Jte jure Eren, ne fais pas cette tête sinon d'un moment à l'autre je vais te bouffer.
PDV Livaï
Nous nous dirigeons vers les toilettes, j'avais posé la nourriture sur le banc. Il était à côté de moi. Des minutes de silence se fit mais ce n'était pas gênant mais apaisant. J'aimais ce silence. Arrivé devant les toilettes, je lui fis un regard pour lui dire d'y aller alors que je l'attendais à la sortie. Il me fit un sourire et rentra dans une des cabines. J'entendais des reniflement à l'intérieur. Je m'avança vers la cabine pour mettre enfin une main dessus. Je la retire d'aussitôt en voyant la saleté qu'il y avait dessus. Le lendemain, ces gamins vont en chier, je peux le promettre pour laver ces toilettes
Livaï : peut tu ouvrir cette porte ?
Eren : …
Livaï : pourquoi restés tu enfermé ?
Eren : Je… je me sens pas bien…
Des reniflement plus fort survenaient
Livaï : Ouvre la porte ou je la défonce.
Eren : Non… j'ai simplement… mal à la tête…
Livaï : 3… 2…Click. Je voyais la porte s'ouvrir lentement alors je recula. Face maintenant à lui, je me scotcha sur ses magnifiques yeux émeraudes pleins de larmes. Je m'avança vers lui et retire d'un geste lent ses larmes avec mon pouce. Je m'approcha de lui et l'enlaça dans mes bras. Je voulais savoir pourquoi il agissait comme ça. Pourquoi Marco souriait comme un débile en sortant de sa chambre. Pourquoi quand je parle du sujet de la tâche blanche il commence à pleurer. Que c'est il passer.
Je sens un appui sur mon épaule, c'était sa tête. D'une main je caressa ses beaux cheveux et je me retira pour enfin le regarder dans les yeux.
Livaï : Écoute, je ne sais pas ce qu'il sais passé pour que tu agis comme ça mais je serai là pour toi, compris ? Donc il faudra que tu me dises tout.
Eren : Oui.
Je mis une main sur son épaule et nous partons des toilettes. Nous allons vers le banc et lui demande de garder le reste de la nourriture. On continua notre route jusqu'au QG où je le raccompagna jusqu'à sa chambre. Je m'apprêtais à m'en aller.
Eren : Aussi Livaï…
Livaï : Mmm ?
Eren : Merci.Il sourit et reparti dans sa chambre en prenant soin de fermer la porte… à double tour ? Bref, je reparti dans ma maison à deux minutes d'ici et enfin installer dans mon lit je m'endors. Ça fait du bien.
PDV Eren
J'allais m'installer sur mon lit quand j'eu une crise de panique. Ça arrive rarement. Je respire de plus en plus fort la main sur la poitrine. J'ai chaud, beaucoup chaud. Il n'y avait qu'Armin qui arrivait à me faire arrêter de faire des crises. Je le secoua légèrement alors que je ne respirait presque plus. Je le secoua beaucoup plus fort et il ouvrit un œil pour enfin equarquiller grand les yeux en me voyant.
Armin : Eren ! Calme toi. Tout vas bien ce passer. Respire un grand coup.
Je n'arrivais pas à me calmer. Il sortit de son lit et cria sur Jean pour qu'il se réveille. Il était au coin de la chambre.
Jean : Qu'est-ce qu'il lui arrive ?!
Armin : Pas le temps ! Vas chercher quelqu'un, vite !
Jean : Mais je...
Je m'effondra au sol par épuisement toujours en respirant de plus en plus fort. Je me dirige en rampant vers la fenêtre comme pour chercher de l'air. Armin était en train de courir partout et Jean était en train d'essayer d'ouvrir la porte.
Jean : La clé est coincé ! On peut pas sortir !Armin : Eren, t'en fais pas tout vas bien ce passer ! Tu m'entends !
Je l'entendait mais n'arrivais pas à répondre. Des minutes passent j'avais enfin atteint la fenêtre. Je l'ouvrit et m'y balançait presque. Malgré le vent, rien ne changeait. J'entendais des gros bruit venant de l'extérieur. Avec le bruit j'avais réveiller tout le QG c'est sûr.
Hanji Zoé : Eren !!
Elle demanda à enlever mon pull. Je ne pensais même pas à mes blessures sur mes poignets, j'avais juste besoin de fraîcheur. La chaleur me faisais mal. Armin enleva mon pull en vitesse.
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Réciproque // Eren X Livaï
Fanfiction~TERMINÉE~ Bientôt en réécriture ATTENTION CERTAINES SCÈNES PEUT CHOQUÉS LES PLUS JEUNE Dès le premier jour, Livaï tombe amoureux d'Eren qui lui, a un trouble de la parole depuis la mort de sa mère. Eren n'assume pas son homosexualité mais pourtant...