III- Le Rohan (on sens vraiment l'inspi pour le titre...)

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Au bout de quelques jours de cheval nous sommes finalement arrivée à Edoras, je pouvais voir la ville de loin. Ce n'est pas dans le style d'architecture des Elfes,mais je trouve la ville très belle :

- Edoras et le château d'or de Meduseld. C'est là que réside Théoden, le Roi du Rohan, dont l'esprit a été vaincu. L'emprise de Saroumane sur le Roi Théoden est désormais très forte. Prenez garde à ce que vous dites, nous ne sommes pas les bienvenus.

On repris donc notre course jusqu'au porte de la citée. Je n'ai que rarement vu de royaume autre que des citées elfique. Une fois j'ai vu Erebor, le royaume Nain et durant mon voyage j'ai aperçu la Moria mais c'est tout. Je n'ai jamais vu de royaume habiter par les hommes. Quand nous sommes passer devant la porte un drapeau du Rohan volait jusqu'à nous, le royaume était vraiment mal en point, nous avons continués notre route à travers la citées qui semblait morte, Gandalf nous avait prévenus que le roi était sous l'emprise de Saroumane, mais à ce point...:

- Et bien, c'est plus gai dans un cimetière...
- Cela veut dire que vous n'êtes jamais venu à Ekriviel Gimli ! Pour moi, il y a des festivités !

Je disais cela sur le ton de la rigolade, mais... C'était malheureusement vrai. Aucun son ne venait déranger le silence pesant de mon royaume, l'atmosphère ici m'y fait pensé un peu... Je promet de redonner vie à mon peuple quand je rentrerais chez moi. On arrive finalement devant les portes du château, un garde nous arrêta :

- Vous ne pouvez pas voir le roi Théoden ainsi armé Gandalf Maisongrise. Par ordre de Girma Langue de serpent.

Il avait l'air de respiré la motivation et la joie de vivre dit donc... Enfin, faut que je me désarme. Je tendis avec difficulté mon arc au garde devant moi, tout comme mes deux lames. Je retira ensuite mes dague, celles cacher dans mon pantalon, celles au niveau de ma taille et... Il me semble que c'est bon... Je suis sûr que j'en ai oubliée une...:

- Ma Dame ?
- J'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose...

Je fini par hausser des épaules, c'est sûrement pas grand chose si je l'ai oubliée, cependant le garde qui semblait être le capitaine empêcha Gandalf de passer :

- Votre bâton.

Heu... On a un problème si Gandalf ne peut pas utiliser son bâton...:

- Oh ! Vous n'allez pas priver un vieillard de son appui ?

Le garde ne semblait pas spécialement croire Gandalf qui s'appuia sur son bâton pour donner un aspect plus réaliste à son mensonge, mais le garde ne semblait pas le croire, bon c'est à moi de jouer je suppose :

- Monsieur, s'il vous plaît. Il ne pourra pas marcher sans son bâton.
- Bien.

Il nous laissa donc passer, c'est très agréable de savoir contrôler son pouvoir. Plus pratique aussi... On entra donc dans la grande salle, elle était dans un style plutôt rustique, globalement en bois et en pierre, le tout gravée d'or. L'atmosphère était glacial, le roi semblait être assit sur son trône depuis un millénaire, son visage déformée par l'emprise de Saroumane lui donnant un air bien plus vieux que ce qu'il devait faire normalement. Un homme au cheveux noir et au visage qui ne me mettait pas vraiment en confiance était positionner au côté du roi, il chuchotte à l'oreil de son souverain, sa voix est froide et me fait pensé à un serpent, au moins, il porte bien son nom...:

- Mon Seigneur, Gandalf le Gris s'approche. Il est annonciateur de malheur.

On arriva à quelque mètre du roi et Gandalf pris la parole :

- La courtoisie de votre demeur a quelque peu diminué ces temps-ci, Roi Théoden.
- Il n'est pas le bienvenue.

Le Roi pris donc la parole, sa voix était pateuse, comme si le simple fait de prononcé des mots puissait dans le peu d'energie qui lui restait :

Une voix d'or - Livre IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant