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Maria Cruz était une franco-italienne de vingt-quatre ans (24 ans ), métissée par sa mère. Elle avait un, un mètre soixante-huit (1,68 m) toute belle avec des formes.

Elle n'était pas ronde, plutôt de forme moyenne, mais avait été bien bâtie par dame Nature au niveau du bassin et de la poitrine. Elle était très réservée et n'avait qu'Aïda, sa colocataire depuis l'université, qui était maintenant sa meilleure amie. 

Maria avait grandi élevé par sa mamie, après l'accident de ses parents qui avait pris leur vie.  Elle n'aimait pas y penser, surtout que peu de temps après, à ses dix-huit ans à peine, sa mamie décéda.

De ce fait, elle hérita de la grande maison de famille et de quelques bien qu'elle avait été obligé de vendre pour poursuivre ses études à l'université.

Ne pouvant vivre seule dans cette grande maison, elle la mit en location jusqu'à ce qu'elle finisse à l'université et revint avec Aïda maintenant pour colocataire.

Elle avait donc assez d'argent pour lancer un commerce, mais ce n'était vraiment pas ce qu'elle voulait. Elle voulait travailler dans des grandes entreprises, être chef de bureau et avait tous les diplômes, mais hélas, elle n'était retenue à aucun entretien d'embauche.



Vous direz qu'avec mon argent, j'aurai pu créer ma propre entreprise, mais non. Pour le moment, je ne sais absolument pas dans quoi entreprendre.



Tout ça pour finir serveuse ! Putain de vie et de société!



C'est toujours avec rage, qu'elle prit un taxi et se rendit au travail. Ce n'était pas bien loin, vu qu'elle vivait en centre-ville

*

Emri dans son bureau, venait de recevoir l'appel de celle qui allait bientôt être " sa femme".


Rien qu'en y pensant, il était énervé, mais il se faisait vieux et avait besoin d'assurer ses arrières avec des enfants à lui, bien-sûr

Il aurait bien pu faire des enfants et ensuite quitter la mère pour les récupérer, mais celle-là semblait moins attirée par l'argent que les autres.

Elle était très casse-pieds, mais s'y connaissait en matière d'homme

Dépensière, mais belle.

Il voulait se marier et fonder une famille, ce n'était pourtant pas compliqué, mais avec son statut, il côtoyait que des femmes bonnes à bouffer son argent et à satisfaire ses envies.

- Alors, comment va le futur marier ! S'exclama Frederico avant de partir dans un fou rire, se moquant de la tête qu'avait Emri

- Je suis mort de rire... lança Emri ironiquement

- Rhorrrr arrête cette tête, ce ne sont pas tes funérailles quand même... répondit Frederico en partant encore dans un fou rire.
Bon oui, un peu tout de même... termina-t-il en riant de plus bel

Emri le regardait bien énervé, mais il était habitué à ça avec son ami

- Alors quoi de neuf frederico.  Lança Emri en se levant pour une accolade fraternelle à son meilleur ami

- Bah vu que tu te maries le mois prochain je... commença Frederico après leur accolade

- Frederico... grogna-t-il sous forme d'avertissement

- Je continue. Dit-il comme un enfant, avant de s'asseoir sur le bureau de son ami.
Comme je disais. Vu que monsieur Hofman se mari, on devrait aller faire l'enterrement de vie de jeune "garçon ".

- Je n'en ai pas envie

- Tu crois je te demande ton avis ?

- Avis ou pas, je n'irai nul part Frederico

- Ahhhhh, tu veux rester auprès de ta fiancée ! Mais que c'est chou

- Arrête avec ça. Vite, ce sera fait, vite, on oubliera

- Et mieux, tu regretteras toute ta vie... parla Frederico

- Tu ne vas pas recommencer... souffla Emri

- Je m'y oppose ! Et, je m'y opposerai toujours ! Cette femme n'est bonne qu'à bouffer ton argent ! Elle ne t'aime pas !

- Qu'en sais-tu ??

À cette question, Frederico fit sortir une enveloppe assez grande et la déposa sur la table du bureau, avant de se lever tout souriant.

- Je t'ai dit ! Tant que je n'approuverai pas ta femme, elle ne passera nul part. C'est bien ce que tu feras pour moi si telle folie me prenais. À toi de voir maintenant. Termina Frederico avant de prendre le chemin pour la porte

- Où vas-tu ?

- Draguer ta nouvelle secrétaire. Répondit-il simplement avant de s'en aller

Emri regardait cette enveloppe et savait très bien ce qu'elle contenait

Des photos de "sa fiancée et de son ou ses amant(s)"

Il avait donné la permission à son meilleur ami d'enquêter sur elle, et s'il avait ramené des photos, c'était bien ce qu'elle contenait. Surtout après le discourt qu'il avait tenu

On va voir tout ça de plus près.

Sur cette pensée, il ouvrit l'enveloppe et seulement la première photo le dégoûta au plus haut niveau

Son meilleur ami n'avait pas engagé n'importe qui pour la surveiller. On aurait dit des photos pornographiques prises par le meilleur cadreur d'Italie


*

Emri Hofman était un homme de trente ans à peine, successeur de Charles Hofman, italien, portant le nom de sa mère russe.
Hofman était le nom de la grande mère d'Emri,  car, son grand-père italien n'avait pas reconnu son père... de ce fait, il portait le nom de sa mère, Hofman.
Il était le fils unique de madame et monsieur Hofman, tous deux Italien.

Ils moururent ensemble dans un accident grave. Il n'aimait pas vraiment en parler

Par description, il était un, un mètre quatre-vingt-treize, Italien ayant des architectures un peu partout dans le monde, surtout en Russie où avait vécu sa grand-mère.

À la tête de la plus grande entreprise du pays, il était aussi beau que mystérieux, et comme tout milliardaire, avait son caractère.

Déjà froid de l'extérieur, il l'était encore plus de l'intérieur. Plus jeune, il avait fait fureur en Italie et un peu partout en Europe

Jeune insoucieux, ne vivant que pour le plaisir et bourreau des cœurs, accompagné de son meilleur ami, l'héritier Wegner, à la tête de la deuxième entreprise la plus grande et influente du pays, les femmes n'étaient plus un mystère pour eux.

Ils étaient amis depuis le vivant de leurs parents, et encore plus inséparables et soudés après.

Son meilleur ami Frederico wegner était aussi un, un mètre quatre-vingt-treize et avait aussi trente ans

Frederico était plus petit qu'Emri de trois mois

Deux bourreaux des cœurs qui étaient maintenant célibataire. Emri croyait se fiancer, mais maintenant, il allait revenir au même statut que Frederico

À croire qu'on est là que pour être célibataire

On va donc continuer.

The first in fall in love loses..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant