The first in fall in love loses..

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- La seule femme de la pièce. Crut entendre Maria, maintenant debout

Ça, c'était sûrement ce que tout son être voulait entendre et non ce qu'il avait dit... Se disait-elle sérieusement

- Répète pour voir, je n'ai pas bien saisi... Demanda Frederico plus pour la confusion de Maria, que pour sa joie

- J'ai perdu à mon propre jeu. Déclara Emri

À cette phrase, Maria tomba de haut

Elle était figée, complètement pétrifiée par ce qu'il venait de dire

Elle avait donc bien entendu. Mieux, il venait d'admettre avoir perdu...

- Vous n'êtes pas le seul... Parla Maria d'une voix lointaine, avant de s'asseoir

- Allez, j'ai collaboré, je vous laisse... Dit Frederico avant de s'éclipser

Emri la regardait comme il aimait le faire. Il ne regrettait rien, bien au contraire, il était heureux, comme déchargé d'un lourd fardeau, tandis qu'elle, respirait à peine.

Elle était étouffée en un sens. Tout remontait et c'était bel et bien la joie qui prônait dans tout son être

- Je vous veux, plus qu'une simple amante.

- Pour de vrai ? Ne pût-elle s'empêcher de demander, alors que ça paraissait évident dans la mesure où il admettait avoir perdu le jeu.

- Vous êtes si belle et pure, que vous me troublez.

À cette phrase, elle devint toute rouge avant de replacer une de ses mèches, juste derrière son oreille

- Ça semble tellement irréel.

- J'avoue.

Ils émirent tous deux un petit rire réconfortant

- Alors ? Accepte tu de sortir avec moi ?

- Le jeu ?

- On dira que j'ai perdu, mais de la plus belle des manières.

- Comment ?

- Vient là... Dit-il en reculant sa chaise lui faisant une place sur ses cuisses musclées

Elle vint à lui toute rouge, avant de s'asseoir

- Ouhh... Murmura-t-il maintenant en contact de ses belles fesses

Elle sourit toute rouge. Son sourire était celui d'une femme heureuse tout simplement

- J'ai perdu en te gagnant toi.

À cette phrase, elle sourit toute comblée avant de se peloter à lui

Il referma ses grands bras autour d'elle et reçut un choc si brutal dans son cœur qu'il crispa le visage...

C'était ça qu'on ressentait quand on était amoureux ?

Quand on était en présence de l'être aimé ?

C'était si beau. Toutes ses contractions qui se libéraient et qui sortaient maintenant de leur endroit caché, lui convenait.

- Alors ? Tu veux sortir avec moi ?

- Oui. Je le veux... Répondit-elle en le regardant droit dans les yeux

Il lui sourit avant de capturer ses lèvres

Ils s'embrassaient tendrement scellant ainsi leur nouvelle relation

Celle basée sur l'amour, pas sur le sexe comme la première fois

- J'ai tant rêvé de ce moment... Murmura-t-elle à ses lèvres en lui donnant un chaste baiser

Il sourit tout heureux en la serrant encore plus

- Mais ce qu'ils sont mignons les amoureux !!

À cette voix, Maria devint toute rouge tandis qu'Emri lui, ne regardait qu'elle, la serrant de plus en plus fort.

- Alors. À quand le mariage ? Les enfants ? Et tout ce qui colle à l'amour ??? S'empressa de demander frederico en s'asseyant juste en face d'eux, surexcité, faisant rire Maria

- Il faut qu'elle aille se reposer. Sous cette pluie, il faut bien de la chaleur... Parla Emri sans tenir compte des questions de son meilleur ami

- Vous me laissez donc seul ?? S'indigna Frederico, alors qu'Emri partait avec son plus grand bien en main

- Cherche-toi une femme Frederico.

- Ta gueule azyy. Répondit ce dernier ce qui fit rire Emri qui s'en allait.
En parlant de ça, j'aimerais bien faire la connaissance d'aïda

À cette phrase, Maria le regarda les yeux écarquillés

Dans un clin d'œil complice, il s'installa encore mieux dans le canapé, alors qu'elle souriait en signe de réponse.

Elle-même le voulait. Ils allaient tellement bien s'entendre, se disait-elle,

Emri ne voulut en aucun cas s'y mêler. Toute façon, il n'avait pas son mot à dire. Si cette Aïda était la meilleure amie de Maria, c'est bien probable qu'elles aient le même comportement, ce qui serait juste parfait pour son meilleur ami

Sur cette pensée, il emmena sa douce fleur dans leur chambre. Il referma derrière eux, avant de capturer ses belles lèvres

Il la touchait, la mordait, l'entendait rire joyeusement avec ses chatouilles et en avait le cœur rempli de joie.

Il ne saurait expliquer, mais

- Descends-moi que j'aille me faire belle pour toi.

- Tu l'es déjà

- Je veux l'être encore plus...

- Pas besoin

- Allez... Je veux être sexy juste pour toi...

Il sourit tout en la libérant

Elle descendit du lit en ajustant cette magnifique robe et ses beaux cheveux, pour mieux se perdre dans la salle de bain, prête à gâter son homme.