IV- Une reine

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Des funérailles ont été préparée. Je n'aime pas ce genre de chose, je trouve ça triste, trop triste... On m'a donnée une chambre dans le château d'or. Une robe de couleurs noire m'a été apportée, j'avais une heure devant moi pour me préparé, je pris le tissus entre mes mains et me placa devant le miroir en mettant la robe contre mon corps. Elle est belle, ce n'est pas la question... C'est juste que j'évite cette couleur depuis 200 ans. Ma porte s'ouvrit doucement sur mes compagnons, Legolas, Gimli, Aragorn et Gandalf. Le magicien pris la parole :

- On se doutait que tu soit perturbé Loreline.
- Tu n'es plus seule Lore.

Legolas m'offrit un sourire rassurent :

- Je le sais, merci à vous d'ailleurs. C'est juste que je n'aime pas les funérailles... Pour être honnête je ne sais pas trop quoi pensée de ma situation.
- Nous non plus, mais c'est comme ça. Prépare toi, nous t'attendons dans 50 minutes devant les portes du palais, ne soit pas en retard !

Je souris à Aragorn lui signifiant que je serais bien là à l'heure et mes amis partirent de ma chambre, me laissant me préparer. Je laissa ma chambre au couleurs chaude pour aller dans la salle d'eau. Je pris rapidement un bain chaud de sorte à me sentire propre ensuite je mis la robe de couleurs noir, elle était simble et m'arrivait au pieds, il me faudras des talons si je ne veut pas tombé, je mis un corset noir brodée de fils d'or et serra la cordes sur les côté, ficelle qui était dorée elle aussi. Les manches etaient longues et ample au niveau du coude. Je m'approchais du miroire et vis un légère éclat provenir de mes affaires personnelle. J'en sortie la couronne que Galadrielle m'avait offerte il y a 10 ans de cela. Des fils d'argents entrelacé parsemée de diamant, je le déposa délicatement sur ma tête et... Malgré tout ce que je pourrais dire, il est indéniable que j'ai bien plus confiance en moir quand je porte une couronne sur la tête. Je commencais à nattée mes cheveux autour de la couronne pour la dissimulée légèrement dans ma chevelure. Je laissa le reste de mes cheveux détaché mais fit de petite nattes dans la longueurs pour occuper mes doigts qui entremêlent mes cheveux presque mécaniquement. Je jettais un derniers regard à ma chambre, elle était spacieuses mais peu remplis, un grand lit à baldaquin était du côté droit de la chambre et un grand tapis au couleurs rouge etait au pieds du lit. Un miroire à pieds était dans un coin et les rideaux blanc qui volait au vent par la porte ouverte qui menait à mon balcon, je soupira et ferma la porte de ma chambre, je rejoignait mes amis devant les portes du château accompagné du roi Théoden et de la jeune femme blonde qui s'appelait Eowyn, elle portait une couronne, surment la princesse du Rhoan, elle était un peu plus loin. Je saluais le roi du Rohan en inclinant légèrement la tête dans sa direction, Aragorn me sourit et me demanda :

- Lorleine, on a bien eu peur que tu ne viene pas ! Tu va bien ?

Stop ! C'est bon, je vais ecrire sur un panneau "je vais bien" en majuscule et si on me repose encore une fois cette question je pense que la prochaine personne qui va me le demander regrettera d'être venus au monde ! Je soupira et lui répondit :

- Oui, tout va bien. Merci.

Legolas arriva devant nous, je n'avais pas fait attention au fait qu'il n'était pas là :

- Bon bha, je pense que ce n'était pas la peine d'aller te chercher Lore, tu est déjà arrivée. Tu va bien ?
- STOP ! C'est bon ! Oui, je vais très bien, mais je vais couper des têtes la prochaine fois qu'ont me posera cette question ! Je ne suis pas en sucre, je peux toujours mettre un pieds devant l'autre donc merci mais arrêter avec cette question !

Sans leurs laisser le temps de répondre j'avanca un peu pour arrivé à la hauteur de la princesse Eowyn :

- Bonjour, vous êtes Eowyn c'est cela.

La blonde se tourna vers moi et tenta un sourire, sans grand résultat :

- Oui, vous êtes ?
- Loreline.
- Je vous reconnais, vous êtes l'Elfe qui a sauver mon oncle avec le magicien blanc, je vous remercie.
- C'est normal, j'avais la possibilité de l'aider, je n'allais pas rester là à rien faire.
- Merci beaucoup, désoler si ma question est indiscrète, mais pourquoi vos amis vous demande tout le temps si vous allez bien ?
- C'est une assez longue histoire, mais pour faire court j'ai faillit mourire de chagrin il y a quelque temps à cause de ma...Mère qui est morte il y a quelques temps.
- Oh, je suis désoler.
- Mais vous n'y êtes pour rien. Je me tournais vers elle en souriant légèrement, qui était Théodred ?
- C'était mon cousin, nous avons été élevée ensemble avec mon grand frère par le roi. Je le considérais comme mon frère...

Je posa ma main sur son épaule comme soutiens. Elle me remercia et nous commencons à marcher derrière le cercueils de son cousin. Nous avons traversé la ville, je me tenais au côté d'Eowyn, seul deux mots pouvais décrire ce moment: silencieux et triste. Tout le monde pleurait en silence un prince que je ne connaissais pas, Eowyn semblait retenir ses larmes et elle souffrirait de ce silence quand elle ouvrit la bouche pour chanter dans une langue que mon cerveau traduisit immédiatement :

- Une mort funeste a enlevé le noble guerrier.
Que les menestrel affligés chantent à Meduseld.
Ce noble cousin qui m'a toujours été cher.
À présent il est retenu dans l'ombre, enfermé.

Le cercueil entra dans son tombeau avec de jolie fleur blanche. Tout le monde partait petit à petit, je n'arrivais plus à bouger, le regard fixer sur ces fleurs, je ne suis pas triste, enfin, je ne le suis plus. Je suis plutôt nostalgique, je revois le sourire de ma mère et je ne sais pas si j'ai envie de fondre en larme ou d'éclater de rire. Seul Gandalf et le roi était toujours présent, la magiciens posa sa main sur mon épaule et le roi pris la parole :

- Une Simbelmyne. Elle a toujours poussé sur les tombes de mes aïeux. Maintenant elle va recouvrir celle de mon fils. Hélas, dire que ces jours de malheurs sont pour moi. Le jeune périt et le vieux s'attarde. Devrais-je vivre pour voir les derniers jours de ma lignée.

Gandalf s'approcha du roi et tenta de le rassurée :

- La mort de Théodred n'est pas de votre fait.
- Aucun parent ne devrait avoir à enterrer son enfant.

Il y eu un léger silence, Gandalf allait parler mais je pris la parole :

- La réciproque et vrai roi Théoden. Aucun enfants ne devrait avoir à enterrer ses parents. Mais ça arrive, c'est comme ça, dans les deux cas. Tout ce qu'il faut faire c'est continuer de vivre pour eux, je pense ne pas me tromper en disant que votre fils était devenus le centre de votre monde, car pour moi tout tournait autour de ma mère. Mais ils faut continuer de vivre pour eux, en pensant qu'ils sont heureux là où ils sont.
- C'était une force de la nature. Leurs âme trouverons lechemin du Panthéon de vos aïeux.

Nous retournons au château en silence, arrivé dans la salle du trône, le roi ce tourna vers moi :

- Puis savoir qui vous êtes ?

Je sourit avant de répondre :

- Je suis Loreline votre magester, la reine d'Ekriviel.

Gandalf semblait satisfait de ma réponse, quand à mes compagnons ils m'ont jetter des regard étonné :

- Je ne pourrais jamais rentrée chez moi en m'incliant devant mon père et lui disant "oui mon roi" après tout ce qu'il m'a fait. Depuis 200 ans je porte déjà ce rôle sans reconnaissance et mon frère à officiellement renoncé au titre de roi et est repartis annoncer la vérité à tout le monde.

Eowyn s'approcha de moi et demanda :

- La vérité ? Quelle vérité ?
- Que mon père, en plus d'être un menteur, est un meurtrier. Et il est temps que tout le monde le sache.

Une voix d'or - Livre IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant