3#Appelez moi le (mal)chanceux ultime

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Demande de  Yuumi09
J'espère que j'ai réussi à adapter ton idée comme tu la voyais !!
Bonne lecture !!

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Quelques jours s'étaient passés depuis mon soudain rapetissement.

J'avais réussi avec succès à éviter mes camarades de classe ainsi que les autres.

Avec l'aide de Teruteru Hanamura, Shuichi Saihara, Koichi Kizakura et le principal Kirigiri, j'ai réussi à me procurer des vêtements de rechanges ainsi qu'un endroit moins 'spacieux' pour vivre.

Et quand je parle d'espace moins spacieux, je parle évidemment d'une maison pour poupée Barbie !!

Pas que je m'en plaigne mais au final, une maison rose en plein milieu de ma chambre est un peu...étrange.

J'ai souvent entendu toquer et sonner, mais je n'ai jamais répondu, à en déduire, tout le monde est venu au moins une fois, mais les appels les plus fréquents étaient de Sayaka, Hina, Byakuya, Shô, Leon et évidemment Kyôko.

Ça me fait de plus en plus culpabiliser de les ignorer et je sais que je vais leurs devoir une explication mais pas pour le moment et encore moins dans cet état.

Qui sais comment ils vont réagir.

Mais pour le moment je dois rester ainsi à...manger mon céréale que Teruteru m'a amené vu que c'est compliqué de trouver quelque chose d'assez petit pour que je puisse le tenir.

J'ai entendu les bruits de quelque chose entrer dans la serrure de ma chambre, j'ai haussé les épaules, sûrement Hanamura-senpai ou Saihara-kun qui viennent comme d'habitude.

Mais ce qui a commencé à m'alerter, est le bruit de botte à talon de la personne entrant dans la pièce.

En me remémorant les personnes qui connaissent la situation je me suis rendu compte que seul des hommes sont au courant de ma situation, pas une seule fille !!

J'ai fini par laisser tomber mon céréale et je suis parti me cacher dans une des armoires étant dans la maison pour poupée.

"Une maison de poupée ? Tu as vraiment de drôles de goût Naegi-kun." La voix était douce et à la fois neutre, me faisant deviner immédiatement qui est entré.

Les pas se faisaient de plus en plus fort, jusqu'à ce, quelques minutes plus tard, j'entende la porte s'ouvrir et se refermer.

J'ai soupiré, c'était sans aucun doute Kyôko. Ça serait la honte si elle venait à me voir dans cet état !

Je suis sorti du placard en plastique pour descendre doucement au rez de chaussé.

Il fallait que je prévienne quelqu'un que Kyôko était entrée, me découvrant presque.

J'ai ouvert lentement la porte puis je suis sortie, pour seulement remarquer que de un, je n'étais pas seul, et de deux, que Kyôko m'avait juste leuré.

J'ai blanchi d'un coup en regardant Kyôko, qui semblait confuse.
Un silence gênant s'en suivit jusqu'à ce que l'ultime détective le brise.

"Je savais bien que quelque chose clochait....mais je ne m'attendais pas du tout à ça." Ma camarade clignait des yeux, s'approchant de moi et s'agenouillant.

Cependant, étant assez petit, mes joues ont brûlé à la vue de sa culotte noire.

Kirigiri pencha la tête sur le côté, puis, remarquant ce que je regardais, elle s'est assise de façon à ce que je ne puisse plus rien voir, rougissante elle m'a lancé un regard désapprobateur. "Pervers..."

Que quelqu'un m'aide ! J'ai rétrécis !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant