Nos Souvenirs [Jean x Marco]

Bonus #2

PDV Livai:

L'entrainement avait commencé depuis plus de deux heures, Bott et Kiriscthein étaient introuvables. Bien sûr, ce fut à moi de les retrouver... J'atterris aux laveries, en ouvrant la porte je les vis. Couché dans des draps propres, enlacer, nus, heureux. Je leurs balançais un saut d'eau avant de sortir en claquant la porte.

- Livai, j'ai besoin de toi dans mon bureau. 

Au bout du couloir, je vis Erwin , me scrutant un dossier en main. J'hochais la tête et partit à mes occupations. Je sais très bien qu'Erwin me désire...Je l'ai vu dans son regard, dès le début, il m'a toujours voulu...

- Désolé caporal pour le retard.

Jean se tenait devant moi, la chemise entrouverte, les cheveux ébouriffés et le torse bomber. Je relevais la tête croisant ses yeux. Je ne sais pas ce qui c'est passé. J'ai senti mon cœur tremblait...Même après son départ, ce sentiment de chaleur ne partit pas...

Erwin commença par me parler stratégie, mais il dériva vite.
Je sentis son pied titillait mon tibia et son regard de fer plongeait dans le mien. Son regard me criait:"je te veux, tout de suite."

Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai agis ainsi au début. Surement par ennui. Je l'ai embrassé, il a répondu. Nous nous sommes retrouvés allongés sur son bureau. Alors que ces mains parcourait mon corps, mes pensées dérivèrent. 

L'homme qui me surplombait n'était plus Erwin.
Ses cheveux blonds étaient devenus bruns.
Ses intenses pupilles bleus sont devenus plus intenses. 
Son corps musclé brûlait contre le mien. 
Ses gémissements rauques devinrent saccadés et aigus. 

Ce n'était pas Erwin qui me procurait ce plaisir mais bien Jean. Ce même gamin que j'avais engueuler quelques heures plus tôt. D'un coup je réalisais ce que j'imaginer et le plaisir coupable qu'il me procurait. Je paniquais et supplia Erwin d'arrêter. Encore sous le choc, le major me vit sortir en courant de son office presque nu. 

J'atterris dans ma chambre, je me rinçais plusieurs fois le corps cependant mon excitation ne voulait pas se calmer. Je ne voyais que Jean, nu, m'entraînant toujours plus loin dans le péché. 

🔞🔞🔞

Je finis par céder à la tentation. Mon lit était froid au contacte de ma peau. Je passais une main timide sur mon torse, mes jambes et l'intérieur de mes cuisses, me procurant un plaisir inouïe. J'empoignais mon sexe, soufflant de satisfaction et ferment les yeux. 
Il réapparut avec son corps d'Apollon, m'embrassant de partout. 

Il me pris en main et fit des mouvements vifs me procurant plus de plaisirs que jamais. J'en pouvais plus, je finis par jouir embrassant Jean de toute mes forces. 

🔞🔞🔞

Puis j'ouvris les yeux et réalisa. Je venais de me masturber en pensant à Jean, à un gamin amoureux d'un autre. 

Je réalisé alors que moi aussi je l'aimais, moi aussi je le désirais. 

Merde.