Non Libre D'aimer

Chap 3

Pdv de yuichi

Je me réveille doucement en entendant les pleurs d'ichiro puis je remarque que je suis sur les genoux de haru, je rougis instantanément et me lève d'un coup en me faisant mal aux côtes.

-haru : yuichi! Ne bouge pas, tu a peut être les côtes cassées, tu a été frappé au côtes, au visage et au jambes...

Je m'assois doucement.

-ichiro : mon dieu yu ! Tu saignes !

Je passe ma main sur ma bouche et vois le sang qui s'étale sur moi, je commence à paniquer mais haru m'enlace. je me calme peu à peu.

-moi : j'ai... J'ai mal...

-haru : il a du mal à la vue du sang ?

-ichiro : (snif) oui, son père la traumatisé parce qu'il a tabasser son... Son autre chat il y a 1 ans...

-haru : je suis désolé, yuichi ? Tu peux te lever ? Ou tu a vraiment mal au jambes ?

-moi : je peux me levé...

Je commence a me lever mais retombe sur mes genoux. j'avais perdu toute mon énergie...

-haru : viens je vais t'aider.

Haru met mon bras autour de son cou pour me tenir debout. En sortant du vestiaire, je passe devant un miroir et je me vois défiguré.

-moi : je suis vraiment comme ça...?

-ichiro : ne t'inquiète pas, tu va être comme avant dans quelques jours...

-haru : dans 2 ou 3 jours ce ne sera plus enflé.

-moi : je ne veux pas aller en cours, mais je ne veux pas rentrer non plus...

-ichiro : tu veux aller ou alors ?

-moi : je ne sais pas... Je ne veux pas rentrer, c'est tout ce que je veux...

-ichiro : je vais demander à ma mère si tu peux venir.

-moi : il faut que je le dise à mon père... Sinon il va me frapper...

-haru : pourquoi tu ne préviens pas la police ?

-moi : si je les préviens maintenant je ne vais pas pouvoir finir mes études et je vais devoir aller chez ma mère, et je veux d'abord finir mes études. Il y a que lui qui peut m'héberger...

-ichiro : tu va continuer à vivre dans l'enfer ?!

-moi : oui...

-haru : on retourne à l'infirmerie, je vais te soigner.

Arrivés à l'infirmerie, il me dépose sur le lit. Il soigne d'abord mes jambes puis regarde si mes côtes sont cassées.

-haru : tes côtes ne sont pas cassées tu a juste des gros bleus.

-moi : j'en ai marre d'être toujours à l'infirmerie...

-ichiro : il faut bien qu'on te soigne non ? Alors endure.

-moi : tellement sympa avec moi...