Chapitre VIII, Le Custos

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Jeudi 15 décembre 1887

Nous sommes enfin arrivés à la gare St Prancras, le ciel de Londres est nuageux et menace de pluie tous ses habitants.

- Demain nous commençons à 8 heures Ange, à l'académie de Londres. On y enseigne la littérature, la philosophie, la physique chimie, la danse, la musique... et j'en passe. Mon professeur, Emile Berliner et un grand nom de la physique il à inventé la machine à tisser. C'est mon model, je me tue à la tache pour devenir inventeur aussi.

- Avec le mystère qu'on a sur les bras, ce n'est pas chose simple.

- Il est vrai voila pourquoi je travaillerais beaucoup à la bibliothèque je rentrerai tard mais Maz' te raccompagnera, à l'appartement.

- Si tu penses que j'ai besoin d'une nourrice.

- Je ne penses pas ça je dis juste que Londres est dangereuse la nuit.

- Je te taquine. L'ironie n'est pas ton fort.

Sur ce nous prenons un taxi cab, pour nous rendre sur Bellstreet. Je ne peux m'empêcher de zieuter tous les habitants de la ville qui marchent dans la rue. La mode anglaise de luxe est différente de paris, les robes sont plus longue et plus mince. C'est tout aussi beau.

Lorsque nous arrivons devant l'immeuble, Gabriel prend nos bagages et me dit de monter au 6 au dernier étage. Il me tend une clé brunit par le temps et tout à fait ordinaire. Pour une fois qu'une clé ne réagit pas avec moi. Dans les escaliers, sur les marches de pierre, le bruit de mes talons résonne, et se fait entendre dans toute la cage d'escalier.

Arrivée sous la mansarde, je glisse la clé dans la serrure, lorsque la porte s'ouvre ses gonds grincent et je vois une petite pièce à peine plus grande que notre chambre d'Hastings.

- Elle te plait ta nouvelle demeure?

- On ne peut plus.

- C'est une chambre de bonne que mes parents on acheter avant de mourrir. L'académie n'est pas très loin, à dix minutes à peine. Où veux tu diner ce soir?

- Je ne sais pas vraiment, je ne suis jamais aller au restaurant seulement à des pubs, pour les grands évènements.

- Dans ce cas c'est moi qui choisi mais d'abord je veux t'emmener faire une course suis moi.

Je n'ai pas le temps de contester qu'il me tire vers les escaliers, il ferme la porte et nous partons en courant dans les escaliers.

Après avoir marcher 5 minutes dans les rues comble de Londres, nous entrons dans une boutique de robes et de tissus. La plus luxueuse que je n'ai jamais vu. Gabriel va voir les les crinolines les jupons les corsages, on dirait que ça l'amuse de savoir avec quels outils il va me torturer.

 Gabriel va voir les les crinolines les jupons les corsages, on dirait que ça l'amuse de savoir avec quels outils il va me torturer

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Il demande l'aide d'une petite couturière qui laisse alors sont ouvrage pour nous venir en aide.

Elle sort alors de la vitrine une robe verte de tournure avec une traine de velours vert sombre. Elle me la tend et je ne sais comment réagir Gabriel prend les devant. Il m'emmène dans une cabine d 'essayage et explique à l'employé que je n'ai pas l'habitude de robe aussi compliqués, elle se précipite alors pour me venir en aide.

ANGE et le royaume des clésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant