est un très jolie prenom, moi c'est Loreline. Vous allez à Edoras c'est cela ?
- Oui...
- Laisse moi vous aider.

Je pris la sangle du chevale d'une main et tenais le petit garçon contre moi et marcha vers le palais en fessant la discution avec la petite fille pour la maintenir éveiller, je lui posais des question basique sur elle, son âge, sa couleur préféré... Une fois arrivée au murailles, Gandalf, Eowyn et des gardes sont venus dans ma direction :

- Voici Freda et Eothain, leurs mère s'appelle Morwen et ils viennent de l'Ouestfolde. Ils ont été attaquer par Saroumane, il gagne du terrain.

Eowyn prend la petite fille et nous les amenons au palais pour les nourrir et s'occuper d'eux. Nous sommes maintenant entrain de les faire manger, Eowyn et moi pensons à la même chose, ce n'est plus qu'une question de temps avant qu'Edoras ne soit attaquer, je préfère ne pas m'exprimer sur le sujet. Pour le moment du moins, c'est Eowyn qui brisait ce silence :

- Ils ont été surpris. Ils étaient désarmés. Aujourd'hui des sauvages traversent l'Ouestfolde, brûlant tout sur leurs passages: arbres, foins, les paillasses.
- Où est maman ?

La petite voix de Freda me fit de la peine, je n'en sais rien, elle peut aussi bien être morte que d'avoir réussi à s'échapper du massacre... Je lui caressa lentement le dos en lui chuchottant que tout allait bien en utilisant ma magie pour la rassuré :

- Ce n'est qu'un avant goût de la terreur que Saroumane peut répendre. Toujours plus puissant car il est mut à présent par la peur de Sauron. Chevauchez et attaquez-le de front. Éloignez-le de vos femmes et de vos enfants. Vous devez combattre.

Le roi ne semblait pas très emballée par cette idée, ce qui peut être compréhensible. Son peuple subit déjà la terreur de Saroumane, mais si il ne fait rien ce sera bien pire...:

- Vous avez deux milles hommes qui chevauchent vers le nord à l'heure où nous parlons. Éomer vous est loyal. Ses hommes vont revenir et se batteront pour le Roi.

Malgré les paroles d'Aragorn, le roi ne se battra pas, du moins pour le moments. Ils ne veut pas prendre le risque de tuer le peu de soldat qui lui reste :

- Ils doivent être à trois cent lieux d'ici à présent. Éomer ne peut rien pour nous. Je sais ce que vous voulez de moi. Mais je ne ferais as subir de nouvelles pertes à mon peuple. Je ne risquerais pas une guerre ouverte.
- Elle est pourtant déclarée ! Que le vouliez ou non !

Bon bha nous avons un Aragorn et un Théoden énervé. Super...:

- Au dernière nouvelles, c'était Théoden et non Aragorn le roi du Rohan.
- Alors quelle est a décision du roi ? Demanda Gandalf.

Je fermais les yeux alors que le roi ordonnait à tout le monde de ce réfugier au gouffre de Helm. Moi et mes amis étions entrain de discuter du choix du roi dans la salle du trône du château d'or, Gimli pesta :

- Le Gouffre de Helm ! Ils fuient vers les montagnes alors qu'ils devraient rester et se battre. Qui les défendra si ce n'est le Roi ?
- Il fait ce qu'il croit être le mieux pour son peuple. Le Gouffre de Helm les a sauvés par le passé. Loreline, tu pourrais faire quelque chose non ?

Je français les sourcils, qu'es-ce qu'Aragorn veut dire ?:

- Comment ça ?
- Tu pourrais utiliser ta voix pour le convincre de ce battre !
- Oh non. Je suis certe de votre avis, mais jamais je ne le forcerait à ce battre !
- Pourquoi ? Me demanda Aragorn
- Parce que nous sommes tous née avec le libre arbitre, ce n'es pas parce que j'ai le pouvoir de le changer que je vais l'utiliser dès que quelque chose ne viens pas dans mon sens. Le choix du roi, même si je le trouve totalement idiot, est parfaitement compréhensible. Je n'ai pas appris à contrôler mon pouvoir pour l'utiliser à chaque phrase !

Je sortie donc de la salle passablement énervée, je me retrouvais sur les remparts du palais à regarder le paysage magnifique du Rohan, je m'appuais sur la balustrade en soupirant. J'y suis peut-être aller un peu fort, je n'aime pas m'énerver sur les gens. Le soleil était haut dans le ciel, je m'étais changer entre temps, j'avais mis une tenus plus pratique qu'une robe, j'avais une chemise blanche, un corset noir et un pantalon serrée, noir également avec des bottes en cuire. Je n'avais pas pris mes armes, seulement ma petite lame fine que j'avais utiliser pour me faire un chignon. J'avais mis une cape blanche sur mes épaules à cause de la petite brise froide. Je vis quelqu'un se placée à côté de moi, j'ai facilement reconus Legolas. Il ne disait rien et moi je continuais de fixer l'horizon il se tourna finalement dans ma direction et commencait à parler :

- Tu as changer Loreline.

Je ne répondit rien sur le moment, finalement je me tourna vers lui en le regardants dans les yeux :

- Es-ce une mauvaise chose ?
- Non, au contraire. Je...

Il refit un quart de tours vers l'horizon sous mon regard et fini sa phrase :

- Je trouve que ça te correspond mieux et j'ai retrouvée la Lore que je...

Il stoppa soudainement sa phrase. Qu'es-ce qu'il a voulu dire ? Je ne lis pas dans les pensé moi, je ne vais pas deviner non plus ! :

- Legolas ? Tu n'a pas fini ta phrase ? Gandalf aussi à dit qu'il me reconnaissait mieux maintenant. J'aimerais bien ressembler à ma mère...

Il se tourna soudainement dans ma direction et s'approcha de moi, il a quand même légèrement pénétrer dans mon espace vitale :

- Pourquoi tu voudrais ressembler à ta mère ?
- J'ai déjà son physique, mais je n'ai pas le courage et l'assurence...

Il fit encore un pas dans ma direction, je levais légèrement la tête pour continuer de garder le contacte visuel:

- Tu le pense vraiment ?
- Oui...
- Effectivement, tu ne lui ressemble pas.

Je baissa les yeux vers mes pieds qui était à quelque centimètres de mon interlocuteur :

- Tu es forte, tu as du charisme, tu es courageuse, tu as de l'audace et si je continue de faire cette liste on y es encore dans trois jours.

Je ne relevais pas la tête, avant c'était parce que je me sentais nulle mais là c'était surtout pour cacher les rougeur qui envahissait mes joues. Je sentis soudaiment mes cheveux tombé dans mon dos, Legolas retira une mèche qui me cachait le visage toujours inclinée vers le bas, ses doigts on glisser de ma machoire jusqu'à mon menton qu'il a remontée doucement. Il me tendis l'arme qui retenait mes cheveux :

- Et je te trouve bien plus belle qu'elle.

Je récupèra fébrilement la lame, mes joues me brulait encore plus quand Legolas me sourit avant de me laisser seule sur les rempart du château. En reprenant rapidement mes esprits je sauta par dessus la balustrade pour m'assoire dessus, les jambes pendant dans le vide pour réfléchir avec ce qui venais de ce passer. Et si, depuis tout ce temps j'étais... Tombée amoureuse de Legolas ..?