-C'était juste une question.- Son père est mort Carmen! Crit presque Da Sylva.
- Je suis désolée monsieur et madame Montara mais je dois m'absenter, dis-je en me levant de table. Ça été un réel plaisir de te rencontrer Emmett, dis-je en regagnant la porte. Da Sylva me suit.
_____________________________________Nous sommes arrivés devant ma maison, les deux mains sur le volant, signe qu'il ne rentre pas. Décu je descends de la voiture après l'avoir remercier. Je me dirige vers la maison, ouvre la porte d'entrée. Je mets mon sac sur un des sofa du salon puis me dirige vers la cuisine. Ma mère est assise sur un tabouret tout près du plan de travail.
- Maman! m'exclamai-je heureuse en courant vers elle. Je lui serre dans mes bras.
- Ma chérie, murmure t-elle en m'embrassant sur la joue. Tu m'as tellement !
- Tu m'as manqué aussi maman. Mais qu'est ce que tu fais ici?! Je te croyais au Mississippi!
- Je suis rentré plus tôt que prévu. Nous sommes le 11 juin. Tu te rappelles de ce qui s'est passé?
- Comment pourrai-je manquer cette date?
11 juin 1997
J'avais dix ans à l'époque. Je suis assise sur le sofa dans le salon , maman prépare la nourriture, en attendant papa. Mamn est rousse, j'aime coiffer ses jolies cheveux, ils sont si doux, ils sentent si bon. Mais j'ai hérité des cheveux blonds de papa et des jolies yeux bleues de maman.
La sirène d'une voiture de police déchira la nuit, et, quelques minutes plus tard, la sonnerie de la porte d'entrée retentit.Maman ouvre la porte, il y'a deux agents de polices sut le seuil. Ils disent que papa a eu un accident et qu'il ne s'en sortira pas.
J'éclate en sanglots, soutenu par maman, je n'arrivais pas à y croire qu'il soit mort, et pourtant, c'était la pure vérité.
______________________________________- C'était qui?
Ma mère me retire de mes pensées.
- Pardon?
- Qui t'as ramené ici ?
- Da Sylva, murmurai-je en souriant.
- Da Sylva? Le Da Sylva que je connais. Da Sylva Montara? Celui qui t'as brisé le cœur? renchérit-elle.
- Lui même, soupirai-je.
- Pourquoi est-il revenu? Oú est sa femme? demande t-elle en me scrutant de ses prunelles d'azur, agacé.
- Il ne sont plus ensemble, répondis-je.
Ma mère soupire et déguste sa tisane. Je sais ce qu'elle pense.
- Et tu lui fais confiance?
- Oui maman.
Elle soupire longuement.
- Tu penses que je devrais me méfier de lui?
- Tu sembles heureuse.
- Je suis heureuse.
- Je ne veux pas gacher ton bonheur mais tu sais que tout est facile est faux.
______________________________________Je me reveille à cause de Wens qui saute comme une enfant. Franchement elle m'énerve.
- Maman est à la maison! Maman est à la maison!!!
Et oui! Ma mère est comme sa mère. Lorsque les parents de Wens partaient en voyage d'affaires, ma meilleure amie restait souvent à la maison. On a grandi ensemble. Est comme une sœur pour moi.
- Moauis! Va la trouver! mais pitié laisse-moi dormir. Dégage! criai-je en me couvrant le visage.
-Lève toi! Sinon tu vas être en retard au boulot!
C'est pas vrai! Je me reveille, et me dirige vers la salle de bain. Je me brosse les dents lave mon visage puis je descends dans la cuisine pour déjeuner avant de me baigner.
- B'jour maman.
- Alors bien dormi?
- Surtout pas cette question maman, grognai-je en mordillant dans mon sandwich.
Wens me tend une tasse de café chai latte au lait d'amande avec une pincée d'amande et des muffins aux pépites de chocolat.
Mon regard se pose sur l'horloge de la cuisine. Il est à peine six heures! Et le travail est à dix heures.- Putain Wens! Si tu veux vivre ne me refais plus jamais ça, criai-je en montant vite me coucher.
Elle l'ont fait exprès et je le sais. Je peux même les entendre rigoler.
______________________________________Environ 652 mots, j'espère que vous aimeriez ce chapitre.
Que pensez-vous de l'arrivée de la mère d' Honey?
Du passé d'Honey?/
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Rhode Island: With you [ Terminer ]
RomantizmDix ans de bonheur auprès de son amant Da Sylva Montara qui devrait se marier avec une autre femme. Déconcertée Honey cherche à l'oublier. Huit ans plus tard alors qu'elle rentre chez elle. Da Sylva l'attendait sur le perron de sa maison. Et seule...