Amour Dangereux

Le suscpet

Chapitre 11

 

Point de vue William

 

Je pense tout le temps à Sofia Manon et Aurore elles doivent tellement se demander ce qui se passe et j’ai n’ai pas envie de les inquiéter. Le plus dur est de ne pas savoir comment elles vont mais c’est grâce à elle que je tiens et que je ne craque pas je pense à elles toute la journée. J’aimerais bien que se soit un cauchemar et que je me réveille dans le lit à coter de Aurore et que tout cela n’est jamais existé. Mais j’ai beau fermer les yeux et les rouvrir je suis toujours attaché dans cette grande pièce vide et froide. En tout cas sa commence vraiment à être long. J’aimerais juste que tout ça se termine pour prendre les files dans les bras et embraser ma femme.

 

/CHEZ LES DAUNIER/

Point de vue Aurore

Je commence à me réveiller tout doucement j’ai réussi à faire une nuit entière et reposante enfin car j’avais besoin de dormir. Je regarde où je suis-je suis toujours dans le lit à la même place celle de William et j’ai toujours son sweat je suis sûr qu’il m’a aider à dormir c’est bête de penser ça se n’est que un sweat. Je me lève vais dans le salon et ensuite je prends un café et me prépare pour aller travailler. Je me change je mets un tee-shirt blanc et un jean ensuite je vais chercher ma veste et pense à quelque et si cet homme avait fait des repérages avant d’enlever William.

/A L’HÔPITAL/

 Je me dirige alors vers l’hôpital pour interroger ses collègues. J’arrive dans l’hôpital et me dirige vers l’accueil tout le monde était au courant qu’il a été enlevé. Quand j’arrive à l’accueil je vois d’abord Christelle Moreno alors je la regarde.

Aurore : Bonjour excusez-moi de vous déranger mais je peux vous poser quelques questions ?

Christelle : Bonjour euh oui bien sûr je vous écoute.

Je la regarde sort mon carnet pour noter les informations qu’elle pourrait me donner.

Aurore : Avez-vous remarqué quelque chose de différent ou d’étrange la semaine ou le mois qui a précédé la disparition de William ?

Christelle : Je sais pas du tout je n’ai pas fait attention.

Aurore : Essayez de vous souvenirs même un détail anodin peut être utile à l’enquête.

Christelle : Maintenant que vous le dites il y a peut-être quelque chose qui était bizarre.

Aurore : C’est quoi ?

Christelle : Ce n’est peut-être rien mais ça fait presque deux semaines qu’il y a un type qui traine pendant au moins 2 heures sur le parking de l’hôpital il regarde les aller et venu.

Aurore : Et vous pouvez me d’écrire son visage ?

Christelle : Non désolé il était trop loin pour que je puisse le voir d’ici et puis il était très mystérieux dès qu’on l’approchait, il reculait, il ne voulait pas être vue il portait une casquette avec sa capuche et il était habillé avec des habits sombres. Le seul détail c’était une camionnette blanche il était toujours avec.

Aurore : Et au niveau de la morphologie ?

Christelle : Il est grand et pas très carré d’épaule c’est tout ce que peut vous dire désolé.

Aurore : Ce n’est pas grave merci beaucoup

Je pars voir d’autres personnes et tout le monde a le même témoignage ils parlent tous du même homme avec tous les mêmes adjectifs. Je suis sûr que cette personne n’était pas là par hasard il cherchait où préparait quelque chose je suis sûr que c’est le même homme qui est venu chez moi le jours de la disparition de William.

/AU COMMISSARIAT/

Je me dirige vers le commissariat pour pouvoir faire avancer l’enquête avec le nouvel élément que j’ai trouvé. Je sors de l’hôpital ouvre ma voiture m’assoie en mettant ma ceinture et je démarre en direction du commissariat. Une fois arrivé je vais directement voir Martin et Georges et je leur dis ce que je sais.

Martin : Donc tu penses que cette inconnu et lié à la disparition de ton mari ?

Aurore : Oui j’en suis certaine je suis sûr que c’est lui

Georges : Tu as dit que c’était que le parking de l’hôpital. Y’a forcément des caméras elles ont peut-être filmé un truc où même sa tête.

Aurore : Ah oui pas bête c’est une bonne idée je n’y avez pas penser.

Georges : Par contre le temps de recevoir tous les rushs de caméra et de pouvoir voire sa tête sa prendras au moins une journée entière

Aurore : De toute façon on n’a pas le choix on n’a juste ça comme piste alors on fait comme ça

Georges : Tu vies ça comment ? Ça va Ce n’est pas trop dure ?

Je regarde Georges dans les yeux puis le regarde normalement avant de lui répondre.

Aurore : Pour l’instant ça va quand je suis au travail j’arrive à moins y penser et puis je travaille sur l’enquête donc ça me rassure. Le plus dure sais le soir quand je sais qu’il ne passera pas le pas de la porte pour manger avec nous….

Georges : Hé lâche pas je suis sûr qu’on va le retrouver et en vie tu sais toi-même que s’il était mort on n’aurait déjà retrouvé son corps et on n’a pas trouvé de corps dernièrement.

Aurore : Je sais bien mais j’ai peur quand même pour lui imagines on n’est en train de le torturer où je ne sais pas quoi.

Georges : Je suis sûr qu’il sera résisté à tout ça et puis on va le retrouver le plus vite possible

Je ne sais pas pourquoi j’imagine les pires scénarios possibles dans ma tête. Sa dois être lié à mon métier on voie tellement de choses horribles que on imagine le pire à chaque fois. On continue à discuter pendant tout l’après-midi tout t’en travaillant bien-sûr.

/CHEZ LES DAUNIER/

 Le soir je rentre chez moi et commence à préparer le repas en attendant que les filles finissent leurs devoirs une fois terminé je mets la table pour trois et les appelle pour venir manger. Je cherche tout le monde et on commence à manger

Sofia : Sinon maman, vous avancez dans l’enquête concernant l’enlèvement de papa ?

Aurore : Oui n’a un suspect mais on doit encore l’identifier et une fois identifié voir si c’est lui.

Manon : Et c’est quoi la piste ?

Aurore : Un homme qui guettait les allés et venus sur le parking de l’hôpital avant la disparition de votre père on doit recevoir les vidéos du parking demain car personne n’est capable de le décrire.

On continue à en parler pendant 15 minutes ensuite on parle de tout et de rien on finit la soirée devant un film et on va se coucher toutes les trois. Je vais mettre juste un t-shirt et en bas de pyjama reprend le sweat de William et me rallonge à sa place où il dort d’habitude.

Point de vue de Louis

/DANS LA PLANQUE/

J’étais toujours enfermé dans cette planque. Il est dans la même pièce que moi toujours assis au sol avec les mains attachées. Je suis en train de manger et boire devant lui. C’est fait exprès pour lui donner faim et ne rien lui donner par derrière. Je continue à regarder les caméras que j’avais installé chez eux, quand je vois que Aurore et à table avec ses deux filles je décide de mettre le son et d’écouter ce qu’elles disent. Quand Aurore dit qu’ils ont un suspect et qu’ils ont vu traîner sur le parking de l’hôpital je suis certain qu’elle est en train de parler de moi. Je n’avais pas pensé au détail des caméras sur le parking. Alors pour ne pas être démasqué j’allume mon ordinateur qui se trouve à côté de moi et comme je suis très doué en informatique je pirate le réseau de l’hôpital pour pouvoir effacer les rushs vidéo du parking afin que personne ne puisse m’identifier. Je suis fière de mon plan il fonctionne à merveille.

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