Des centaines de jours sont passés depuis le jour où nous avons fêter mon anniversaire chez mon oncle, nous sommes en été et sur le point de déménager dans une autre maison, la ville ne change pas, je l'ai énormément appréciée depuis que je passe plus mon temps à l'extérieur.Il s'est passée énormément de choses à laquelle je n'arrive plus à me rendre compte, tout d'abord nous avons vendus notre maison pour pouvoir commencer une nouvelle vie, j'entame mes derniers cartons à ce moment même, ma chambre est tellement vide, cela me fait bizarre.
Yona a obtenue son bac avec mention très bien, mon Dieu ça a été un tel plaisir de voir sa sœur si joyeuse. Nous sommes allé fêter ça à deux, comme elle le voulait si bien de sortir avec son grand frère.
Puis quant à mon état, j'ai repris forme, à nouveau, mon corps se muscle de plus en plus, ma famille ne me diront plus que j'ai trop maigris et que je devrais manger plus souvent, je me sens tellement mieux dans ce corps là que celui d'avant, je vois bien la différence, et j'en reste fière de moi.
J'ai déposé il y a quelques mois un candidature pour aide aux personnes en difficultés, c'est une association à une heure d'ici qui programme de nouvelles solutions pour leur venir en aide et également voyager dans ses pays, continents afin de leur amener de la nourritures et un tas de choses qui pourront leur faire plaisir. J'attends impatiemment une réponse de leur part, et je prie chaque jours Dieu qu'il exauce ce rêve dont j'en ai toujours rêvé.
Kaly : Alors tu as bientôt fini ?
Je ferme le dernier carton avant de souffler un bon coup, elle est venue à mes côtés avec un simple t-shirt accompagné d'un short en jean. Dans toutes ses états je la trouverai magnifique, elle n'a aucun défauts à mes yeux.
Moi : Tout est ok, il faut maintenant les porter jusqu'au camion.
Kaly : Tu veux pas que je te fasse un peu de massage ?
Moi : Un câlin me suffira.
Elle s'est vite enfouie la tête contre mon torse avant que je la serre contre moi, j'aspire son odeur en fermant les yeux, ses mains se baladent dans mes cheveux. J'aime tellement lorsqu'elle fait ça, je frissonne à chaque fois.
Moi : On a toujours pas terminé la discussion d'hier, tu veux qu'on la termine ici ?
Kaly : Si tu veux, de toute façon il n'y a plus grand chose à savoir. Comme je te disais, après la fête foraine je suis rentré avec Marwan chez lui, on s'est disputé à un point où il s'est excusé en pleurant sous mes pieds... c'était assez... mon cœur s'est brisé à ce moment-là tu le sais très bien, je suis sensible. J'ai carrément avoué mes sentiments envers lui ainsi qu'envers toi, il m'a bien compris, a été d'accord pour annuler les fiançailles puis... je suis partie chez ma mère en prenant toutes mes affaires. C'est douloureux de quitter quelqu'un, c'était à la fois mon patron aussi... ce cabinet a été mon coup de chance de t'avoir rencontré, sinon au jour d'aujourd'hui nous serrons pas dans les bras de l'un et l'autre.
Moi : Je suis désolé que tu aies à vivre tout ça, une part est de ma faute faut bien l'admettre. J'espère que... que Marwan va s'en remettre, j'ai aussi sacrifié tout pour pouvoir t'avoir avec moi.
Kaly : Ne t'inquiète pas Izak, j'ai appris il y a peu de temps qu'il couchait avec une femme lorsqu'on envisageait de se fiancer...
Moi : Oh l'enfoiré, vraiment un gros ****
Kaly a rigolé tout en mettant sa main sur ma bouche, j'étais entrain de sortir mes meilleurs insultes, vraiment quelle merde pourrai faire ça ? J'en ai tellement la haine que j'ai pris sa tête entre mes mains, son visage m'a l'air parfait, ses lèvres ainsi que ses yeux me paraissent aussi merveilleux, c'est le moment de l'embrasser à nouveau.
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IZAK - Passé pluvieux
Non-FictionIsolé dans sa chambre depuis des mois, ɪᴢᴀᴋ ᴍᴜɴᴅɪ essaie tant bien que mal d'entretenir sa vie au milieu des ces quatres murs qui servent à le « protéger » au vus du monde extérieur. Angoissé, il finit par savoir de quel type de maladie mentale il a...