One Way Love || La casa de papel [palermo]

008 - Espoir

C'était le jour j, ils allaient entrer dans la banque d'Espagne dans quelques minutes. Martín était vers les portes, lui, Tokyo et Stockholm avaient passer la sécurité de la garde nationale. Ils allaient s'occuper des otages. Il ne réalisa pas de suite qu'il y était. C'est lorsqu'il se mit à parler aux otages, il était bien là, c'était le chef du braquage de la banque d'Espagne, il accomplissait son plus grand rêve, mais les deux personnes avec qui il l'aurait aimer le faire n'étaient pas là. Il faisait pour Jessica, et pour Rio évidemment, mais la sauver de cette manière était le plus beau cadeau qu'il pouvait lui faire. De son côté, Jessica était loin d'imaginé qu'elle sortirai un jour de ces murs. Ils l'avaient changer de cellule, elle était plus grande, elle pouvait dormir, elle cru comprendre pourquoi. Elle a su par Alicia Sierra que Rio était également dans cette prison. Hier elle l'a vu, elle voulait le prendre dans ses bras, lui aussi, mais ils étaient tenus à distance et attachés. Ils les avaient emmener dans le désert, ils avaient forcés Jessica a creusé la tombe du Rio pour qu'ils l'enterrent vivant. Elle avait refuser évidemment, mais on ne pouvais pas dire non à des gens comme cela. Elle le fit, dès qu'il fut enterré, ils la ramenèrent dans cette cellule. Ils avaient eu pitié d'elle ? Ils se sont peut-être dit qu'après avoir enterré son ami elle aimerait mieux ne pas dormir debout. C'est ce qu'elle ce disait. Elle ne dormait pas, elle pleurait. Ils avaient tués Rio de la pire manière possible, et elle se disait que son tour allait arriver. Elle priait pour que cela arrive vite. Au départ, elle voulait se battre, elle se disait qu'elle sortirai peut-être un jour d'ici. Aujourd'hui, elle voulait seulement que cela s'arrête, et la perte de Rio n'avait fait que l'accentuer.
Quelques heures plus tard, un garde la fit sortir de sa cellule, elle savait qu'elle allait se faire interrogée, encore. Seulement sur le chemin, ils croisèrent deux hommes, ils portaient Rio. Il était inconscient, elle ignorait si il était vivant ou non, elle espérait de tout cœur qu'ils avaient fait ça pour l'effrayer, elle et lui, et qu'il avait la vie sauve. Arrivée à la salle d'interrogatoire, Alicia était là, ce qui ne surpris pas Jessica.

-" Rio est vivant ?"

Alicia lui sourit.

-" Bien sûr, je n'allais pas tuer mon chouchou."

Jessica l'as regardait avec le plus de mépris qu'elle pouvait.

-" Nous allons retourner au pays Jessica."

Le cœur de Jessica se mit à battre plus fort. Elle n'avait jamais eu d'espoir depuis qu'elle était ici.

-" Pourquoi ?"

-" Quelques affaires à régler, je sais que cet endroit va te manquer mais quand même, je m'attendais à plus d'enthousiasme."

-" Quand ?"

-" Maintenant, je voulais te prévenir, et qu'on passe un peu de temps encore dans cette pièce."

Jessica ne dit rien, et se contenta de la détester en silence. Si un jour elle aurait l'occasion de la tuer, elle le ferait, pour lui faire payer toutes les horreurs qu'elle a fait subir à Rio et à elle. Alicia lui fit signe de la suivre, et pour la première fois depuis longtemps, elle vit la lumière du jour. Ils prirent une voiture direction un aéroport, elle était dans la voiture avec Rio, il dormait. Malgré ses main liés, elle put prendre une des mains de Rio dans les siennes, c'était le premier contact humain chaleureux qu'elle avait eu depuis des mois. Elle se mit à reprendre espoir.

Denver était sortit, les secrets d'état à la main, la monnaie d'échange de Vega et Rio. Les braqueurs avaient de l'espoir maintenant, dans quelques heures, le professeur allait négocier avec la police pour échanger les deux prisonniers contre les secrets d'états. Mais quelques heures plus tard, l'inspectrice Alicia Sierra avait neutralisée leur monnaie d'échange, en diffusant de faux secrets d'états. Sergio était dans une impasse et il fallait qu'il réfléchisse à un moyen de sauver Rio et sa sœur. Il compris qu'avec les secrets d'états neutralisées, la police allait rentrer dans la banque. Il contacta Palerme pour le prévenir avant que la communication soit coupée, que la police allait essayer de rentrer, il ignorait de quelle façon.

Il rassembla tout le monde et décida d'adopté une défense violente, en les attaquant de front. Tout le monde était plus ou moins d'accord sauf Tokyo qui s'était interposée.

-" Qu'est-ce qui vous arrive les gars ?" Dit-elle. " On est arrivés ici en lançant des billets, pas des bombes !"

-" Tu sais pourquoi tu fait ça Tokyo ?" Lui dit Palerme. " Parce que tu sais que si on utilise la violence tu ne reverra pas Rio."

-" Et toi ? Tu ne reverra pas Vega non plus."

Tokyo avait compris que lui et Vega étaient proches, et qu'elle comptait autant pour lui que Rio comptait pour elle. Martín n'avait pas tout de suite réalisé, mais il savait qu'ils n'avaient pas d'autres choix que de se défendre, ils étaient morts sinon.

-" Ils vont nous brûler au napalm ! On a pas d'autres choix, ils vont nous tués jusqu'au dernier. Il faut se ressaisir bordel !"

Tout le monde s'était activés pour prendre les armes, sauf Tokyo qui resta là dans cette pièce. Le professeur les contactas quelques minutes après, Tokyo répondit.
Grâce à Marseille, le professeur et Lisbonne comprirent qu'ils allaient attaqués grâce à un gaz qui allait les endormir. Les braqueurs eut le temps d'intercepter l'attaque, il avait maintenant une brigade en otage qui chantait "Bella ciao". Le professeur avait maintenant sa monnaie d'échange, il l'as proposa à Alicia Sierra, elle accepta à contre cœur même si libérer deux criminels n'allait pas être très bien vu par ses supérieurs.

Sergio contacta Martín.

-" Palerme, tu es là ?"

Celui-ci répondit.

-" Tu es avec Tokyo ?"

Ils se regardèrent tout les deux et Tokyo s'approcha.

-" Oui."

-" Ils ont accepté." Dit Sergio. "On échange demain matin la brigade et quarante otages contre Vega et Rio."

Palerme et Tokyo firent une chose que jamais ils n'auraient cru faire, ils se prirent dans les bras. Martín n'avait pas été aussi heureux depuis un moment. Il allait la revoir et pouvoir se racheter auprès d'elle. Il se promis de ne plus jamais la laissée.