Isolé dans sa chambre depuis des mois, ɪᴢᴀᴋ ᴍᴜɴᴅɪ essaie tant bien que mal d'entretenir sa vie au milieu des ces quatres murs qui servent à le « protéger » au vus du monde extérieur. Angoissé, il finit par savoir de quel type de maladie mentale il a...
Ce n'est pas comme si ce rêve allait me faire changer d'avis à propos de mon état, ce n'est pas parce que j'ai rêvé d'un endroit splendide grâce au soleil qui illumine le monde exterieur et que toute la population en profite que moi aussi je vais me sentir dans l'obligation de faire la même chose.
Je fais ce que je veux, je suis assez grand et mature. Je sais qu'à mon âge certain sortent en profiter pour faire des fêtes, aller en bar ainsi qu'en boîte. Tandis que d'autre passent ces journées dans les études, obtiennent leur permis et donc s'orientent plus vers leur avenir et ne restent pas sans projets dans leurs vies.
Quant à moi, moi qui ne sors pas hors de ma maison plus précisément de mon lit donc de ma chambre, je ne vis sans avoir aucun but précis et cela ne me dérange guerre. Vraiment, nous avons qu'une seule vie donc j'en profite ainsi.
Aujourd'hui, le 28 mai est un jour de pluie. J'ai souvent adoré regarder à travers la fenêtre mais encore plus écouter la tombée de la pluie. Ceci m'apaise parfaitement tard la nuit, sans qu'il n'y a aucun autre son qui m'empêchera de l'écouter tout en ayant les yeux fermés et l'esprit très concentrer par ce son.
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Et il pleut, au beau milieu d'automne avec une température fluide. J'ai décidé de mettre un autre sweat à capuche bleu marine avec le logo Nike dessus, pourquoi s'acheter des habits de marque si c'est pour les utiliser comme des pyjamas ? Combien de fois j'informe ma mère, ces grandes marques sont vraiment beau à voir et à porter mais on ignore tous que ce sont des enfants de Yémen, Syrie, Somalie et pleins d'autre pays qui les fabriquent alors qu'ils les prennent carrément pour des esclaves.
Cette situation m'a beaucoup touché au coeur, j'aimerai au plus profond de mes rêves d'aller les aider, de faire une cagnotte pour récolter le nombre de sommes que l'on peux pour au moins les nourrir sans qu'ils souffrent, leur rendre un abris bien isolé.
J'aimerai tellement leur venir en aide, leur ouvrir mes bras afin de les rassurer, leur donner de l'amour. Ce sont des êtres humains comme nous, à quoi bon les différencier à cause d'une couleur de peau ? Un bébé reste un bébé, que sa couleur sois blanc, beige, marron, noir c'est un bébé.
Je suis sortie des mes pensées lorsque ça a toqué à ma porte, je me suis levé de mon lit marchant vers celui-ci.
Moi : Oui ?
Yona : Maman n'est pas partie travaillée aujourd'hui ni hier, je pense qu'elle n'est pas bien mais elle ne me fait absolument rien remarqué.
Moi : Tu vas en cours ?
Yona : Oui je sors dans deux minutes...
Moi : Vas-y toi, je m'occuperai d'elle ne t'en fais pas.
Yona : Merci Izak, heureusement que toi tu es là.
J'ai légèrement souri puis je l'ai entendu sortir de la maison, j'ai ensuite enlevé mon sweat pour mettre un autre de couleur kaki sans qu'il n'y ai un logo de marque, je me sens mieux ainsi. Ensuite, j'ai soupiré un bon coup avant d'ouvrir la serrure de ma porte puis je suis sorti à la recherche de ma mère dans la maison, je l'ai trouvé dans sa chambre, allongée sur son lit elle dort.