Hey people ! On est déjà à la fin du mois ? Pinaise le temps passe super vite, je n'ai pas eu une minute à moi ce mois-ci, entre le boulot, les préparation pour Noël et les maladies de l'hiver, j'ai pas eu une minute pour écrire... enfin bref ce mois a été full !
D'ailleurs j'ai kiffé vos réactions sur le dernier chapitre ! Et pour répondre à un commentaire je vais vous remettre un peu les origines de Maya en tête, elle est née d'une mère afro-américaine et d'un père étatsunien blonds aux yeux bleus.Aller je ne vous embête pas plus. 😳
Enjoy ! 😊
Plongée dans un sommeil des plus agréable, je sens mon corps être secouer et une voix des plus désagréables viens m'en sortir. J'ai espéré que ce soit dans mon cauchemars ou sa majesté avec la complicité de ma meilleure amie mon forcé à partir en week-end avec la pire personne qui soit.
"Bordel ! Tu vas te réveiller et arrêter de baver dans ma voiture !"
Je grogne et ouvre les yeux pour constater qu'on est immobile dans un coin assez isolé ou la forêt est aussi bien présente que le sable. J'ouvre la porte et tout de suite le bruit des vagues me frappe. On est au bord de la mer, le vent souffle et je le sens s'infiltrer sous mes vêtements. J'enroule mes bras autour de mon corps attrape mon sac à dos dans la voiture avant de fermer la porte et me tourner vers la maison. C'est une maison familiale tout ce qu'il y a de plus mignon et chaleureux ça change de l'immense appartement outrageusement luxueux.
À peine sortis que la voiture démarre. Je la regarde partir comme si c'était la dernière fois que je la voyais. C'est le bruit de la porte qui s'ouvre qui me sort de mes pensées. Je rejoins l'entrée rapidement voulant rejoindre la chaleur au plus vite et découvrir le lieu où je vais passer mon week-end. À peine rentré que je suis déjà en administration devant la maison. Elle nous offre une vue magnifique sur l'océan. Le séjour est lumineux moderne et chaleureux.
"Woaw..."
Je ne regrette plus tant que ça de manquer des jours de travail. Même avec l'argent que je me serais fait en trois jours je n'aurais pas pu m'offrir ne serait-ce qu'une journée dans cette maison luxueuse même hors saison.
Je laisse tomber mon sac au sol et m'avance vers le séjour. Je n'ai qu'une envie, me rendre sur plage. Même si je vie à proximité de plusieurs plages je n'ai jamais quitter le centre de la ville. Je n'ai jamais pu aller à la mer. J'ouvre la grande porte vitrée et marche, du coin de l'œil je vois un grill dernier cris une table, des fauteuil et des jardinières.
J'essaye de pousser la barrière pour prendre les escaliers mais elle est fermée à clé c'est donc sans plus d'hésitation que je passe par-dessus pour rejoindre la plage. Arrivé assez prêt de l'océan je respire à plein poumon l'odeur salé qui se dégage de ce vaste étendu d'eau. Le temps est loin d'être idéal pour se baigner et la mer nous le montre, les vagues s'écrase violemment contre les rocher et il n'y a pas âme qui vivent pour essayer d'y mettre ne serait-ce que le pied. Pas de sportif, bateaux ou voilier.
"T'as jamais été à la mer ?" Demande Kellan.
Je secoue la tête de gauche à droite mais ne quitte pas la mer des yeux. Des souvenirs que j'ai longtemps refoulés refont surface et font disparaître le sourire sincère que j'ai sur le visage. Je détourne les yeux pour regarder Kellan qui fait de même, j'évite soigneusement de croiser ses yeux et retourne à la maison. Je le sens derrière moi. J'en profite pour lui demander :
"Les vêtements sont là ?"
"Non, on les aurait vu à l'entrée."
Nous entrons de nouveau dans la maison et il ferme bien la porte derrière nous. Je continue mon chemin me débarrasse de ma veste que je laisse dans l'armoire à l'entrée et me laisse tomber sur le canapé. Je soupire d'aise et retire mes chaussures pour les poser sur la table basse. La seconde suivante ils sont de nouveau au sol pousser par Kellan.

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Baby G
RomanceComment ma dernière année de lycée qui devait se passer plus ou moins calmement a pu devenir au final un véritable cauchemar ! Lui, le fils de riche que je méprise, a découvert mon plus gros secret, tenant entre ses mains mon seul poings faible. En...