XVII- L'attente éternelle...

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Une fois que tout fut quelque peu calmé, nous nous sommes tous rendus dans la salle du trône qui avait été ranger quelques heures auparavant. Je m'étais entre temps changé, je pourrais actuellement un pantalon noir avec des bottes de la même couleur, j'ai une tunique elfique bleu claire en rapport à mon pays avec un corset noir qui me sert d'armure, mes avant-bras sont également protégés par des lanières en cuir noir. Par-dessus le tout j'ai ma cape blanche et j'ai laissé mes cheveux détacher, j'ai simplement pris deux de mes mèches que j'ai rassemblé avec le pic que je mets toujours dans mes cheveux. Je me place entre Aragorn et Legolas, les bras croiser en écoutant les paroles de Gandalf qui nous guiderons pour la suite de notre aventure :

- Il n'y avait pas de mensonge dans les yeux de Pippin. C'est un crétin... Mais un crétin honnête au moins. Il n'a rien dit à Sauron sur Frodon et l'anneau et nous avons été étonnamment chanceux. Ce que Pippin a vu dans le Palentir n'est qu'un aperçu du plan de notre ennemi. Sauron s'apprête à attaquer la cité de Minas Tirith, sa défaite au gouffre d'Helm lui a monté une chose, l'héritier d'elendil est ici et approche, les hommes ne sont pas aussi faibles qu'il le supposait, ils ont encore de la bravoure et assez de force pour le défier. Sauron craint cela. Il ne laissera pas les peuple de la Terre du milieu s'unir sous une seule bannière, il rasera Minas Tirith jusqu'à la dernière pierre plutôt que de voir le retour d'un roi sur le trône, si les feux d'alarme du Gondor sont allumés, le Rohan doit se tenir prêt à entrée en guerre.

Minas Tirith... Fut un temps lointain où la cité humaine était très proche de mon royaume elfique. Tout cela n'annonce rien de bon, cependant nous pouvons voir que la nuit commence enfin à se terminer, le soleil approche et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour que cette aube soit un symbole de paix pour la terre d'Arda soit en paix pour un long moment, la voix grave du roi Théoden retentis dans la large pièce :

- Dites-moi... Pourquoi devrions nous courir au secours de ceux qui ne sont pas venus au notre ?

Sa réflexion peut-être compréhensible, nous venons de gagner une victoire et le tribu d'Edoras fut très lourd à porter et Gandalf demande au roi de replonger dans cette guerre. Cependant, si le Rohan ne fait rien, le monde sera perdus...:

- Que devons-nous au Gondor ?

Je jette un regard à Aragorn qui fixe avec détermination le roi Théoden :

- Je vais y aller.

- Non ! Contre immédiatement Gandalf.

- Ils doivent être prévenus, plaide Aragron

- Ils le seront (nda: seront, Soron t'a capté mdrr... Bon j'arrête c'est pas drôle)

Gandalf s'approche de notre petit groupe de quatre et parle pas à Aragorn :

- Vous vous rendrez à Minas Titith par une autre route, une route sur laquelle l'ennemi ne vous attendra pas... Il reprit ensuite d'une voix plus forte en ce tournant vers tout le monde, comprenez ceci, les choses qui sont en mouvements ne peuvent être arrêté. Je vais aller à Minas Tirith... Il nous fait ensuite dos, se tournant vers les Hobbits, et je ne vais pas y aller seul.

Alors que les Hobbits et Gandalf allaient se diriger vers les écuries, le sorcier se retourne vers moi et m'interpelle, je me dirige donc ensuite dans sa direction, un peu perdus :

- Soron a entendu parler de vous Loreline, il sait à quoi vous aspirer et que votre peuple vous veut sur le trône. Faites attention à vous, il cherche également à vous évincer de sa route.

Il me fixait dans les yeux, marquant l'importance de ses propos. Lui répondre avec des mots ne servirait à rien, je me contente d'hocher solennellement la tête. Entendre que mon peuple attendait mon retour m'emplis d'une chaleur et d'un espoir incroyable, ils veulent de moi sur le trône ? C'est presque inimaginable, pour quelle raison ? Qu'ai-je fait à leur connaissance pour qu'il souhaite cela ?

Une voix d'or - Livre IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant