Baby G

Kellan

J'arrange mes vêtements rapidement. Je suis super en retard pour le premier cours, cette fille est vraiment arrivé au mauvais moment. Mais je ne dis pas non à une gâterie de si bon matin, après le réveille agité des plus désagréables causé par ma petite sœur. La blonde, dont je ne me souviens déjà plus du prénom m'a remis de bonne humeur pour la journée.

Je passe une main dans mes cheveux avant d'entrer dans la salle et me fige lorsque je pose les yeux sur la scène qui se joue devant moi, l'Alien entrain de rire avec Kay et Taylor. Je les fixe déranger par cette scène. Cette fille me révulse, me répugne autant qu'elle m'intrigue. Je suis loin d'être bête elle veut éviter de se faire remarquer et est loin d'être cette fille calme et timide qu'elle s'en tête a vouloir montrer. Son regard bestiale aussi brûlant que celui d'une lionne me confirme bien la chose.

En un petit regard elle a réussit à annuler tous les bien fait de la pipe que l'autre fille viens de me donner.

A chaque fois que je croise son regard, une grimace déforme son visage et elle détourne les yeux en tshipant. Ses yeux emplie de dégoût et de mépris à notre égard. C'est ça qui m'énerve chez elle. Cette fille pense qu'on se croit supérieur, au-dessus de tous. Cliché plus collant que ça, je ne crois pas que ce soit possible. De plus nous n'avons rien demander c'est les autres qui nous mettes sur un piédestal.

Cette miss-je-sais-tout, pense nous connaitre à cause de toutes ces rumeurs et de la vision que notre société donne des gens riches. Pourtant elle devrait savoir mieux que quiconque qu'on ne doit pas se fier aux apparences et surtout aux clichés que la société donne des milieux sociaux économique.

Pourtant elle s'en tête à nous juger alors qu'elle n'a pas essayé une seconde de comprendre notre monde. Enfin c'est ce que je pense, après tout, je fais exactement la même chose avec elle, et les autres font pareilles. Ils la jugent parce qu'elle vient des bas quartiers, qu'on la considère presque comme une SDF juste parce qu'elle n'est pas riche et qu'elle n'a pas eu la chance de naître dans une famille avec de l'argent. Et un petit peu aussi parce qu'elle est noir. Mais c'est clairement pas mon genre de juger sur la couleur de peau, mes parents ne sont pas issue des ancienne famille de vieux blanc. Ils m'ont élevé dans le respect de toute les cultures, noir, blanc, asiatique, arabe, il n'y a aucune différence mise à part la somme que l'on gagne chaque année, nous sommes tous humain.

Quelque part, elle doit nous renvoyer la balle ou elle déteste juste ce qu'on représente, des enfants pourrie gâté par la vie et nos parents. Qui ont la chance d'être ici sans avoir besoin de travaillé autant qu'elle parce que leur parents peuvent leur payer l'université de leur choix. Mais bref, je déteste que l'on me juge et surtout que l'on me prenne de haut alors que ce n'est qu'une misérable, qui est là grâce à l'argent de mes parents. Elle devrait nous baisé les pieds et non pas nous dénigré. Ingrate qu'elle est.

Au regard qu'elle me jette, j'ai l'impression que cette haine qu'elle ressent pour moi est plus importante que pour les autres, elle égale celle que je porte pour elle. Et la phrase qui dépasse ses lèvres pleine me le confirme. Les deux abrutis me regarde puis rigoles de plus belles. Vert de rage, j'avance vers eux d'un pas déterminé à mettre à terre cette alien à lunette ronde. Je donne rapidement mon billet de retard au professeur sans quitter des yeux cette vermine. Je n'attend pas qu'il me dise quoi que ce soit pour avancer vers les ranger, ce prof comme bien d'autre on peur de nous pour X raison.

D'un coup sec sur la table à côté de la sienne, je demande d'un regard menaçant au gars de dégager de mon chemin. Ils sursautent et me regarde surpris. D'un signe de tête je leur ordonne de bouger. Kay soupire et se lève en même temps que Taylor alors que la petite chose qui nous sert de professeur nous demande d'aller nous asseoir. Je décale la table de la sienne pour prend place a côté d'elle et la fixe alors qu'elle se concentre de nouveau sur le tableau et bois les paroles du prof comme une illuminé.