One Way Love || La casa de papel [palermo]

007 - Captivité

Sergio avait voyager à Palerme le plus rapidement possible. Arrivé l'as bas, il vit que Martín n'était pas très enjoué de le voir. Martín lui hurla dessus, en lui reprochant la mort de Andrés, quelques minutes plus tard, ils se mirent à pleurer tout les deux, se prirent dans les bras. Et Martín dit:

-" J'espère que ta sœur ne m'en veut pas. Comment vas-t'elle ?"

-" Martín, elle a été capturée par la Police, pourquoi n'est-elle pas rester avec toi ?"

Martín hésita un instant avant de répondre.

-" Elle est bien venue ici, on c'est disputés, et elle est repartie, je pensais qu'elle rentrerai de la même manière qu'elle est venue, qu'est-ce qui c'est passé ?"

-" Elle a utilisée un téléphone et elle a appelé un des membres de la bande, ils se sont fait attrapés tout les deux."

Une énorme culpabilité s'empara de Martín. Il se disait que si il ne l'avait pas rejetée, elle n'aurait probablement jamais utiliser ce téléphone, et elle serait auprès de lui maintenant.

-" Je veux faire le braquage de la banque d'Espagne, et je ne le ferais pas sans toi."

Martín lui rendit un léger sourire.

-" Tu veux l'utiliser pour les sauver ?"

Sergio lui fit un signe positif de la tête.

-" Alors j'en serais."

Sergio lui sourit et ils s'enlacèrent à nouveau. Martín pensait à cet instant qu'il ferait tout pour la sortir de là, quoi qu'il en coûte.

Jessica avait réussi à s'accroupir dans sa cellule, mais elle ne pouvait pas s'allonger. Elle réussit à trouver le sommeil, peut-être une dizaine de minutes avant qu'un gardien frappe à la porte en lui ordonnant de se relever. C'était ça tout les jours, depuis combien de temps, ça elle l'ignorait. Ce jour là, c'était la première fois qu'une femme lui avait parler, à travers les barreaux de sa cellule.

-" Jessica ?"

Elle réussi à capter l'attention de celle-ci, Jessica leva la tête vers elle.

-" Je m'appelle Alicia, viens on va discuter un peu."

Elle s'était éloignée, laissant la place à un garde pour qu'il l'emmène dans une salle. Il l'installât sur une chaise face à une autre, une table les séparais. Elle avait remarqué les chaînes suspendues au plafond, avec un tabouret entre elle. Elle avait déjà eu quelques tortures comme celles-ci, son interrogateur lui posait toujours des questions dont elle ignorait les réponses, et c'était une bonne chose, car elle savait qu'elle parlerai sinon. La femme qu'elle venait de rencontrer, Alicia s'installa en face d'elle, avant qu'elle ne parle Jessica lui posa une question.

-" Depuis combien de temps je suis ici ?"

Alicia rit.

-" Normalement c'est moi qui pose les questions, mais vu que je suis de bonne humeur, je vais te répondre."

Elle regardait le dossier qui était posé sur la table.

-" Ca fait un peu plus de trois mois."

Jessica s'attendait à pire comme durée, le temps passait tellement lentement qu'elle aurait pu imaginé plus d'un an. Elle ne répondit rien et Alicia pris la parole.

-" Alors, Jessica de Fonollosa, d'après nos recherches tu es la sœur d'Andrés de Fonollosa, alias Berlin ?"

-" C'est exact."

-" C'était le chef du braquage, n'est-ce pas ?"

Elle posait des questions dont elle connaissait déjà les réponses. Alors elle ne voyait pas l'intérêt de lui mentir.

-" Oui."

-" Vu que c'était ton frère, il devait te parler du plan."

-" Nous connaissions tous le plan, seulement pas en intégralité, Berlin lui le savait de A à Z. Il était très strict au niveau des règles. Si il savait quelque chose que les autres ne devaient pas savoir, il ne le disait pas, même à sa sœur."

-" Sais-tu où sont les autres ? "

Jessica répondit négativement de la tête.

-" Je ne suis pas bien sûr de cela."

Elle fit signe aux gardes de l'emmener aux chaînes. Après qu'elle soit attaché, seulement le tabouret lui permettait de tenir debout sans que les chaînes la suspende.

-" Pensez-vous vraiment qu'il nous aurait permis de savoir où les autres était ? Parce que c'est certains que j'aurais parler si je le savais."

-" Je ne crois pas... J'ai ton rapport psychologique ici, je l'ai comparé à celui de ton frère, heureusement qu'un homme comme lui est six pieds sous terre. "

-" La ferme."

-" Ohhh chérie, je te conseille de faire attention si tu ne veut pas souffrir, rappelle toi que je décide ici."

Jessica ne dit rien, sachant qu'elle pourrait aggraver son cas.

-" Alors, à des penchants manipulateurs, aime faire bonne impression et à un grand sens de l'honneur, ne parlera pas sous interrogatoire. Voilà ce que me fait penser que tu ne parlera pas, sauf si on t'y pousse un peu."

Un garde fit tomber le tabouret, le poids du corps de Jessica était maintenant seulement supporter par ses poignets ce qui était fortement douloureux. Elle hurlait de douleur, Alicia s'approcha d'elle.

-" Je vais répéter ma question, où sont les autres ?"

Entre deux gémissements de douleur, elle réussi à lui répondre.

-" J'en sais rien."

Après quelques autres tentatives, Alicia la laissa suspendu. Jessica essaya de faire abstraction de la douleur en pensant à autres chose, c'est ce que Andrés lui avait appris quand elle était petite, quand elle se faisait mal, il lui parlait d'autre chose et ça marchait. Elle se mit à penser à lui, aux souvenirs qu'elle avait avec lui, le jour où il lui a présenté Martín. Elle se mit à penser à Martín.

Ce qu'elle ignorait c'était que Martín aussi pensait à elle, il était au monastère, préparant le braquage qui l'a sauverait. Il était dans sa chambre, il jouait de la guitare en pensant à elle. De son côté Jessica se sentait mieux mais elle ignorait pourquoi.