La sonnerie de fin des cours sonne enfin. Je range mes affaires rapidement et sors la première de la classe. Je me dépêche pour avoir mon bus, les couloirs se remplisse petit à petit d'élève heureux de pouvoir rentrer chez eux. Mais eux contrairement à moi on leur propre chauffeur ou voiture pour ceux qui ont le permis. Peu son ceux qui vienne à l'école en transport en commun. Je dépasse la barrière du lycée et vois l'étalage de plusieurs berline noir toute de luxe et parfaitement propre, je peux voir mon reflet dans chacune des voitures.
Je dépasse la file indienne de voiture pratiquement toute identique et cours jusqu'à l'arrêt de bus ou j'arrive de justesse, en sueur et essouffler comme à chaque fois.
Je monte et m'étale sur un siège. Je reprends mon souffle et met mes écouteurs le temps du trajet j'aime écouter de la musique. La musique, la lecture, l'alcool et la danse, sont mes passe-temps favoris. Je soupire et ferme les yeux pour laisser la musique faire son boulot, me détendre, me toucher, me fermer du monde, me faire tout oublier un bref instant.
Le bus s'arrête finalement à mon arrêt, je commence à 18h je n'ai donc qu'une petite demi-heure pour me préparer. Je jette mon sac dans ma chambre et je file dans la salle de bain tout en laissant une traîner de vêtement entre ma chambre et la salle de bain. Je me douche rapidement, m'enroule dans ma serviette met mes lentilles marron et retourne dans ma chambre. J'enfile un ensemble de sous-vêtement en dentelle rouge composé d'un push-up et d'un tanga. Voulant être rapide pour m'habiller comme pour me déshabiller, chaque jour j'enfile une robe bien plus facile à mettre qu'un pantalon et un haut. J'opte pour un sweat d'homme rouge assez large qui m'arrive mi-cuisse. Je met une pair de chaussette haute qui dépasse légèrement de mes cuissarde en cuir. Je retourne dans la salle de bain me coiffe rapidement laissant ma crinière faire selon ses envie. Je me maquille aussi vite que je peut, fard à paupière nude, rouge à lèvre mate couleur prune, je met rapidement tous ce qui est bijoux et piercing. Je me regarde une dernière fois après avoir mis mon bombers.
"Parfait !"
Je souris ironiquement, prend mon sac à dos et file hors de la maison. Comme toute à l'heure musique dans les oreilles je marche jusqu'à l'arrêt de bus qui va m'emmener dans le quartier ou la boite est et je dois prendre le métro après. Un endroit très fréquenter ou boite de nuit se remplisse en même pas 30 minutes et ou les putes de luxe se font des milliers de dollars en une passe à l'arrière dune voiture ou dans les toilettes d'une boîte. Certaine ne le diront jamais mais sont engagé par les boîtes de nuit. Ce quartier mêle bien des classes sociales, je le vois aux voitures, un vieux taco est souvent garé à côté d'un monospace ou d'une allemande. Mais la majorité sont aisé, des fils et fille à papa maman, des papas, des mamans mais pour ma part je serre surtout des papas qui sortent du bureau. Ou on une "réunion tardive" devant les culs nu de mes collègues.
Je sors de la bouche de métro et marche encore un peu pour arriver dans la rue des "plaisirs" c'est comme ça qu'ils nomment cette avenue. Je marche jusqu'au bout de la rue et m'arrête devant la boite, je passe par l'entrée principal, à cette heure-ci il n'y a pas grand monde donc ça ne pose pas de problème, passer par derrière ne me tente mais pas du tout. J'ai vu et vécu suffisamment de chose pour éviter cette petite ruelle sombre. D'ailleurs pour sortir les poubelles on y va toujours à deux ou trois.
Je passe devant l'agent de sécurité qui me souris et m'ouvre la porte.
"Bon courage ma grande".
"Merci, toi aussi Big G."
Je passe la porte qui mène sur un petit hall d'entrer. Un vestiaire tenue par une hôtesse vêtue d'une tenue sexy mais classe. Rien à voir avec ce qu'il y à l'intérieur. L'hôtesse s'occupe également des réservations concernant les salles privé. Directement à la droite se trouve un escalier menant au bureau du comptable et du gérant.

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Baby G
عاطفيةComment ma dernière année de lycée qui devait se passer plus ou moins calmement a pu devenir au final un véritable cauchemar ! Lui, le fils de riche que je méprise, a découvert mon plus gros secret, tenant entre ses mains mon seul poings faible. En...